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Les Vestiges de l'aube - Romans tome 1 sur 2
EAN : 9782749914138
246 pages
Michel Lafon (19/05/2011)
3.78/5   166 notes
Résumé :
Depuis les attentats du 11 septembre, Barry Donovan est dévoré par le désespoir. Et ce n’est pas son métier de flic, dans un New York accablé par la criminalité, qui lui remonte le moral.
Son seul réconfort : les conversations virtuelles qu’il entretient chaque soir avec un certain Werner Von Lowinsky, aristocrate cultivé et apaisant. Peu à peu, sans s’être jamais rencontrés, ils deviennent amis, se confiant leurs préoccupations les plus secrètes, échangeant ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (72) Voir plus Ajouter une critique
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Le talentueux David Khara s'empare du mythe du vampire pour nous en donner une vision différente, plus contemporaine, sans jamais remettre en cause la mythologie initiale mais en lui donnant une cohérence statutaire et une modernité tangible.

La condition de vampire décrite ici est à la fois fascinante et solitaire. Car à quoi sert-il de vivre éternellement si c'est pour vivre seul et ne rien partager ?

C'est la question que finit par se poser Werner von Lowinsky, vampire de son état, reclus depuis plus d'un siècle. Il se met donc en quête d'une âme-soeur. Mais les vampires ne courent pas les rues et c'est avec un humain qu'il va se lier d'affection : Barry Donovan. Un flic désabusé, meurtri par la vie, qui ne vit plus que par et pour son boulot.

Werner et Barry.
Deux belles âmes qui se font écho à travers les siècles et résonnent dans le présent. Une magnifique histoire d'amitié à la lisière de l'amour tant l'intensité est grande et immédiate entre eux.
Barry et Werner partagent des souffrances communes. Des déchirures qui les ont profondément marqués tous les deux. Des pertes et des trous dans leur psyché. Deux êtres fragiles finalement mais en pleine reconstruction et qui vont se "nourrir" l'un de l'autre.

Mixant 2 époques atroces et lourdes de sens dans la culture nord-américaine, à savoir la guerre de sécession (l'ennemi est à l'intérieur) et les attentes du 11septembre (l'ennemi est à l'extérieur), les visions des deux hommes se reflètent dans les yeux de l'autre. L'ennemi, n'est-ce pas l'homme tout simplement ?

Ce qui est intéressant ici pour les amateurs de Khara, c'est la différence de "ton" d'écriture versus celui qu'il prendra sur la trilogie des projets. Stephen King a cette force (on lui a de ce fait beaucoup reproché l'utilisation de nègres) et David Khara semble l'avoir aussi. Il n'a pas encore assez écrit de romans pour que l'on puisse l'affirmer. Mais ça ouvre un champ des possibles et une richesse infinie.

De même que le mélange entre l'écriture à la première personne et celle à la troisième personne qui permet le regard différent entre les scènes vécues par Barry et celles vues par Werner et de relancer l'action ou le fil de l'histoire. Efficace.

Plein de belles promesses donc dans ce livre. Juste des promesses pour l'instant à cause du format très (trop !) court.
Du coup, lire "La Nuit Éternelle" sera un indispensable pour s'émerveiller de nouveau.
Car le livre laisse un goût de trop peu (c'est mieux que l'inverse) et laisse beaucoup de questions en suspens notamment sur la réalité de transformation d'humain à vampire. On sent que la mythologie est très riche derrière et le lecteur impatient (oui, c'est moi !) veut en savoir plus :-)
3/5
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J'ai passé un très bon moment de lecture! Il y avait dans ce petit livre, un condensé de tout ce que j'aime : Une pointe de fantastique avec ce bel être vampirique, une merveilleuse histoire d'amitié qui va au delà des préjugés, un flic engagé et intègre, une enquête passionnante qui ne se laisse dévoilée qu'à la fin. Je suis bien contente, encore une fois, de m'être laissée tenter sur les bons avis de la blogosphère!!!!!

Les pages se tournaient presque seules, et tout comme Barry, il me tardait de rentrer à la maison pour lire leurs discussions. Je regrette juste qu'il n'y ai pas, par exemple mais ce n'est que mon avis, un peu de leurs échanges sur le cinéma ou la culture en général. Insérer entre les lignes peut être, en aparté, le forum ….Juste pour partager encore plus de leur lumières ou ressentis sur leurs passions communes.

