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EAN : 9782203063037
197 pages
Casterman (09/01/2013)
4.03/5   29 notes
Résumé :
Né Juif en Pologne en 1925, Hertzko Haft, comme tous ses coreligionnaires, vit l’entrée dans la Seconde Guerre mondiale comme une tragédie. Rapidement envoyé en camp de travail, le jeune homme apprend la survie de manière inattendue: sommairement formé à la boxe par l’un de ses geôliers, il devient une sorte d’attraction sportive au coeur de l’horreur concentrationnaire, en livrant des combats de boxe qu’il parvient toujours à gagner. Miraculeusement rescapé de l’ho... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (11) Voir plus Ajouter une critique
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Relu hier soir, j'ai réalisé que je n'avais pas encore (comme nombre d'autres ouvrages d'ailleurs...), parlé de cette bande-dessinée ici...
Le boxeur nous emmène à Belchatow, en Pologne, en 1939 à l'arrivée des allemands.
Notre héros, issu d'une famille pauvre, doit tenter de nourrir sa famille dont le quotidien se complique chaque jour davantage, mais juif, il est bientôt déporté.
Il traversera l'horreur de plusieurs camps, notamment dans un sonderkommando, avant de se voir proposer des combats de boxe pour distraire les SS.
Au fil des combats, il se forge une réputation, et les officiers viennent de plus en plus loin pour lui opposer le champion de leur propre camp.
Le récit est très prenant sur fond d'histoire d'amour, l'ambiance sordide de la période est particulièrement bien rendue, et l'originalité de l"histoire de cet homme en fait un livre très réussi.
Une bd à découvrir.
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Le boxeur, c'est Hertzko Haft, né juif polonais en 19129. Une tête brûlée et un des rares de sa famille à avoir survécu à la Shoah ; alors même qu'il n'est âgé que de 15ans et demi au moment de sa déportation.

Je connaissais l'histoire du nageur Alfred Nakach, sportif juif déporté pendant la Seconde Guerre mondiale et utilisé comme distraction pervers pour les SS des camps. C'est donc naturellement que ce roman graphique a attiré mon attention.

Hertzko, qui se rebaptise lui-même Harry lorsqu'il arrive sur le sol américain, fait partie des "chanceux" dans la mesure où lui et son frère ont d'une part, survécu à la vie au camp puis à la marche de la mort.
A Auschwitz, sa bonne étoile le met sur la route d'un SS qui le prend sous sa protection, dans le but plus ou moins pervers de disposer d'une marionnette. Marionnette qu'il compte utiliser d'abord pour se divertir et divertir ses collègues SS, puis au cas où, pour sauver sa peau si la guerre tourne mal (mieux vaut avoir un alibi pour montrer que quand même, il n'était pas si terrible que ça).
Haft a été déporté au même âge qu'Elie Wiesel, et on voit à quel point lui aussi a été détruit. On peut se dire que devoir brûler les cadavres de ses paires dès son arrivée devait être un traumatisme suffisant. Mais à ça c'est rajouté le fait qu'il est devenu une attraction dans un spectacle sadique pour satisfaire les besoins pervers de ses geôliers. le moins qu'on puisse dire c'est que la noblesse du sport et du combat n'est pas de mise. L'urgence de la survie est exacerbée dans ses combats où l'on joue pour une ration supplémentaire et où le gagnant est fusillé à l'issue de sa défaite... Y-a-t-il vraiment besoin de trouver des qualificatifs pour cette situation ? Comment s'étonner qu'il soit devenu, comme son fils le décrira "un être cruel et violent " ? Peut-on vraiment le blâmer ? Jusqu'où la force de l'esprit peut-elle aller ?
Le graphisme de Kleist met parfaitement en valeur ces regards tourmentés et ses corps meurtris , et sert ainsi parfaitement le récit de cet homme.

C'est en tout cas une histoire assez touchante qui mêle Seconde Guerre mondiale, rêve américain, mafia, boxe et histoires d'amour et de familles. Un récit de vie, mais quel destin ....

