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EAN : 9782715234352
176 pages
Le Mercure de France (15/05/2013)
3/5   44 notes
Résumé :
Deux jours à dos d'âne pour trouver le fiancé idéal. Jambes et bras épilés, mains teintes au henné, une fille à marier doit ressembler à un miroir. Chacune espère être l'élue et partir vivre en ville. Le désert est fait pour les hommes, leur regard croit voir des oasis avec des palmiers lourds de fruits quand les femmes ne voient que du sable sur du sable. Un regard circulaire a suffi au rabbin pour trouver l'élue. Il choisit Yudah pour son nom, une contraction de Y... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (16) Voir plus Ajouter une critique
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Yudah est une jeune juive qui vit dans le désert algérien. Elle aime son cousin qui sans doute bientôt l'épousera.
C'est sans compter sur le rabbin Haïm qui arrive un jour au campement choisir une fille de la tribu Qurayza pour "l'offrir"comme fiancée à Abdelkader, afin de protéger cette communauté de ceux qui tuent les juifs sans raison.
Les Qurayzas ne connaissent Abdelkader que victorieux alors qu'il est devenu le prisonnier des français.
Et elle se retrouve sous la tente des épouses d'Abdelkader, qu'elle suivra dans leur déplacement jusqu'en France , en fonction des dernières nouvelles de l'Emir toujours invisible.
Ignorée de tous, coupée des siens, Yudah s'accroche aux superstitions de sa tribu et est loin d'imaginer le destin qui l'attend.

Un livre court 180 pages qui se lit facilement et donne envie de se pencher sur L Histoire!
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L'histoire de « La fiancée était à dos d'âne », dernier roman de l'écrivaine française d'origine libanaise Vénus Khoury-Ghata, s'est construite au départ de deux faits historiques tragiques qui, bien que sans rapport a priori l'un avec l'autre, ont résonné chez elle d'un écho similaire : en 1835, 8.000 juifs – hommes, femmes, enfants, vieillards – ont été massacrés au cours de la même journée à Mascara en Algérie. Dans des circonstances tout aussi tragiques, quelque 600 hommes, femmes, enfants, vieillards appartenant à la smala de l'émir Abdelkader mourront en 1847-1848 de faim, de froid et de maladie, sur la petite île Ste-Marguerite, au large de Cannes, où ils furent contraints à l'exil après la reddition de l'émir.

Vénus Khoury-Ghata a alors imaginé l'histoire de Yudah, une jeune fille juive issue d'une tribu saharienne nomade – les Qurayzas, qu'un vieux rabbin décide d'offrir en présent à l'émir Abdelkader. En échange de cette nouvelle épouse, sa communauté, obligée depuis le massacre de Mascara, de vivre et de se cacher dans le désert, pourrait peut-être bénéficier de la protection du grand homme. Seulement voilà, l'émir n'est en rien au courant de la démarche du rabbin et surtout n'est pas dans son campement : dans le contexte difficile de la conquête de l'Algérie par la France, il est en train de perdre la partie. Yudah est alors déposée au campement de l'émir et, sous le regard peu accueillant de ses quatre épouses officielles, attend celui à qui le rabbin la destine. Lorsque l'Emir capitule et est envoyé en France, le campement où Yudah vit dans l'attente est débarqué sur l'une des îles de l'archipel des Lérins qui possède un fort et un monastère. Vivant à même le sol sous des toiles de fortune, la smala ne résistera pas à l'hiver, à la pénurie de nourriture et aux épidémies. La communauté sera décimée. Les pierres noires (pour les hommes), rouges (pour les femmes), blanches (pour les enfants) vont petit à petit dessiner sur le sol un cercle morbide. Yudah, parce qu'elle semble différente sera la seule à être accueillie par les religieuses. Elles la baptiseront – elle devient Judith, voudront lui apprendre à lire et écrire, mais la trouvant finalement trop subversive la confiront au fiancé éconduit d'une des religieuses venu réclamer sa belle. Voilà la jeune Yudah/Judith à Albi dans la bastide de cet amoureux désespéré qui passe ses journées à peindre sa promise perdue et s'enfonce tout doucement dans la folie. N'ayant pas renoncé à son statut de fiancée de l'émir, Yudah va jusqu'à Pau pour l'apercevoir. En deuil de sa patrie (et d'une de ses femmes), interdit de visite, l'homme écrit, prie et vit en reclus. Yudah n'aperçoit au loin qu'une silhouette captive, inaccessible. Assurément, elle n'arrive pas au bon moment. Elle va alors faire confiance à son destin et suivre Nicolas à Paris, un saltimbanque qui voit en elle la personnification de l'Esther de Racine qu'il veut absolument monter dans un théâtre parisien. Mais à Paris, la révolte gronde contre la monarchie et les barricades se dressent…

Conteuse, Vénus Khoury-Ghata, raconte un vécu qui est en partie le sien, l'histoire de cette jeune fille ballottée par le destin, exilée (un des thèmes récurrents de l'oeuvre de l'auteure) et toujours rejetée. Soumise et naïve, elle fait confiance aux autres qui s'en servent comme d'un objet pour accomplir leur dessein, oubliant qu'ils sacrifient sans ménagement le destin de celle qui rêvait de palais, d'amour et du grand Abdelkader.