Je consacre l'essentiel de mes journées à la lecture. J'adore lire. A l'époque où les heures m'étaient comptées, il s'agissait d'un loisir par trop luxueux. Aujourd'hui, c'est une véritable drogue. Tout ouvrage recèle une part d'humanité, de vérité, de beauté, de savoir. p18. Rien que pour ca, j'avais déjà succombé à Werner, et rien que pour cela l'idée de devenir vampire est bien tentante…..

Je me suis laissée embarquée dans ce thriller hors des normes, c'était délicieusement envoutant sans doute du au charme ravageur des vampires, bien qu'il a une certaine violence qui m'a un peu dérangée. Ici le vampire est bien le monstre auquel on s'attend, et pourtant, il a quelque chose qui nous attire: son envie de s'améliorer…On prend de la hauteur grâce à ce personnage, j'ai aimé le regard acéré que l'auteur porte sur notre société, et en lui exposant ce vampire qui traverse les âges et la civilisation, on ne peut qu'admirer cet être cultivé qui nous ouvrira peut etre les yeux sur la bassesse humaine. Werner possède un coté clair/obscur très intéressant.

En bref, je me suis régalée à découvrir ce premier opus, et il me tarde de lire la suite, ou meme d'autres oeuvres de cet auteur français très prometteur. Un super cadeau d'anniversaire!!!!!!!!;)

Lien : https://fairystelphique.word..
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Les vestiges de l’aube est un roman qui allie de manière subtile polar et fantastique. Nous sommes plongés dans une brigade du NYPD, peu après les attentats du 11 septembre 2001. L’Inspecteur Barry Donovan se voit confier avec son acolyte une affaire de meurtres : plusieurs hommes d’affaires, riches et célibataires, sont retrouvés morts, exécutés d’une balle en pleine tête. Parallèlement à son enquête, Barry fait la connaissance sur internet d’un quinquagénaire très cultivé, Werner, qui n’est autre qu’un vampire tout droit tombé du XIXème siècle. Ce dernier, qui n’ose encore se présenter sous son vrai jour (pardonnez-moi ce malheureux jeu de mots !), lui propose son aide pour l’enquête en cours…

Mon club de lecture m’avait fait découvrir la suite de cet opus, Nuit Eternelle, il y a quelques mois et j’avais eu un véritable petit coup de cœur. Bien que j’avais été spoilée dans le second tome pour l’intrigue des Vestiges de l’aube, j’avais envie de m’y plonger pour connaître en détail la rencontre entre Werner et Barry. Je n’ai pas été déçue : certes, il y a moins de rebondissements que dans le second mais j’ai pris beaucoup de plaisir à le lire. J’ai même regretté que ce roman ne soit pas plus long : 260 pages, c’est un peu court. J’en aurais bien lu une centaine de plus !

De plus, j’adore Werner ! Son petit côté Mr DARCY me fait craquer ! Il parle prodigieusement bien, a une culture inextinguible et a un goût très raffiné pour les belles choses : sorte d’Hannibal Lecter sans le côté sociopathe !

Si comme moi, vous aimez le fantastique et que cela ne vous choque pas qu’un vampire apparaisse dans un polar, je ne peux que vous conseiller la lecture de ces deux romans. J’ignore d’ailleurs si l’auteur va écrire une suite mais je croise les doigts !
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Une énième histoire de vampire, quel intérêt me direz-vous ? Détrompez-vous, David Khara nous propose bien davantage qu'un simple récit d'un strige ou d'une quelque autre monstruosité, et nous sommes bien loin d'une banale lecture pour ados.

L'auteur nous conte une histoire qui s'abreuve aux sources du thriller et du fantastique pour mieux en distordre les codes des deux genres.

Dans ce New-York post 11 septembre, peu de temps après le drame, Khara construit une jolie parabole à travers ce récit de divertissement. Car l'auteur a l'art de mélanger avec brio la distraction et de vraies réflexions sur la nature humaine. de belles et profondes pensées, menée par un vampire plus humain que beaucoup de vrais humains.

Alternant habilement les chapitres d'introspection vampirique (en mode « je ») et ceux en lien avec l'enquête (en mode « il »), ce récit prend rapidement un essor inattendu à travers cette histoire d'amitié improbable entre un flic et un suceur de sang.

Au delà de l'affaire policière qui est plutôt bien menée, David Khara explose les frontières et trace une « fine ligne séparant la réalité du fantastique » (comme il le dit si bien lui même dans son texte).

C'est l'une des forces de ce roman, mais pas la seule. Car de belles giclées de réflexions transpercent ce divertissement, avec de vrais questionnements sur la solitude, la place de la différence, les leçons de l'histoire ou encore les jugements hâtifs (avec ces jolis passages où les deux personnages découvrent leurs personnalités à travers internet avant tout jugement sur leur état). Qu'est-ce que le bien ou le mal ? La réponse n'est pas toujours si évidente.

