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Martine Leroy-Battistelli (Traducteur)Gérard Coisne (Traducteur)
EAN : 9782266038553
543 pages
Pocket (27/08/2005)
3.69/5   178 notes
Résumé :
Obsédé par Katherine, qui se réincarne sans cesse sous de nouveaux traits, Bruno Frye hante la Californie, un couteau à la main. Et le nombre de ses victimes s'accroît jusqu'au jour où l'une d'elles, Hilary Thomas, lui échappe. Peut-être parce qu'elle est une séduisante et talentueuse scénariste à Hollywood, la police ne croit pas à l'histoire qu'elle raconte ni au danger qu'elle court ; aussi à la deuxième tentative de meurtre et de viol, la jeune femme se trouve-t... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (22) Voir plus Ajouter une critique
3,69

sur 178 notes
"L'homme émergea de la penderie de l'entrée..."
Vous avez été agressée déjà par le monstre et voilà qu'Il revient!


Cette fois, vous avez réussi à le tuer. Il est mort et enterré, mais alors qui vous téléphone et vous surveille?
"Un mort qui marche."


Un cadavre peut-il sortir de sa tombe et surgir de nouveau dans votre maison ?
"Les murs se refermaient sur elle... Alors, elle ouvrait la porte et butait sur un énorme cafard...qui avait l'intention de la dévorer vivante."


Bruno Frye était un colosse, avec une voix rude, rocailleuse et il était mort... Et voilà qu'il revient dans la maison d'Hilary Thomas.
"Il lui fallut quelques secondes pour réaliser que tout avait été saccagé..."
Sans l'inspecteur Tony Clemenza, la jeune femme aurait été violentée et tuée.
Pour ne pas devenir folle, Hilary va devoir aller dans la bourgade de son agresseur...
- NON, s'il vous plaît ! Empêchez-la d'ouvrir la porte! Supplie Bruno Frye...


"La Bête est parmi nous... Si le démon devait vous révéler son vrai visage... Il dévorait avidement votre coeur, vous déchirerait les membres un à un et précipiterait votre âme immortelle dans l'abîme."
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Hilary est une jeune femme séduisante, brillante et sa carrière va bien. Elle s'est fait un nom comme scénariste de films et prépare son passage à la réalisation. Mais, voilà qu'une vague connaissance, un colosse, avec un couteau à la main, la surprend chez elle dans le but avoué de la violer et de la tuer. Elle réussit à lui échapper, mais elle le connaît et prévient la police. Mais voilà que la police semble mettre en doute les événements et, le comble, le suspect a un alibi en béton. Mais ça ne va pas s'arrêter là. Pour la suite, il faut lire le livre.

Un thriller qui frôle avec le fantastique, avec une tension soutenue tout le long du livre. Malgré quelques ficelles assez grosses, Koontz réussit, grâce à ses talents de conteur à suspendre l'incrédulité.

J'ai beaucoup aimé, comme c'est souvent le cas avec Koontz.
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Hilary est une scénariste de 29 ans, promise à un bel avenir à Hollywood.
Issue des quartiers pauvres et d'une famille où ses parents multipliaient les disputes et les coups, elle s'est construit un univers où elle vit seule, dans une superbe maison de Beverly Hills et où elle s'occupe de son jardin quand elle n'écrit pas.
Un soir, elle est agressée par un homme qu'elle connait sous le nom de Bruno Frye, un viticulteur renommé. Celui-ci tente de la violer sans y parvenir car elle le met en fuite grâce à un revolver caché dans sa table de nuit, mais l'attitude du type est étrange, cumulant les manières d'un serial-killer et d'un grotesque séducteur.
Plus qu'une agression, c'est l'univers ultra protégé dans lequel elle s'est enfermée qui vole en éclat. La police enquête et les deux flics, Franck et Tony, se rendent le soir même dans la demeure de la plaignante.
Si Tony tombe sous le charme glacé de Hilary, Franck se fait plus dur, surtout quand il apprend par voie téléphonique que Bruno Frye n'a pas quitté son domicile situé à plus de 800 kilomètres.
Plus tard, à quelques kilomètres de là , Bruno Frye reconsidère sa position.
Il n'a pas pu tuer celle qu'il nomme Katherine qui continue à prendre diverses identités alors qu'il l'a tuée plus de 20 fois. C'est maintenant sous celle de Hilary Thomas qu'elle se cache.
Après un passage dans un resto-route et une rixe d'où il sort vainqueur contre deux hommes qu'il laisse quasiment pour mort , Bruno prend sa décision. Il va retourner au domicile d'Hilary pour achever ce qu'il a commencé...