Avec la grande histoire en toile de fond, le périple de Yudah depuis les sables du Sahara jusqu'aux barricades de Paris, s'apparente à une odyssée rocambolesque à laquelle on a parfois un peu de mal à croire (surtout l'épisode parisien). C'est là la principale réserve que j'ai par rapport à ce roman. Par contre, son rythme, son côté touchant et émouvant en font une très très belle surprise. L'écriture de Vénus Khoury-Ghata est somptueuse. Ultra concise, ciselée – en quelques mots tout est dit – elle n'en est pas moins très fleurie. le recours aux métaphores vient illuminer le récit et l'irriguer pour éviter l'aridité d'un tel style. C'est un peu comme si l'Orient venait épicer de sa verve et de ses odeurs une langue moins bavarde, plus sage ; comme un cadeau de la poésie au roman…
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Yudah, fille du désert, appartient à la tribu des Qurayzas, peuple juif qui parcourt le désert avec ses chèvres, selon une organisation très établie dans laquelle le rabbin Haïm joue un rôle essentiel. Nous sommes sur les terres algériennes, au temps d'Abdelkader, le caïd qui tint tête aux Français pendant quinze ans. le rabbin pour attirer la bienveillance du grand chef arabe veut lui donner en cadeau une jeune vierge de quatorze ans, Yudah. Les parents pensant qu'ils vendent leur fille à un émir, la laissent partir. du reste, c'était son destin, la gloire future était annoncée dès sa naissance par une tache bleue au-dessus des fesses, signe indiscutable de grandeur à venir.

Haïm mène donc sa protégée à Alger mais là, rien ne se passe comme prévu: la fiancée juive est confinée dans le harem, en proie à la méchanceté des autres femmes et son promis est absent, retenu en France, prisonnier des troupes de Bugeaud. Toute la smala, des centaines de soldats, de femmes et d'enfants, sont emmenés sur l'île Sainte Marguerie, en face de l'Estérel. Elle, malade et blessée après une tentative de viol, est hébergée par les religieuses parmi lesquelles la jeune novice Cécile, réfugiée là parce que son fiancé ne peut l'épouser, la mère de ce dernier exigeant une dot que les parents de Cécile ne peuvent fournir. Yudah, devenue Judith par le baptême, ne comprend pas: dans son monde, c'est le futur mari qui offre la dot!
Au monastère vit un jeune moine qui résoudra par le suicide la douleur d'être renvoyé de ces lieux, image d'une silhouette oscillant sous un toit que Yudah n'oubliera jamais, non plus que le visage douloureux de Cécile, la fiancée abandonnée puis recherchée par son amour venu enfin d'Albi pour l'épouser. Les nonnes en décideront autrement, monde cruel et incompréhensible pour la jeune vierge du désert. Elle va suivre l'amoureux devenu quasi fou de désespoir, lui servir de servante, d'amante, de consolatrice, de modèle aussi car il est peintre. Inlassablement, il reproduit la silhouette de Yudah mais c'est le visage, les yeux, le sourire douloureux de Cécile qui apparaissent sur les dessins achevés.

Jusqu'au jour où elle est retrouvée par son cousin, son promis du désert, Daoud, et le voyage reprend, vers Paris cette fois, nous sommes en 1848, jours d'émeute, le peuple se soulève contre la misère. Napoléon III réprime les émeutes, les tentatives de Victor Hugo pour défendre la cause des faibles n'y feront rien. Avec étonnement, nous entrons dans son appartement de la place des Vosges, le voyons pleurer sa fille, organiser une séance de spiritisme avec Yudah en tant que médium. le récit s'égare un peu pour se terminer sur les barricades.