Le dossier en fin d'ouvrage, signé du journaliste sportif Martin Krauss, redonne des "titres" à ces champions des camps de la mort loin d'être de cas isolés. Très intéressant, à ne rater sous aucun prétexte.
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Né en 1925 à Belchatow, Hertzko Haft a 14 ans lorsque les allemands envahissent la Pologne. Parqué avec le reste de la population juive dans un ghetto de la ville, Hertzko est arrêté en 1941 et déporté dans les camps de travail de Poznan et Strzelin. En 1943 il est transféré à Auschwitz, puis au camp annexe de Jaworzno. C'est là que ses talents de boxeur sont remarqués par un officier SS qui le recrute afin de mettre sur pied des combats contre d'autres déportés. Un spectacle navrant dont le but est de distraire les gardiens du camp. Hertzko sait qu'il lui faut gagner pour éviter de mécontenter les soldats qui parient gros sur ses chances et ainsi préserver sa situation « privilégiée ». Au début de l'année 1945, alors que l'armée rouge se montre de plus en plus menaçante, les déportés entament plusieurs « marches de la mort » qui les déplacent de camp en camp. Hertzko y survit miraculeusement en s'échappant lors de la traversée d'une forêt.

La seconde partie de l'album dépeint l'arrivée d'Hertzel à New York après la libération. Rebaptisé Harry Haft, il y mènera une carrière de boxeur dans un premier temps prometteuse mais dont l'élan sera brisé en 1949 lors d'un combat perdu par k-o contre le futur champion du monde Rocky Marciano.

Ce roman graphique retrace un destin tragique où la devise « se battre pour survivre » prend tout son sens. le boxeur n'est pas vraiment quelqu'un de touchant, il apparaît même assez antipathique. L'aspect fascinant de sa trajectoire tient en une question : comment cet homme a-t-il pu supporter la vie dans les camps ? Affecté aux crémations, au tri des effets volés aux déportés ou à l'extraction du charbon au fond d'une mine, Hertzko ne va jamais s'effondrer. Derrière son inébranlable instinct de survie, un seul rêve l'anime : revoir Leah Pablanski, son amour de jeunesse. C'est en pensant à cette jeune fille qu'il parvient à rester debout, sur le ring ou ailleurs. Il la retrouvera bien des années plus tard, en Floride, pour une dernière rencontre bouleversante…

Un album en noir et blanc où le trait vif et nerveux du dessinateur allemand fait merveille. le gros reproche que je ferais concerne le format, trop petit pour magnifier la maîtrise graphique de Kleist. Beaucoup de cases semblent minuscules, écrasées, et donnent par moment au lecteur la désagréable impression de regarder cette histoire par le petit bout de la lorgnette.

Cette biographie est adaptée des mémoires de Haft, publiées en 2003 par son fils, associé à deux chercheurs américains. Il est précisé en postface qu'il peut y avoir quelques confusions sur les dates et que certaines scènes décrites par l'ancien déporté sont invérifiables mais la véracité de son parcours reste indiscutable. le récit de ce père analphabète et violent aura entre autres permis au fils de mieux comprendre pourquoi son géniteur, souvent taciturne, pouvait entrer dans des colères terribles. En racontant son douloureux passé, Harry a pu faire la lumière sur des années d'incompréhension entre lui et les siens. C'est sans doute l'aspect le plus touchant de son témoignage.
Lien : http://litterature-a-blog.bl..
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La première biographie de cet homme fut écrite par son fils, Alan Scott après que Harry « Herschel » Haft, alias Hertzko Haft, lui raconta son parcours en 2003. Hertzko mourut en 2007, peu de temps après la publication de l'ouvrage. En 2012, Reinhard Kleist adaptera à son tour cette biographie dans le boxeur, roman graphique paru en Allemagne en 2012 sous le titre de der Boxer.

Le scénario balaye rapidement l'enfance de cet homme. On apprend notamment que suite au décès de son père, Haft a alors 5 ans, c'est son frère aîné qui endosse la responsabilité de chef de famille :

« A partir de ce moment, il fallait travailler, sinon c'était la raclée ».

Issu d'une famille juive polonaise très modeste, Hertzko sera renvoyé de l'école à l'âge de 14 ans. Dès lors, il aidera ses frères dans le petit commerce clandestin qu'ils ont monté. Puis, il rencontre Leah dont il tombe amoureux. Ils envisageront rapidement de se marier mais le destin en a décidé autrement.

Hertzko est déporté aux camps de concentration. Par chance, dans chaque camp où il passe, il parvient à obtenir la protection d'un officier S.S. C'est notamment le cas de Schneider, un nazi en poste à Auschwitz, qui intègre Hertzko dans son équipe de boxeurs.

« Là, animé d'une rage dévorante et du souvenir de sa fiancée Leah, il survit à la force de ses poings et devient La bête de Jaworzno, un boxeur qui combat d'autres prisonniers pour distraire les nazis. A la Libération, tous ses proches ayant disparu, il immigre aux Etats-Unis où il continue à boxer, mais avec cette fois une seule idée en tête : devenir assez célèbre pour que Leah, où qu'elle soit, entende parler de lui » (présentation éditeur).

