AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Bleach tome 63 sur 74
EAN : 9782344006740
192 pages
Glénat (06/05/2015)
4.24/5   27 notes
Résumé :
L'affrontement entre les Quincy et les forces du Gotei 13 continue, avec l'entrée en scène de Rukia, de Byakuya et de Renji qui démontrent les effets de leurs entraînements respectifs face à leurs ennemis, qui leur donnent aussi quelques difficultés .
Que lire après Bleach, tome 63 : Hear, Fear, HereVoir plus
Black Clover, tome 1 par Tabata

Black Clover

Yuki Tabata

4.07★ (6667)

35 tomes

Kuroko's Basket, tome 1 par Fujimaki

Kuroko's Basket

Tadatoshi Fujimaki

4.11★ (2079)

30 tomes

Seven Deadly Sins, tome 1 par Suzuki

Seven Deadly Sins

Nakaba Suzuki

4.08★ (6319)

41 tomes

Beelzebub, tome 1 par Tamura

Beelzebub

Ryuhei Tamura

4.33★ (1696)

28 tomes

Critiques, Analyses et Avis (3) Ajouter une critique
Avec ce tome 63 intitulé "Hear, Fear, Here" est-ce que la saga "Bleach" touche le fond ?
On a un combat entre nos héros et le Stern Ritter Mask de Masculine et on retrouve la thématique de la relation entre la star et ses fans déjà visitée dans le tome 4 : on a une caricature de catcheur comme la Planète Manga en compte déjà beaucoup qui retrouve énergie, force et endurance à volonté tant que son fan est en vie (et qui ose reprendre certaines répliques cultes de "Saint Seiya"), et un fan qui régénère à l'infini tant que sa star est en vie... On aurait pu avoir un combat stratégique mais ce n'est pas le genre de la saga "Bleach", on aurait pu avoir à défaut un combat humoristique mais avec autant de violence gratuite et de morts tragiques c'est impossible également, donc la pause comic relief entre deux séquences pathos to the max ne marche absolument pas !
On a ensuite un combat entre Rukia et Byakuya contre la Stern Ritter Äs Nödt, la maîtresse de la peur... Les emprunts à Hyoga du Cygne et Camu du Verseau sont légions, mais les dialogues sont tellement foutraques que cela en devient pénible ! Pour résumer tout être vivant ayant peur de la mort, Rukia se transforme en Yuki-onna pour se mettre en cryobiose et être immunisé aux pouvoirs de son adversaire... Ouais, on est plus dans les repompages non maîtrisés comme dans "D. Gray-Man" que dans un vrai bon shonen nekketsu !
Pour ne rien gâcher on s'appesantit sur Yhwach / Yahwé présenté comme un Dieu... le mangaka met en place quelque chose de sophistiqué sur les dons, emprunts, transferts de pouvoirs, devant censément opposer symbiotisme et parasitisme, mais j'ai déjà vu tout ça dans "My Hero Academia" et en mieux, et dans "Les Chroniques du Grimnoir" et en bien mieux !
Il y a certes quelques planches qui pètent la classe, mais les samouraïs hipsters portant lunettes de ski et chapkas... Soupirs quoi !
Commenter  J’apprécie          200
Depuis quelques tomes, j'avoue commencer mes lectures de Bleach avec appréhension. Tite Kubo semble avoir décidé d'éliminer une bonne partie de ses personnages et mis à part notre héros, personne ne semble à l'abri. Après plus de soixante tomes, il est très difficile d'assister à ce carnage… Fort heureusement, ce tome ne prend pas toute la suite du soixante deux (je sais que ce n'est qu'une remise à plus tard mais bon…). « Un peu » de répits en quelque sorte, même si le combat avec le catcheur se poursuit.

