C'est dommage que lorsque l'on lit un roman de cette série on voit autant qu'ils ont été écrits à quatre mains.
Faut dire que si l'un n'est pas un grand écrivain, l'autre est carrément une buse, résultat on passe d'une écriture à peine digeste à une limite nauséeuse. Et hélas plus cela va et plus cela s'aggrave, ce dernier tome atteignant des sommets dans la pauvreté stylistique.
Pour l'histoire, c'est pareil, imaginée à deux cerveaux, soit un de trop.
Alors dans l'ensemble elle est largement meilleur et plus palpitante que la précédente, mais par moment ça part dans des dérives sans queue ni tête et bien peu crédibles.
Sans parler des nombreuses incohérences et contradictions qui parsèment ce tome, pourtant pas bien long.
Ajouter à cela une traduction qui ne fait rien pour rattraper le tout et vous obtenez une série qui s'enlise de plus en plus dans la médiocrité, dommage, surtout aux vues de la qualité de la série TV et des comics.
Conclusion, je testerai peut-être un dernier tome, mais s'ils ne reviennent pas à la qualité (pourtant déjà pas géniale) des premiers, ça sera le dernier.
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Se lit assez rapidement. Heureusement parce qu'on est loin du chef d'oeuvre. C'est redondant au possible. Lily est surhumaine. Et disons que j'ai hâte d'avoir terminé la série. Ce n'est pas mauvais. Mais bof…. L'intérêt des tomes 1 et 2 est disparu depuis longtemps.
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de plus en plus mal écrit / traduit en francais. heureusement qu'on me le prete pour finir de suivre les aventure de lilly ...
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Ce septième roman est une bonne surprise qui prouve que des romans adaptés d'un univers bd peuvent être tout aussi réussis.
Lire la critique sur le site : Sceneario
Ce sont des pages arrachées d'un carnet à spiral, dont chaque centimètre carrè est couvert de minuscules croquis obsessionnels qui paraissent de prime abord normaux, bien qu'un peu désordonnés - quantité de flèches, de carrés, de cercles concentriques - le tout tournant autour de variations infinies d'un même motif ; une forme féminine angélique avec des cheveux brun-roux, une queue-de-cheval, un jean déchiré et une auréole. Représentée d'une main enfantine, cette femme étrangement familière est qualifiée sur certaines de pages de "donneur zéro", tandis qu'ailleurs, elle est appelée "la panacée" ou "la déesse de la peste".
Un frisson glacial noue l'estomac de Lilly lorsqu'elle lit, sous le dessin, la mention "L.C." ou "Lilly C.".
Walking Dead Clementine 1