Le scénario de Reinhard Kleist se construit de façon classique autour des trois grands moments de la vie du personnage : 1/ son départ pour les camps, 2/ son départ pour les Etats-Unis et 3/ lorsqu'il raccroche les gants pour ouvrir son épicerie de quartier.

Le récit reste fidèle à la chronologie des événements. A partie du deuxième chapitre, quelques brèves réminiscences nous rappellerons l'ampleur les séquelles infligées par quatre années passées dans les camps de la mort. Ces passages sont percutants mais ils sont si peu nombreux et si succincts qu'ils ont un faible portée. Je trouve cela dommage que l'auteur ne décolle pas de la chronologie des faits et ne cherche pas à déstabiliser le lecteur outre mesure. La narration se contente de poursuivre sa fuite en avant, irrémédiablement, dépossédant ainsi le personnage principal du charisme auquel il pourrait légitimement prétendre.

De même, il me semble que l'auteur s'appuie exagérément sur l'instinct de survie exacerbé du boxeur. C'est là le principal fil conducteur de son histoire, LE trait spécifique de la personnalité de Hertzko Haft mais à trop vouloir en faire, Reinhard Kleist perd de vue l'essentiel : son récit manque de profondeur. La force évocatrice de certains dessins est mal exploitée, l'oeil du lecteur n'a pas l'opportunité de marquer un temps d'arrêt suffisamment conséquent, lui aussi poursuit sa fuite en avant, attiré par les jeux de contrastes entre l'ombre et la lumière du dessin suivant. Les visuels se succèdent et les pages se tournent au rythme mélodieux d'un métronome…

L'originalité de cet album tiendrait plus à la présence de deux narrateurs qui se relayent pour relater les faits. Ainsi, Alan est notre orateur pour la période actuelle (contenue dans le prologue et le dernier chapitre). Harry quant à lui se charge du passé et nous accompagne pendant la majeure partie du récit en racontant. Il regarde avec distance son expérience des camps et son parcours depuis qu'il vit aux Etats-Unis. Il raconte de façon répétitive que l'espoir de retrouver Leah est devenu son leitmotiv, la seule raison de survivre aux camps, le seul intérêt de continuer les combats en Amérique…

Habituellement, j'apprécie ce genre de témoignages historiques. Mais dans cet album, je ne suis pas parvenue à investir le personnage principal. Celui-ci m'a semblé froid, désincarné et dépourvu d'affect. Certes, le traumatisme qu'il a vécu explique en grande partie pourquoi cet homme n'est plus que l'ombre de lui-même… mais malgré tout, il manque un soupçon d'humanité à ce récit.

Je n'ai eu de cesse de penser à L'Espion de Staline (Isabel Kreitz) durant la lecture de l'album de Reinhard Kleist. Trois raisons à cela :
- les deux albums parlent de la Seconde guerre mondiale et traitent le sujet de manière atypique,
- l'ambiance austère des albums (la découpe des planches m'est apparue redondante, me donnant l'impression que les cases sont placées de manière automatique) et une difficulté à identifier/reconnaître les personnages,
- de nombreuses ellipses narratives sont réalisées passant ainsi sous silence des périodes plus ou moins longues. Dans le boxeur, on découvre régulièrement que le « héros » a sympathisé avec tel ou tel protagoniste sans comprendre réellement comment ce miracle (je ne trouve pas d'autre terme pour expliquer pourquoi plusieurs officiers S.S. le prennent sous leur aile) a pu se produire. Ces ellipses saccadent la lecture, casse le rythme du scénario et contraignent le lecteur à rester spectateur de cette histoire. Cela m'a agacé.

Kleist et Kreitz n'ont pourtant aucun point commun dans leurs parcours artistiques mais les choix retenus par ces scénaristes m'ont amenée à rester extérieure au drame qui se déroulait sous mes yeux.
Lien : http://chezmo.wordpress.com/..
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Cette bd aborde un thème rarement connu: le sort des boxeurs durant la Seconde Guerre Mondiale qui ne plaisaient pas aux nazis. En effet, de nombreux champions ont terminé leur vie dans les camps de concentration. Il se trouve que dernièrement, j'ai lu Zigeuner qui traitait également du destin d'un célèbre boxer à savoir Johann Trollmann qui était d'origine Tzigane et qui fut abattu en 1943 par les nazis.

