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Détective Bill Hodges tome 3 sur 3
EAN : 9782226422729
432 pages
Albin Michel (08/03/2017)
  Existe en édition audio
3.98/5   934 notes
Résumé :


Dans la chambre 217 du Service des Traumatismes Crâniens de la région des Grands Lacs, quelque chose vient de se réveiller. Quelque chose de Maléfique.
Brady Hartsfield, auteur du massacre à la Mercedes où huit personnes ont été tuées et bien plus gravement blessées, a passé cinq années dans un état végétatif à la Clinique des Lésions Cérébrales Traumatiques.

Selon ses docteurs, il est très peu probable qu’il récupère complètem... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (177) Voir plus Ajouter une critique
3,98

sur 934 notes

«La vengeance est une hyène et la hyène est de retour.»


Un dernier opus très attendu où
Nageront les petits poissons de couleurs,
Ici et maintenant, le grand retour du méchant!
On l'a attendu, on l'a voulu,
N'en déplaise à ses victimes ; Brady Is Back!

L'évidence même que de retrouver nos personnages favoris. Plus
Génial encore, que d'être aux premières loges d'une mission suicide!

Si j'ai beaucoup d'affection pour Bill, c'est pour Brady que j'ai suivie la trilogie. D'ailleurs les moments de lecture qui m'avaient le plus animés dans le second tome ( Carnet noirs), furent ceux où Bill rendait visite à celui-ci: mode Cata. Sa folie, son répondant et sa détermination ainsi que les drames qu'il semait sur son passage m'ont conquise. C'est un personnage qui en jette.

Alors certes, son taux d'échec était élevé, MAIS quand il arrivait à ses fins, ce n'était pas à moitié! Ce que j'aime le plus, c'était le coté complètement désaxé de sa personnalité». J'ai pris plaisir à découvrir le fin mot de l'histoire concernant sa santé.

De façon générale, Oui, j'ai aimé Fin de ronde. Je l'ai lu très rapidement, ce qui n'est pas bien difficile puisqu'il est coupé en de nombreuses petites séquences, mais cela n'altère pas à l'histoire. On se retrouve une nouvelle fois embarqué avec Bill (confronté aux problèmes de l'âge), et son ennemi juré, qui n'a pas dit son dernier mot. Que faire quand on doit choisir entre la santé et une mission qui nous ait presque viscérale?

Des morts suspectes surviennent, avec un léger goût de déjà-vu. Mort étrangement liées à une ancienne affaire.

Arriveront-ils à remonter jusqu'à Brady?

Avant l'hécatombe ?

Coups de coeur pour la première moitié du roman, qui annonçait beaucoup pour la suite. Un méchant à la hauteur de mes attentes. Des scènes classes et prometteuses. Adrénaline qui doucement retombe sur la seconde partie, avant les « retrouvailles ».

J'aurais souhaité que Stephen King ose d'avantage. A mes yeux il a été trop clément avec certains de ses personnages. Mais il reste le maître et j'aimerais toujours le lire. Je ne me suis pas ennuyée, pas de lourdeur, et j'ai pris plaisir à travers ce roman.

La toute fin est pour moi très bonne, je ne voyais pas d'autre conclusion possible pour notre petit Bill, ainsi que ses acolytes.


Spoil:




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Et bien j'avoue que ça me fait mal, mal à la tête , mal au coeur....

J'attendais vraiment beaucoup de ce roman, sans doute trop. Sans doute que je m'étais fait une idée fausse avec les quelques éléments que le maître avait disséminé dans le second opus de sa trilogie.
J'attendais de revivre le plaisir, la hantise, la joie, le suspens que j'avais lu dans les autres romans de Stephen liés a la télékinésie. Et oui Charlie et Carrie je les ai adoré, dévoré. Et du coup, j'espérais....

Mais malheureusement le King a voulu en faire de trop (à mon sens) et du coup j'ai trainaillé à lire ce roman. Je me suis fait violence pour le finir. Et pourtant j'aime ses personnages, j'aime son écriture, j'aime ses histoires.
Et puis du coup , a force de vouloir trop en faire avec Brady, à lui donner trop de possibilités de se servir de ses nouveaux pouvoirs , j'en reviens a une de mes phrases favorites : le trop est l'ennemi du bien.

D'un autre côté je suis contente de voir que d'autres lecteurs ont apprécié ce roman. Mais même si je voue une certaine admiration pour l'un des plus grands auteurs contemporains, je ne peux pas dire que j'ai passé un bon moment de lecture. Je reste avec l'idée que Stephen King aurait du s'arrêter a son tome 1.