Un livre intéressant quoique partant dans un peu trop de directions, on aurait bien aimé développer certains aspects un peu plus longuement, la vie dans le désert, dans le harem, le contexte historique de la prise d'Alger, le monde parisien en 1848, même ce curieux passage mêlant l'érotisme sado-maso homosexuel et le fantastique (cet artiste de théâtre gay chaque jour “ enlevé ” par l ‛ “ ogre ”, son amant brutal et mystérieux). A force d'aborder plusieurs thèmes, l'auteur nous laisse sur notre faim ce qui est d'autant plus dommage que l'histoire ne manque pas d'intérêt et l'écriture est plaisante.
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J'ai été déçue par cette lecture, je vais essayer de vous expliquer pourquoi.

Petit rappel de l'histoire : Yudah est une jeune fille juive de la tribu des Qurayzas du désert algérien. le vieux rabbin Haïm l'a choisi pour devenir la quatrième épouse de l'Emir Abdelkader. Elle quitte sa famille pour la première fois et son cousin amoureux d'elle. le rabbin la conduit au campement de l'Emir, il la confie à un garde et s'en va. Mais l'Emir est absent, il combat les français. La jeune fille erre dans le campement et suit le mouvement quand il faut prendre la fuite. Elle n'a toujours pas vu son futur mari et commence à douter qu'il est connaissance de son existence. Elle l'attend au milieu de ses fidèles sur l'île Sainte- Marguerite. Parce qu'elle est seule, jeune et qu'elle a failli être violée, les religieuses qui vivent sur l'ile l'accueillent dans leur couvent. Elle y devient Judith et apprend le français avec une jeune novice. Mais son but reste de rejoindre Abdelkhader emprisonné à Toulon. Son périple ne fait que commencer...

Mon avis :
Le roman est court, trop court et les chapitres sont constitués de deux ou trois pages. Il en découle une impression de survol de l'histoire.

L'histoire oscille entre réalité et irréalité. L'auteur semble vouloir ancrer son histoire dans le contexte de l'histoire de la colonisation algérienne au 19ème siècle. Mais le vocabulaire employé est quelque fois à la limite de l'anachronisme et ce n'est que dans les dernières pages que l'on trouve une indication du temps. Est-ce parce que je ne connais pas assez la période évoquée ou que les indices temporels sont trop camouflés ? J'ai pendant ma formation universitaire étudiée cette période et je m'y suis sentie perdue...
Yudah est une fille du désert qui n'avait jamais quitté sa tribu. Elle devient une jeune fille étonnamment débrouillarde, trop pour moi. Il est difficile de croire à toutes les péripéties qui se succèdent. Comment une jeune fille possédant à peine la langue française en quelques mois peut être aussi à l'aise dans un univers totalement différent ?

Elle ne rencontrera jamais l'Emir mais elle va croiser de nombreux hommes. Un jeune moine, un peintre perdu dans sa passion, un acteur chef de troupe, un poète libertin et même Victor Hugo, ivre de chagrin, suite à la mort de sa fille et son gendre. Elle retrouvera même en plein Paris une connaissance de son passé. Pour moi, ce fut la rencontre de trop...

Alors je m'interroge, suis-je passée à côté du livre ? Est-ce que Yudha ne symbolise pas ce vent du changement insaisissable qui traverse l'Algérie et la France à cette époque ? Où est-elle comme une poignée de sable que l'on saisit et qui vous file entre les doigts ?

