J'ai bien fait de passer outre la purge du "pistolero". Ce deuxième tome de la saga de "la tour sombre" rédigée 5 ans après la dernière oartie du "pistolero" se révèlme une bonne surprise. Si
Stephen King continue de rester très mystérieux sur le but de la quête de Roland, il réussit à intriguer et à faire ce qui est à la marque d'un bon roman "de métro": la putain d'envie de tourner la page, quitte à rater sa station.
Je vais attaquer "terres perdues" dans la foulée, en espérant en savoir un peu plus sur cet univers.
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