Une trilogie qui pour moi est une courbe rectiligne totalement décroissante.
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Je referme ce troisième volet de la trilogie Bill Hodge que j'ai adorée, au moins pour les deux premiers tomes. le troisième me laisse pensive. Je sais bien que c'est du Stephen King, qu'il faut s'attendre à moultes prouesses de la part de ce passionné de fantastique, et j'ai accueilli avec un enthousiasme teinté de réserve, le fait que Brady puisse coloniser les individus de ce poison démoniaque qui le hante, d'ailleurs, ce n'est pas ce fait qui m'a gêné, c'est plutôt le côté confus du récit : quand on a lu le premier tome il y a deux ans, on a des difficultés à renouer avec les personnages, on ne sait plus trop qui est qui, et cela perturbe le suivi de l'histoire, autre fait un peu gênant qui vient peut-être de moi, j'ai eu des difficultés à cerner certains personnages qui servaient d'intermédiaire à l'assassin qui les avait hypnotisés.
Concernant le suspens, il y en a moins que dans Monsieur Mercedes qui avait réussi à me nouer agréablement (j'aime bien avoir peur en lisant un roman).


Si l'on oublie ces considérations de ma part, je peux dire que j'ai tout de même passé un bon moment de lecture en me demandant comment notre trio allait percer le mystère d'un Brady plus psychopathe que jamais quoique décédé, comment notre héros Bill Hodges, allait se sortir de ce cancer qui le ronge et comment il viendrait à bout de ce Blob infernal que constitue le psychopathe de service.


Je me demande d'ailleurs si une suite ne serait pas possible mais ne pouvant justifier cette affirmation sans spoiler, je croise les doigts et attends patiemment de voir si Stephen King nous propose une nouvelle suite de ce thriller haletant bien que le dernier volet s'intitule fin de ronde, l'espoir est toujours permis.
Lien : https://1001ptitgateau.blogs..
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Je viens de terminer ce troisième tome de la trilogie et comme le laissait présager le final de "Carnets noirs", après deux tomes exempts de tout soupçon de fantastique, Stephen King a retrouvé ses habitudes en nous offrant un thriller fantastique.
Pour ma part, je dois dire que j'ai avalé ce roman à vitesse vv', aidé par une écriture fluide et par des chapitres très courts, chose très rare chez Stephen King, qui accélèrent grandement le récit.
Donc, pour moi, une nouvelle grande réussite du Maître ... Vivement le prochain ... Merci Maestro, cela fera bientôt 30 ans que je me réjouis à (presque) chacun de vos romans !
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Pas plus tard qu'hier, je me suis surpris à contempler longuement l'écran de veille d'un ordinateur, au bureau. Des bulles de différentes couleurs s'y déplaçaient doucement, se télescopaient avant de rebondir dans une autre direction. Pendant cinq bonnes minutes, je n'ai plus du tout prêté attention à ce qui se disait autour de moi. J'étais comme fasciné par cette danse harmonieuse, par ces ronds qui passaient par toutes les gammes chromatiques de l'arc-en-ciel et qui n'en finissaient pas d'aller et venir d'un bord à l'autre de l'écran, à un rythme toujours très lent. J'étais comme hypnotisé.
Et j'ai surtout davantage réalisé les dégâts que pouvait provoquer la démo de "Fishin' Hole", ce jeu vidéo en apparence innocent à l'honneur dans le roman.
Parce que si Brady Hartsfield avait été dans le coin, j'aurais probablement fini par ouvrir la fenêtre et c'est à l'état de crêpe qu'on m'aurait retrouvé sur le macadam, vingt mètres plus bas.

J'attendais avec impatience ce troisième tome de Mr Mercedes. J'avais en effet beaucoup aimé les deux premiers et bien qu'il s'agisse d'une incursion de Stephen King dans la littérature policière, je l'avais trouvé incorrigible quand, dans le second ( Carnets noirs ), il avait attribué à un Brady paralysé sur son lit d'hôpital des pouvoirs de télékinésie. A croire que l'auteur américain ne pouvait s'empêcher d'intégrer du surnaturel, même dans une série de romans noirs. L'idée me ravissait tant les possibilités semblaient infinies avec ce virage à 180°, d'autant plus que Brady fait indubitablement partie de ces méchants qu'on adore détester tant ils sont dérangés, manipulateurs et sournois.
Nouvelle confrontation avec l'Off - ret Bill Hodges ? de nouvelles règles du jeu et un équilibre des forces revu et corrigé ? C'était vraiment prometteur. Sans doute trop.