Et puis, il y a ce duo de personnages, duo anachronique mais totalement irrésistible. Par sa superbe plume, David Khara donne vie à une complicité étonnante entre ces deux héros (et avec le lecteur, par la même). L'auteur joue avec différentes manières d'écrire et de retranscrire l'histoire, entre ton suranné, passages sombres et dialogues décalés. Oui Khara transcende le récit grâce à ses capacités narratives vraiment au dessus du lot.

Et même s'il y avait la place pour davantage approfondir le final, ces Vestiges de l'aube sont un beau et pur divertissement intelligent. Et franchement, voir un vampire laver son linge et repasser sa chemise, c'est plutôt étonnant, non ? ;-)
Lien : http://gruznamur.wordpress.c..
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Critique publiée le 07/09/2010
Parution chez Rivière Blanche

Je qualifierais ce premier roman de David S. Khara D épisode pilote d'une nouvelle série qui, pour l'auteur et son éditeur je l'espère, sera longue. Et dans ce pilote, nous retrouvons tous les ingrédients du premier épisode. le roman est certes court, mais permet la mise en place des personnages principaux que sont Werner et Barry.
L'histoire est assez simple et tourne autour du vampire et de l'enquêteur, l'enquête policière étant traitée quasiment comme une toile de fond. Pour ce premier roman, et nous pouvons le comprendre, il est important que nous fassions connaissance avec ces deux héros, mais j'ai l'espoir de lire une vraie enquête policière dans les prochains opus.
Pendant la lecture, lorsque nous nous retrouvons dans les pensées de Werner ou de Barry, il est assez aisé de ne pas se tromper car le vampire est typographié en italique. D'ailleurs, pour un personnage né dans le XIXème siècle, j'aurais apprécié des pensées écrites de manière plus classique, qui correspondent plus à son époque. Mais mis à part ce détail, l'écriture est très fluide, et il est assez facile de lire les quelques deux-cent pages en un rien de temps. de plus, l'auteur évite les clichés du roman de vampire typique que vous avez déjà pu lire.
Ce roman est le premier roman de l'auteur et le premier roman d'une série qui semble être prometteuse. le roman est trop court à mon avis mais nous met dans le bain en nous présentant les personnages et bien que l'on apprenne moults détails sur leur passé, et leur vie quotidienne, une large part d'ombre reste à découvrir. Je suis impatient de lire le prochain épisode et de découvrir comment évolueront Werner et Barry dans leur prochaines aventures.


Deuxième critique, publiée le 01/06/2011
Parution chez Michel Lafon

Avant de commencer cette chronique, je tiens à remercier l'auteur David S. Khara et l'éditeur Michel Lafon pour m'avoir fait parvenir un exemplaire des Vestiges.

J'ai déjà lu la première version des Vestiges paru chez Rivière Blanche et vous pourrez retrouver sa critique ici, exemplaire unique puisque dédicacé par David et encore plus précieux de par son tirage épuisé (l'un des seuls si ce n'est le seul à être épuisé dans le catalogue de Rivière Blanche). A la réception de cette nouvelle publication des Vestiges, j'apprends par David qu'elle a été étoffée. Je qualifierais donc - oui je me permets parce que je suis un lecteur privilégié (quoi, vous ne comprenez pas, mais vous avez lu ce que je viens d'écrire ou vous survolez rapidement la chronique) - l'exemplaire que j'ai dans les mains de la version 2.0 des Vestiges.

La préface a été signée par Serge le Tendre (dont j'ai un exemplaire dédicacé de la Quête de l'Oiseau que David m'avait fait aussi parvenir – merci David). Et je vois que cette version est dédicacée à Philip « qui aime bien lire les chroniques de ce blog » Ward, de Rivière Blanche avec qui nous avons mis en place un partenariat de lecture mensuel.

Bien, on parle, on parle, je raconte ma vie, et sans plus attendre je préfère m'effacer et vous laisser lire mon billet sur Les Vestiges de l'Aube.

L'histoire débute dans l'appartement d'un riche homme d'affaires qui se fait exécuter. L'enquête est confiée à Barry Donovan, un policier de Manhattan, qui commence à peine à relever la tête du deuil de sa femme perdue pendant les événements du 11 septembre 2001. Barry passe le peu de temps libre qu'il a à correspondre sur Internet avec Werner. Ce dernier est un vampire qui se situe loin des clichés du vampire moyen comme l'a décrit Bram Stocker ou du vampire new generation de la Bit-Lit. C'est un homme cultivé, qui s'est adapté à sa condition de mort-vivant tant bien que mal. Werner propose son aide à Barry dans son enquête sans lui avouer immédiatement son appartenance à un mythe.