C'était ma première participation à une masse critique et je ne regrette pas l'expérience.
Lien : http://mapetitepause.over-bl..
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Un roman-conte par la grande poétesse Vénus Khoury-Ghata, qui remonte un pan peu glorieux de l'histoire de France au travers du destin tourmenté d'une jeune fille juive algérienne. Yudah, qui deviendra Judith au fil de ses pérégrinations, va traverser une France louis-philipparde, coloniale et catholique, à la poursuite de l'émir Abdelkader, à laquelle elle a été promise par sa famille à l'insu de l'impétrant, fort de ses quatre épouses selon la règle coranique. N'hésitant pas à enfourcher l'absurde, ou mieux le "drolatique", l'auteure sait néanmoins rendre crédible, et d'autant plus émouvante, la tragédie de cette fillette au coeur simple, qui réussit à franchir toutes les barrières pour tenter d'accomplir la promesse vouée à protéger son peuple. On pense bien sûr à Jeanne, la "pucelle d'Orléans", et à ces fillettes qui ont bravé tous les dangers et souvent donné leur vie pour défendre une cause ou une foi qui dépassait largement leur propre destinée. Derrière le conte, au-delà des mots d'une langue pure et pleine de poésie, se profile une attaque en règle contre l‘injustice et l'intolérance.
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critiques presse (1)
Lexpress
01 juillet 2013
Vénus Khoury-Ghata aime l'Orient et l'Occident, le désert et les fleurs, les chats et les humains, la prose et la poésie. Et les femmes au destin en zigzag, telle Yudah, petite fille de la tribu juive des nomades Qurayzas héroïne de son nouveau roman, La fiancée était à dos d'âne, qui assaisonne avec bonheur la grande Histoire.
Lire la critique sur le site : Lexpress
Citations et extraits (3) Ajouter une citation
Ses ancêtres innocentés d'un coup, elle se sent légère, voire téméraire, sinon elle ne lui demanderait pas qu'il fasse son portrait pour qu'elle l'envoie à ses parents restés sans nouvelles d'elle depuis bientôt un an. Son image en bonne santé, préférable à n'importe quelle lettre tandis que l'écriture s'efface à mesure que la lettre voyage.
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Le mistral et la maladie continuent leur travail de sape. Pas un jour ne passe sans qu'un convoi ne se dirige vers la pinède où les pelles s'activent. Chaque enfant inhumé a droit à une pierre blanche. Confiés à la terre avec les gestes du boulanger qui enfourne la pâte, les enfants morts sont le pain quotidien des exilés.
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« Les mots changent de sens quand ils sont sur le papier. L’encre les rend tristes »
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Vidéo de Vénus Khoury-Ghata
« Une anthologie de femmes-poètes ! - Eh oui, pourquoi pas ? […] On a dit du XIXe siècle que ce fut le siècle de la vapeur. le XXe siècle sera le siècle de la femme. - Dans les sciences, dans les arts, dans les affaires et jusque dans la politique, la femme jouera un rôle de plus en plus important. Mais c'est dans les lettres surtout, - et particulièrement dans la poésie, - qu'elle est appelée à tenir une place considérable. En nos temps d'émancipation féminine, alors que, pour conquérir sa liberté, la femme accepte résolument de travailler, - quel travail saurait mieux lui convenir que le travail littéraire ?! […] Poète par essence, elle s'exprimera aussi facilement en vers qu'en prose. Plus facilement même, car elle n'aura point à se préoccuper d'inventer des intrigues, de se créer un genre, de se faire le champion d'une idée quelconque ; - non, il lui suffira d'aimer, de souffrir, de vivre. Sa sensibilité, voilà le meilleur de son imagination. Elle chantera ses joies et ses peines, elle écoutera battre son coeur, et tout ce qu'elle sentira, elle saura le dire avec facilité qui est bien une des caractéristiques du talent féminin. […] Et puis, au moment où la femme va devenir, dans les lettres comme dans la vie sociale, la rivale de l'homme, ne convient-il pas de dresser le bilan, d'inventorier - si l'on peut dire, - son trésor poétique. Les temps sont arrivés où chacun va réclamer le bénéfice de son apport personnel. […] » (Alphonse Séché [1876-1964])
« Il n'y a pas de poésie féminine. Il y a la poésie. Certains et certaines y excellent, d'autres non. On ne peut donc parler d'un avenir spécial de telle poésie, masculine ou féminine. La poésie a toujours tout l'avenir. Il naîtra toujours de grands poètes, hommes ou femmes […]. Où ? Quand ? Cela gît sur les genoux des dieux, et nul ne peut prophétiser là-dessus. […]. » (Fernand Gregh [1873-1960])
0:00 - Silvia Baron Supervielle 0:38 - Annie Salager 1:28 - Vénus Khoury-Ghata 2:13 - Colette Nys-Mazure 2:44 - Françoise Thieck 3:10 - Josée Lapeyrère 4:42 - Jeanine Baude 5:36 - Générique
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Références bibliographiques : Couleurs femmes, poèmes de 57 femmes, Paris, co-édition le Castor Astral/Le Nouvel Athanor, 2010. Françoise Chandernagor, Quand les femmes parlent d'amour, Paris, Cherche midi, 2016.
Images d'illustration : Silvia Baron Supervielle : https://thalim.cnrs.fr/manifestations-culturelles/article/gestes-et-poesie-rencontre-avec-silvia-baron-supervielle Annie Salager : https://poussiere-virtuelle.com/wp-content/uploads/2017/04/Annie-Salager.jpg Vénus Khoury-Ghata : https://i0.wp.com/arablit.org/wp-content/uploads/2020/08/khoury-ghata-cat2.jpg?ssl=1 Colette Nys-Mazure : https://www.tga.fr/colette-nys-mazure-poete-chretienne-et-libre.html Josée Lapeyrère : https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/2/2c/Josée_Lapeyrère.jpg Jeanine Baude : http://editionsws.cluster011.ovh.net/wp-content/uploads/2015/05/DSCN5542.jpg
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