Comme dans les deux volets précédents, Fin de ronde s'ouvre sur cette scène de cauchemar devant le City Center, où une voiture folle joue au bowling avec des êtres humains en guise de quilles. Cette fois, nous suivrons le point de vue et l'intervention des ambulanciers, qui parviendront notamment à sauver la vie d'une des victimes de ce carnage matinal. Martine Stover demeurera néanmoins tétraplégique et six ans plus tard, il semblerait que sa mère l'ait aidé à quitter ce monde avant de se suicider. Responsable de l'enquête, Pete préviendra son ancien coéquipier Bill Hodges. Il ne s'agit pas du premier incident de ce genre ayant un rapport indirect avec le prince du suicide Hartsfield et même si ce dernier n'est plus en mesure de faire de mal à qui que ce soit, un léger doute subsiste sur son éventuelle implication.
Accompagné de sa fidèle et excentrique associée Holly, Bill mènera une enquête parallèle à celle de la police dont le point de départ sera un Zappit retrouvé sur les lieux du crime, c'est à dire une console de la forme d'une game-boy mais avec des jeux intégrés.
"- Brady Hartsfield aimait le suicide, murmure-t-elle. C'était son hobby."

Comme vous l'aurez compris, Mr Mercedes est quant à lui dans un piètre état depuis qu'Holly est parvenue à le mettre hors d'état de nuire. Sa dernière tentative d'attentat s'est en effet soldée par un crâne fracassé d'un sac de billes.
"Pas loin de l'état de mort cérébrale.", "Il n'y a plus rien à l'intérieur de lui, Bill.", "Hartsfield est parti au pays des légumes.", "Aussi inconsistant qu'un bol de porridge."
Et pourtant ... Bill a toujours eu une incertitude sur la réelle mise hors-circuit de son ennemi juré.
"Il mérite l'oscar des traumatisés du cerveau, pas de doute là-dessus."
Une infirmière le mettait au courant des rumeurs folles qui circulaient au sujet de son patient, qui serait capable malgré son apparente léthargie de déplacer des objets par la force de l'esprit.
Soigné par le docteur Babineau avec un traitement non homologué, l'architecte du suicide serait-il en fin de compte plus en forme que jamais ?
"En tant qu'être physique, il était pour ainsi dire fini."
Le cerveau de Brady tourne en revanche à plein régime et va reprendre exactement là où il s'était arrêté, mettant sur place un nouveau plan machiavélique.

L'aspect fantastique que j'attendais tant est donc bel et bien présent. Hartsfield se découvre de nouvelles capacités, en plus de la télékinésie, qui feraient presque de lui un super-méchant de comics s'il n'y avait pas eu une volonté de l'auteur de rationaliser au maximum ces pouvoirs. En réalité, j'ai eu souvent l'impression de lire un roman fantastique qui ne s'assumait pas entièrement.
Quant au fameux plan de Brady, si j'ai aimé que ce taré puisse malgré sa déchéance continuer à exercer une certaine forme de contrôle sur ses proies en leur suggérant que leur vie ne valait pas la peine d'être vécue ( comme il l'avait déjà fait dans Mr Mercedes ), j'ai trouvé son idée tellement complexe dans sa mise en oeuvre que je me suis parfois perdu en chemin, ne retenant que l'essentiel. Mélange indigeste ( pour moi ) d'électronique, d'informatique et de paranormal, j'avoue m'être parfois déconnecté de la trame vengeresse dont je n'ai pas assimilé tous les rouages. L'intrigue a selon moi souffert d'un manque de fluidité avec cette longue justification et mise en place d'un plan qu'on ne pouvait de toute façon qu'accepter sans y croire véritablement.

Ce troisième volet est donc à mon avis un peu en deçà des deux précédents, mais il n'est pas non plus à éviter. Il répète d'une certaine façon le duel qui opposait Brady et Bill dans le premier tome, mais dans des circonstances radicalement différentes. Brady parviendra-t-il enfin à se venger du flic retraité qui lui a mis tant de bâtons dans les roues ? ( "Hodges méritait plus qu'une balle dans le ventre suivie de dix ou quinze minutes d'agonie. Bien plus." ). le livre offrira en tout cas une ingénieuse conclusion à leur affrontement.
Au-delà de la réflexion sur les dangers des jeux vidéos ou des réseaux sociaux, ce tome a surtout été pour moi synonyme du plaisir de retrouver les protagonistes des tomes précédents. Brièvement on retrouvera Tom Saubers, autre victime de la Mercedes et principalement protagoniste de Carnets noirs. Brady revient sur le devant de la scène et permet quelques moments d'anthologie de par son aspect parasitaire et c'est avec un malsain plaisir qu'on retrouve notre taré de service en très grande forme malgré les apparences. Et puis bien sûr, l'équipe de Finder's keepers est là au grand complet. Jérôme tardera un peu à apparaître mais sa soeur Barbara nous aidera à patienter. Holly quant à elle est toujours parfois maladroite ou stressée ( "Holly a beau avoir des troubles de la personnalité, elle sait très bien arriver à ses fins." ) mais elle a pris beaucoup d'assurance également, en particulier au contact de son associé et ami Bill Hodges. Notre détective sans licence devra quant à lui lutter sur différents fronts puisque les mauvaises nouvelles n'arrivent jamais seules, et le retour de Brady coïncidera avec de graves problèmes de santé. Et Stephen King est toujours aussi talentueux pour rendre réels, sincères et émouvants ses personnages.

