Les Gouttes de Dieu, tome 18

Après les sommets atteints dans les deux albums précédents lors de la quête du cinquième apôtre par les deux jeunes, on redescend sur terre et, forcément, ce dix-huitième opus est moins passionnant.

C'est Issei qui a remporté le duel d'identification du cinquième apôtre mais Shizuku en a retiré des enseignements qui pourraient l'aider lors de la préparation du prochain duel.

Ce tome accorde une large part aux possibles accords des vins avec la cuisine chinoise et c'est l'Italie avec toutes ses régions productrices de vin qui paraît s'imposer.

Il y a de l'humour dans cette histoire dans l'histoire, des digressions quelquefois moins aisées à suivre avec des personnages à peine aperçus dans les tomes précédents ce qui donne un ensemble moyen en laissant expérer du mieux pour la suite.

Le 5ème apôtre est découvert, grâce au Cervin. A propos de ‘sert vin', encore une fois ils ne s'en privent pas. de nombreux repas et rencontres autour dans ce tome, donc de bavardages animés.
Préface de Denis Saverot, directeur de la rédaction de la Revue du vin de France, le plus ancien magazine au monde consacré aux grands vins (créé en 1927).

Un bon volume que nous avons ici !
Un apôtre résolu, une mission annexe à remplir (accord mets/vins en jeu, mes préférés), et un mariage.
A noter, un petit retour en force de Chosuke qui fait plaisir, tellement ce personnage est totalement à part. Et puis, les vins italiens c'est bien aussi, cela change de nos vins français qu'on connaît toujours un peu plus.
Comme toujours, je me sens un petit côté oenologue (et une grosse envie de boire du vin) chaque fois que je termine un volume des Gouttes de Dieu.

Préface de Denis Saverot, directeur de la rédaction de « La Revue du Vin ».
Dans ce tome, on repart sur une dégustation entre amis, pour le plaisir du vin simplement. Ce qui donne droit à de magnifiques descriptions imagées.
Un tome basé sur les mariages : mariage de saveurs bien entendu, la cuisine chinoise cette fois sera au centre des recherches. Mais autour du vin, des couples se créent, des amis se retrouvent… seul Shizuku reste fasciné par le vin et sa quête des apôtres. C'est d'ailleurs à l'occasion d'un mariage qu'il prendra conscience d'un plan d'ensemble dans le testament de son père. Images, saveurs, souvenirs, techniques de vinification, régions viticoles… comme toujours, c'est un cours que l'on prend sans s'en apercevoir…

Dix-huitième tome et découverte du cinquième apôtre. Après la cuisine coréenne, Shizuku s'attaque au difficile mariage entre la cuisine chinoise et le vin. Après un début sous haute tension, la pression descend avec des histoires plus simples. Mais le plaisir est toujours là !