L'auteur n'abuse pas de scène très horrifique mais distille la peur à petites doses. Cet ouvrage est classé en "terreur", mais les différents thèmes abordés dans ce livre, font que tout le monde peut y prendre son compte. Il y a des sentiments, de l'émotion, du sexe, du morbide, du policier et du suspense.
Dean Koontz a fait preuve d'une grande créativité en écrivant ce roman qui nous touche, car il aborde les sujets qui nous font nous même faire des cauchemars. Il aborde notamment nos phobies, nos peurs et les craintes que l'on peut avoir.
Le style de lecture est très agréable, et même si le nombre de pages peut en décourager plus d'un (543 pages), "La nuit des cafards" se lit très facilement et rapidement, sans la moindre minute d'ennui.
Les personnages sont complexes et riches et ne sombrent jamais dans la caricature.
Ainsi ce Bruno Frye, colosse fortuné hanté par des voix et des images violentes, ne trouve pas grâce à nos yeux mais n'est pas complètement dénué d'une certaine humanité.
Les portraits des deux flics sont aussi très bien étudiés et l'histoire bénéficie de poussées d'adrénaline suivie de passages plus calmes, où le passé des protagonistes refait surface. Quant au dénouement final, il est tout juste exceptionnel. Un grand classique que je recommande très fortement aux amateurs de policier et de sensations fortes.
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Écrivain prolifique à la plume hétérogène quand à la qualité de ses romans, Dean Konntz alterne différents genre allant de la Science-fiction au thriller en passant par le fantastique, mais toujours avec une certaine romance dans ses écrits. En 1980, paraît la nuit des cafards sous le titre original Whispers.

Hilary est une jeune femme qui à réussi à Holywood, mais n'a pas toujours eu la vie facile. Un soir, alors qu'elle rentrait d'un séjour, elle est victime, à son domicile, d'une tentative de viol. Elle réussi tant bien que mal à se défaire de son assaillant et contacte les autorités. Tony et son coéquipiers, qui travaillent sur une enquêtes de viol, les rues de LA ne sont pas si sûr, interviennent au domicile de la jeune femme. Elle prétend connaître son agresseur, un homme qu'elle a rencontré lors de son séjour. Mais l'agresseur présumé semble être chez lui à plusieurs kilomètres du lieu de l'agression. Seul Tony, tombé littéralement sous son charme, croit aux dires de Hilary et la police quitte les lieux. Seulement, dans la même nuit, son agresseur revient.