Une dernière petite parenthèse pour évoquer certains choix musicaux qu'a fait Stephen King pour ses personnages. Je pense en effet qu'y retrouver Ozzy Osbourne ( "Il va sur BAM-100 et tombe sur du Black Sabbath à l'époque où Ozzy était un mec cool" ) ou Judas Priest ( "Il allume la radio, se trouve un bon Judas Priest, et monte le son." ) n'a rien d'un choix hasardeux.
Ozzy Osbourne a en effet chanté "Suicide solution" sur Blizzard of Ozz, album qu'écoutait en 1986 un adolescent dépressif au moment de son suicide.
Quant à Judas Priest, c'est en 1985 que deux jeunes américains vont écouter en boucle l'album "Stained Class" en fumant de l'herbe avant de passer à l'acte.
Mis en accusation, les anglais sont passés en justice cinq ans plus tard, accusés d'avoir dissimulé des messages subliminaux dans cet album.
Passé à une certaine vitesse, on pouvait entendre sur le disque : Let's be dead - Try suicide - Do it ( Soyons morts - Essaie le suicide - Fais le ).
Je tiens à préciser que dans les deux cas, les artistes ont été mis hors de cause.
Il n'en reste pas moins que les messages subliminaux existent.
Et ça n'est pas Brady Hartsfield, "cet enfoiré de prince du suicide", qui prétendra le contraire.


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critiques presse (3)
LeMonde
10 juillet 2017
Une lutte à mort entre un vieux cow-boy humaniste, malade et inflexible, et un diable 2.0 qui est aussi un choc sociétal, la confrontation de deux conceptions du monde et de l’homme.
Lire la critique sur le site : LeMonde
LaPresse
27 mars 2017
On en ressort quand même un peu déçu (la voie réaliste, le ton au noir aurait si bien convenu à tout ce qui a été placé avant!), mais avec le très grand désir de retrouver un jour la fabuleusement étrange Holly.
Lire la critique sur le site : LaPresse
Telerama
01 mars 2017
Lecteurs innocents, passez votre chemin, ce livre est fait pour tous ceux qui connaissent déjà ce bon vieux Bill Hodges, flic retraité, et ses démêlés avec son ennemi juré, le psychopathe Brady Hartsfield.
Lire la critique sur le site : Telerama
Citations et extraits (109) Voir plus Ajouter une citation
"Il est persuadé que des milliers de suicides ont incubé dans la soupe puissante de ses réseaux sociaux où les trolls galopent sans frein et les injures volent sans trêve. C’est ça le vrai pouvoir de l’esprit sur la matière."
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"Maintenant il comprend pourquoi le cancer du pancréas est appelé cancer furtif, et pourquoi il est quasiment toujours mortel. Il s'embusque, rassemblant ses troupes et envoyant des émissaires secrets aux poumons, aux ganglions lymphatiques, aux os, au cerveau. Puis il lance la guerre éclair, sans comprendre, dans sa rapacité stupide, qu'il ne récoltera que sa propre mort dans la victoire." (p.364)
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"Peut-être que Hartsfield n’est pas une guêpe humaine, après tout. Peut-être que c’est une araignée et que la Chambre 217 du Bocal est le centre de sa toile, qu’il continue de tisser."
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" Brady avait redressé la tête pour la regarder et élevé une main à hauteur de sa poitrine. Il avait replié ses doigts en un poing lâche et tremblotant. Puis son majeur s’était lentement déroulé."
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P36
Holly est la raison pour laquelle Brady Hartsfield, alias le tueur à la Mercedes, se trouve maintenant au kiner memorial, à la clinique des traumatisés du cerveau de la région des grands lacs. Elle lui a defonce le crâne avec une chaussette bourrée de billes de roulement avant que Hartsfield ait pu déclencher une catastrophe bien plus vaste que celle du City center.
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« Holly » de Stephen King, traduit par Jean Esch, lu par Colette Sodoyez l Livre audio
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