La narration se passe tantôt avec Barry, tantôt avec Werner, et il est assez aisé de ne pas se mélanger puisque le vampire utilise une typographie en italique.

Ce premier épisode des enquêtes de Werner et Barry présente les personnages. L'auteur installe une base solide en nous permettant de faire connaissance du vampire et du policier, mais nous laisse une part d'ombre qui nous sera, je l'espère, révélé dans les prochains épisodes. Les deux personnages se complètent parfaitement, la force de l'un comblant la faiblesse de l'autre.

Pour les lecteurs de la première version parue chez Rivière Blanche, vous pouvez vous procurer un exemplaire de chez Michel Lafon les yeux fermés. L'auteur a ajouté quelques chapitres modifiant ainsi l'approche du roman dans sa globalité, l'enquête n'était traitée auparavant qu'en toile de fond. Elle prend donc plus d'ampleur donnant à ce premier opus l'apparence d'un vrai premier « policier fantastique ».

Mais… il y a toujours un mais… mais, je disais donc, autant le langage verbal de Werner lorsqu'il discute avec Barry est recherché, noble, alors que ses pensées ne me paraissent pas du même acabit, je les trouve moins noble, plus pauvre, elle reste correct certes mais loin des pensées qu'un personnage éduqué pourrait avoir je pense. Et si mes souvenirs sont bons, c'est une remarque que j'avais déjà faite dans la chronique des Vestiges 1.0.

Un roman travaillé alliant deux styles à merveille qui annonce une suite passionnante et pleine de surprise. Werner et Barry composent un duo hors du commun que j'espère retrouver dans une longue série. C'est peut-être parce que l'auteur n'a pas l'habitude de l'univers des vampires mythiques ou contemporains qu'il arrive à se démarquer du lot par une grande originalité.

Je remercie l'auteur, David, et Michel Lafon pour cet exemplaire.
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critiques presse (3)
BoDoi
24 avril 2014
Ce mélange étonnant entre polar très contemporain et un fantastique assumé fonctionne étonnamment bien. Malgré quelques scènes un peu caricaturales, l’adaptation en deux tomes du roman de David S. Khara est bien construite par Serge Le Tendre. Intrigant.
Lire la critique sur le site : BoDoi
BDGest
08 avril 2014
Efficace à défaut de surprendre, Morts en série ne bouleverse pas le genre et offre un bon moment de détente, suite et fin dans le prochain tome.
Lire la critique sur le site : BDGest
Sceneario
17 mars 2014
Morts en sursis, le premier tome des Vestiges de l'Aube est une adaptation réussie, une oeuvre prenante qui mérite toute notre attention. Et qui a aussi le mérite de faire connaitre un romancier David S.Khara.
Lire la critique sur le site : Sceneario
Citations et extraits (31) Voir plus Ajouter une citation
"J'enfilais un pantalon de toile beige et une chemise bleue de belle facture. Des chaussures anglaises noires, vernies à la perfection, assureraient le bon coordonné haut-bas, une harmonie que je ne romprais pour rien au monde. Ainsi, vêtu, je m'installais confortablement dans mon fauteuil de velours rouge, ouvris le livre posé sur le guéridon et entamai la lecture du deuxième tome du Seigneur des anneaux pour la vingt-troisième fois." (P.64)
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Je me nomme Werner Von Lowinsky. Mon père était prussien et ma mère française. Mélange ô combien explosif si l'on se replace dans le contexte historique de mes jeunes années. Je suis né en 1812 à New York. Je suis un vampire. Voilà. Croyez-moi ou pas, craignez-moi ou pas, peu importe. Les choses sont ainsi.
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Le temps du deuil touchait à sa fin. Rendre hommage aux absents est une chose, se complaire dans la lamentation en est une autre. L’action est la seule solution face au malheur. Mourir d’amour était une perspective qui avait traversé l’esprit de cet amateur de littérature, élevé à la lecture de Roméo et Juliette et des Hauts de Hurlevent. La grandeur du drame, la noblesse de la souffrance. Mais il n’y a rien dans l’abandon, ni grandeur ni romantisme
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Quand un loup choisit sa demeure, il opte de préférence pour une bergerie.
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Bien loin des caricatures décrivant des goules putrides, je corresponds plus à l'image d'un dandy qu'à celle d'un cadavre décomposé.
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