Que je fus déçu lorsque j'ai ouvert le livre. Non pas sur la qualité du livre, mais sur l'envie de lire un roman fantastique. Il n'en n'ait rien. Long de ces 540 pages, le roman est divisé en deux parties bien distinctes. La première partie comprend une portion de polard et un gros monceau de sentimental. Durant ces 300 premières pages, l'action est essentiellement dirigé vers Tony qui veut séduire Hilary et le roman tourne à la comédie sentimentale. Toutefois, pour ce qui est de l'environnement, on est bel et bien dans un polar avec des ingrédients bien glauque et un LA (Los Angeles) bien sombre. Puis, la seconde partie, il faut déjà se farcir la première, change en thriller. En fait, j'ai pris plaisir à lire les 150 dernières pages avec des passages délirant, gore au niveau de l'action et psychologique. La fin m'a rappelé très fortement un de ses romans sortis quelques années plus tard. On peut dire que sur le coup, c'est un brouillon pour la copie impeccable qu'il rendra plus tard. Ceci dit, il y a quand même beaucoup de différence entre les deux, justes des faits qui rappel. Pour ce qui est de l'écriture, j'ai noté deux choses étonnantes. Tout d'abord, c'est vraiment le seul livre de lui où les scènes de sexes sont décrites et aussi explicite. Enfin, j'ai trouvé quelque lourdeur dans des répétions non pas de mots, mais de phrases espacés de plusieurs paragraphes. Donc ce livre m'a laissé un avis favorable bien que la première partie ne m'a pas vraiment emballé. Un roman un peu trop long. A noter que le livre à été adapté au cinéma.
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Je connaissais Dean Koontz de nom sans jamais avoir rien lu de lui mais il me paraissait prometteur. Je n'ai pas été déçu avec ce livre qui fut apparemment son premier succès. Il vaut mieux avoir le coeur bien accroché pour suivre Bruno à la recherche de sa mère. On finit même par le prendre en pitié, pourtant il n'y met pas vraiment du sien.
L'auteur prend le temps de bien développer ses personnages surtout au niveau psychologique, ce qui fait que le lecteur s'immerge complètement dans l'histoire.
Par contre, j'avais deviné bien à l'avance le ressort principal de l'intrigue, qui me semblait la seule solution logique, mais il m'en aurait fallu un peu plus pour me gâcher pour autant ma lecture.
Attention, si vous êtes entomophobe, lisez ce livre à vos risques et périls ;-)
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Citations et extraits (29) Voir plus Ajouter une citation
Je crois dans l'autre Dieu, le Prince des Ténèbres. Son avènement est proche, déclara Hawthorne sur un ton calme et aimable, comme s'il parlait de la pluie ou du beau temps. J'attends avec impatience le jour où Il chassera le Christ et toutes les autres divinités inférieures pour s'installer sur le trône du monde. Quel beau jour ce sera ! Les adeptes des autres religions seront alors massacrés ou réduits en esclavage. Les prêtres seront décapités et leurs corps jetés aux chiens. Les nonnes seront violées dans les rues. On célébrera des messes noires dans les églises, les temples, les mosquées et les synagogues ; chacun sur la terre L'adorera ; des nouveau-nés seront sacrifiés sur Ses autels et Belzébuth régnera jusqu'à la fin des temps. C'est pour bientôt, monsieur Rhinehart. Il y a des signes et des présages. C'est pour très bientôt. J'attends ce moment avec impatience.
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- "L'image que le public se fait de Hollywood est fort éloignée de la réalité. Quel que soit son travail ou son emploi, secrétaire ou serveuse, vendeur ou employé de bureau, mécanicien ou chauffeur de taxi, col blanc ou col bleu, en rentrant chez soi après une rude journée de travail, tout le monde s'assied devant la télévision et rêve de l'existence dorée des vedettes de l'écran. D'un bout à l'autre du pays, des îles Hawaii aux forêts du Maine et de la Floride à l'Alaska, pour la rumeur publique Hollywood est synonyme de folles réceptions, de filles faciles, d'argent rapidement gagné, de flots de whisky, de montagnes de cocaïne, de farniente au soleil, de cocktails au bord de la piscine, de vacances à Acapulco et à Palm Springs, de parties de jambes en l'air sur la banquette arrière, recouverte de fourrure, d'une Rolls-Royce. Mirages que tout cela. Illusions. Illusions dont avait peut-être besoin pour survivre une société abusée depuis des décennies par des politiciens corrompus, une société aux bases sapées par l'inflation et l'augmentation incessante des impôts, une société sur laquelle planait en permanence l'ombre menaçante d'une soudaine annihilation nucléaire. Les gens du cinéma et de la télévision travaillent plus que n'importe qui, même si le résultat de leur labeur n'est pas toujours, et même pas souvent, à la mesure du mal qu'ils se donnent. La vedette d'une série télévisée à succès est sur le pied de guerre de l'aube au coucher du soleil, c'est-à-dire quatorze à seize heures par jour, parfois. Bien entendu, les gains sont énormes. Mais, en réalité, les réceptions ne sont pas plus folles qu'ailleurs ; les femmes pas plus faciles qu'à Philadelphie, à Des Moines ou à Tampa ; si les journées sont ensoleillées, elles sont rarement oisives et les secrétaires de Boston ou les vendeuses de Pittsburgh s'envoient en l'air de la même façon que celles de Californie."
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- "Curieusement, très peu de gens ont le courage de se servir d'un couteau contre un de leurs semblables. Plus que toute autre, cette arme fait prendre conscience de la fragilité de la chair, de la terrible vulnérabilité de la vie ; en raison des dégâts qu'il opère, l'agresseur prend vraiment conscience qu'il est lui-même mortel. Le revolver, le poison, une grenade, un instrument contondant, la cordelette de l'étrangleur, tous ces moyens peuvent s'utiliser proprement, souvent à distance. En revanche, l'homme armé d'un couteau doit être prêt à se salir et il faut qu'il s'approche de très près, de si près qu'il percevra la chaleur qui se dégage des blessures qu'il a causées. Poignarder quelqu'un et ne pas être dégouté par le sang tout chaud qui vous jaillit sur les mains nécessite un courage particulier ou une certaine forme de folie."
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Comme si il y était, il voyait ses mains s’égarer sur ses seins lourds et son ventre tendu, se perdre dans la moiteur de ses cuisses et de son sexe… Alors… Alors son autre main exhiber un couteau, un grand couteau qu’il enfonçait comme une masse dans sa chair, un grand couteau avec lequel il l’a fouettait, la fougeait, la fouillait, la fouinait, la fouissait, la foulait, la fourbissait, la fourchait, la fourrait.Alors, comme les fontaines du Paradis, son sang jaillissait, clair et haut , ondée salvatrice.
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- "Chaque sujet - que ce soit une marine, un paysage, une rue, un immeuble, une pièce dans un immeuble, une chose, une personne - possède ses propres constituants. Si vous parvenez à en percevoir l'essence, alors vous êtes capable de discerner, au-delà des apparences, la structure sous-jacente qui sous-tend chacun de ces constituants. Si vous parvenez à distinguer et à saisir comment des éléments disparates se combinent pour présenter une harmonie apparente, en d'autres mots comment les différentes parties d'un tout s'assemblent pour former ce tout, alors vous comprendrez la signification profonde et les mécanismes de n'importe quel sujet et vous pourrez en faire un bon tableau. Si vous prenez vos pinceaux et vous présentez devant le chevalet sans avoir accompli cette analyse, vous vous retrouverez peut-être avec une belle toile, mais vous n'aurez pas produit une œuvre d'art."
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Videos de Dean Koontz (12) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Dean Koontz
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COFFRET BD SCIENCE FICTION (57,85€) : - le château des animaux : Miss Bengalore, Delep & Dorison, Castermann - Nathanaelle, Charles Berberian & Fred Beltran, Glénat - The kong crew : Manhattan jungle, Eric Hérenguel, Ankama
COFFRET BD ADULTE (53,85€) : - Monsieur Jules, Aurélien Ducoudray & Arno Monin, Bamboo - Bruno Brazil : Black Program, Aymond & Bollée, Lombard - Lecio Patria Nostra : le tambour, Yerles & Boidin, Glénat
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