Carl : Tu… tu en as encore peur ? [des morts-vivants]
Sophia : Presque plus. Je n’aime pas trop le bruit qu’ils font. Mais ils ne me font plus peur. Ils me font plutôt de la peine.
File-moi un flingue, merde. Je vais pas tirer sur ces trucs avec ma bite !
Andrea : Ça fait du bien d’enlever ces vieux vêtements. Pas vrai ?
Dale : Tout à fait. Deux mois de plus et j’aurais été obligé de courir après mon fute pour l’enfiler.
Glenn : Sans déc’, Maggie. C’est le paradis. Je ne sortirai jamais d’ici.
Maggie : Ça veut dire qu’on remet ça ?
Glenn : Je… euh… non. D’ac’ ? J’aimerais bien mais… je sais pas si je peux ! J’ai atteint ma limite pour la journée… ou la semaine. Tu veux te serrer contre moi ? Les filles aiment bien, et ça, je peux encore le faire.
Maggie : On peut se serrer… si c’est ce que tu veux. Gonzesse !
On est livrés a nous mêmes, et cet endroit c'est tout ce que nous avons. Si vous croyez que les choses vont revenir à ce qu'elles étaient avant...Plus rien ne sera jamais pareil !
On vit à crédit. Chaque minute de notre vie est une minute qu’on leur vole.
- Je fais des blagues... Je fais des blagues ? Un de mes potes vient de me démonter la tête. Un autre vient de mourir. Un paquet d'autres sont déjà morts. Et il y a une chiée de cadavres en vadrouille, dehors. Et je fais des blagues. Peut-être que je deviens barje. (Rick)
J’aime autant avoir quelque chose de sûr, dans la vie… un mec qui tient à moi. Te rejeter serait idiot. Et puis, j’ai des besoins physiques, aussi…
J’avais deux gosses. Deux filles. J’avais aussi un père, une mère, un frère, deux sœurs, un ex-mari, un boulot, un emprunt… et un paquet d’autres trucs. J’ai plus grand-chose aujourd'hui. Les choses ont changé.
Tu t’es dressée contre nous avec… avec deux nègres. Je ne t’adresserai plus la parole. Pour moi, tu es morte.