La première partie de l'ouvrage est sans doute la plus poignante avec le passage dans les camps de concentration où les matchs de boxe permettait de divertir les dignitaires. La seconde partie sur le sol américain paraîtra un peu plus fade malgré les matchs truqués par la mafia locale.

Une oeuvre historique de 180 pages qui sera documenté à la fin par un documentaire sur le sort des différents boxers dans les camps. le présent roman s'intéresse au polonais Hertzko Haft et c'est un bel hommage qui est rendu par l'auteur de Castro. Visiblement, l'auteur arrive à nous émouvoir. le dessin ressemble un peu de Wil Eisner.

En conclusion, une histoire poignante servie par un dessin à la hauteur.
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critiques presse (8)
BulledEncre
26 mai 2014
Un récit historique aussi efficace que sobre.
Lire la critique sur le site : BulledEncre
LesEchos
12 mars 2013
« Le Boxeur » est une Bd choc, adaptée de l'autobiographie de Hertzko Haft, l'homme qui fut transformé par les nazis en « gladiateur » des camps de la mort.
Lire la critique sur le site : LesEchos
ActuaBD
27 février 2013
Kleist nous livre une œuvre puissante, magnifiée par son dessin en noir et blanc, qui vous fait immédiatement plonger au cœur d’une des heures les plus sombres de l’histoire européenne.
Lire la critique sur le site : ActuaBD
Bedeo
13 février 2013
Par sa démarche aussi originale que vitale pour lui, il essaie de témoigner sur ce qu’ont pu vivre ces hommes et ces femmes, de témoigner pour tous ceux qui ne sont pas revenus ou qui ne parviennent pas à exprimer leur terrible vécu. Un album dur mais absorbant.
Lire la critique sur le site : Bedeo
BoDoi
07 février 2013
Un peu trop raide par moment, le trait semi-réaliste et anguleux de Reinhard Kleist reste néanmoins très efficace et le choix du noir et blanc renforce la dureté du récit. Un livre à ranger à côté des témoignages forts de cette période.
Lire la critique sur le site : BoDoi
Actualitte
04 février 2013
Une histoire poignante, soutenue par un dessin magistralement expressif, qui touche à l'expressionnisme dans les séquences les plus tragiques.
Lire la critique sur le site : Actualitte
BDGest
25 janvier 2013
L'album est magistralement mis en image. La narration, qui rappelle les romans graphiques du grand Will Eisner, est précise et pudique à la fois. L'auteur montre tout, ne se censure pas, préférant jouer sur le style des dessins, passant d'un trait clair à une noirceur quasi-impénétrable pour dépeindre les scènes les plus insoutenables.
Lire la critique sur le site : BDGest
Auracan
14 janvier 2013
Ce roman graphique passionnant de 200 pages nous fait voir jusqu’où la bestialité des nazis pouvait aller. Graphiquement, l’auteur dépeint les événements d’un trait semi-réaliste. Le dessin en noir et blanc encré convient à merveille pour raconter cette histoire déchirante.
Lire la critique sur le site : Auracan
Citations et extraits (11) Voir plus Ajouter une citation
[dialogue entre le boxeur et un soldat SS qui l'a pris sous sa protection]

- Dites-moi, si vous savez que vous devrez payer pour tout ça, ici, pourquoi vous le faites ?
- Si tu avais eu le choix, comme moi, de quel côté tu te serais battu ? Celui des loups ou celui des moutons ? [...]
Tu n'es pas bête, petit. Et tu es un costaud. Pas comme les autres. Ça
pourra te servir.
Mais si tu veux survivre, ici, apprends un peu d'allemand. Adapte-toi. Tu veux hurle avec les loups, parle leur langue.
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Il ne me restait plus qu’à attendre. Au camp, un ami me parla d’un championnat de boxe juif que les américains voulaient organiser à Munich, en janvier 1946. Ça peut sembler inconscient, mais je m’y inscrivis sous mon propre nom. Je voulais que le monde entier sache que j’étais en vie !
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Je regrettais d'être en vie.


[réaction du boxeur, alors adolescent de 16ans lorsqu'il réalise, à son arrivée à Auschwitz qu'il est affecté au kommando chargé de mettre les corps gazés dans les fours crématoires]
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J'avais à peine le temps de maudire mon sort.
Le soir, je tombais d'épuisement et les hurlements du kapo me réveillaient le matin. Qu'est-ce que je foutais ici ?
Je ne leur avais rien fait, aux Allemands !

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Y a rien de plus dangereux qu'un boxeur heureux de boxer.
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Vidéo de Reinhard Kleist
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