D'ailleurs, ce dernier est un personnage que je trouve ridicule au possible. Entre son discours pathétique, son allure, c'est d'un risible de le voir battre aussi facilement les capitaines qu'il croise. En même temps : pourquoi les personnages expliquent-ils toujours leurs techniques… ? POURQUOI ? Ils ne se disent pas que c'est le meilleur moyen de les contrer ? C'est très récurrent, sauf peut-être chez Ichigo, mais c'est en partie parce qu'il ne sait pas ce qu'il fait la plus part du temps ! XD Après, d'accord, pour le lecteur c'est intéressant, on comprend ce qu'il se passe… Mais bon…

Le point positif de ce tome réside en deux événements. Premièrement, Kubo sensei nous explique sur quoi réside la force du roi des Quincy. L'explication est terrifiante mais elle laisse entrevoir une infime solution pour le vaincre. Une information utile, sans aucun doute, mais reste à savoir ce que Kubo compte en faire.

Deuxièmement, le retour de Rukia, Renji et Byakuya. Ichigo est toujours aux abonnés absent pour le moment par contre. Mais, je ne me plains pas. Revoir déjà le trio est une bouffée d'air. Voir leur évolution, leur nouveau look, et aussi un petit plus dans leur état d'esprit est super. On sent qu'ils sont différents. J'ai beaucoup apprécié les voir combattre. Mais je ne peux pas m'empêcher de penser : « Est-ce que cela va suffire ? », « Sont-ils hors de danger ? ». Pas très serein tout ça. Pourtant Kubo nous laisse deux ou trois petites touches d'humour (chose qui me manquait beaucoup), et il exploite aussi les sentiments des personnages. Les scènes entre Rukia et Byakuya sont vraiment fortes en émotions. Un gros plus, surtout pour ces deux-là.

Les méchants que l'on croise, surtout les deux derniers, sont de plus en plus flippants. Cela ne me laisse pas non plus espérer pour la suite, mais je suis moins « choquée » que lors de la fin du tome soixante deux. A voir donc.
Commenter  J’apprécie          150
Un tome qui tombe facilement dans l'oubli. Nos héros reviennent de l'entrainement mais leurs ennemis sont assez puissants. Tome de transition qui permet d'essayer de justifier qu'il faut au moins cela pour vaincre le terrible Ymwach. Tout de même, une Rukia qui semble plus forte que jamais avec une nouvelle tenue et le respect de son frère adoptif.
Commenter  J’apprécie          30

Citations et extraits (10) Voir plus Ajouter une citation
Si on demande à quelqu’un pourquoi il se sent bien en entrant quelque part, on obtiendra une réponse vague, du style « parce que ». Mais même le dernier des abrutis comprendra clairement pourquoi, en pénétrant dans un certain lieu, il a peur. Il énumérera une longue liste de craintes : « il fait noir », « il fait froid », « c’est haut », « c’est sale », « je suis à l’étroit », « j’ai mal »… En substance, ceci s’explique par le fait que tout ce qui rassure est lié à la « vie » et tout ce qui fait peur, à la « mort ». Même chose, quelqu’un qui ne saura pas dire pourquoi il veut vivre, pourra par contre donner les raisons pour lesquelles il ne veut pas mourir. Et ce n’est valable que pour les êtres doués d’émotions. Toute forme de vie est conçue pour instinctivement éviter la « mort », c'est-à-dire la « peur ».
Commenter  J’apprécie          70
Il n’y a aucune différence entre vivre et être laissé envie. Tout comme il n’y en a aucune entre mourir et se faire tuer.
Commenter  J’apprécie          90
On garde longtemps en mémoire les bons souvenirs... et les mauvais plus longtemps encore.
Commenter  J’apprécie          121
Ne raconte pas n'importe quoi. Quand la température corporelle passe au-dessous de zéro, le mouvement des particules s'arrête et il est impossible de maintenir une activité vitale.
Commenter  J’apprécie          11
Tout forme de vie est conçue pour instinctivement éviter la « mort », c'est-à-dire la « peur ».
Commenter  J’apprécie          20

Lire un extrait
Videos de Taito Kubo (25) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Taito Kubo
BLEACH : INDIGNE DU BIG 3 - MENU MANGA 100
autres livres classés : mangaVoir plus
Les plus populaires : Manga Voir plus


Lecteurs (191) Voir plus




{* *}