AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Les Vampires de Manhattan tome 1 sur 7

Valérie Le Plouhinec (Traducteur)
EAN : 9782226180001
341 pages
Albin Michel (24/10/2007)
3.55/5   952 notes
Résumé :
Il n'y a pas plus glamour que Mimi et son frère Jack au lycée ultra chic Duschene, à New York. Snobs et branchés, ils forment avec leurs amis un club très select. Theodora, qui est plus vintage que Prada, n'est pourtant pas insensible au charme du très sexy Jack. Pourquoi un garçon si populaire s'intéresse-t-il soudain à elle ? Quel rapport avec Aggie, une élève retrouvée morte, vidée de son sang ? Theodora est déterminée à le découvrir quand apparaît sur sa peau un... >Voir plus
Que lire après Les Vampires de Manhattan, tome 1 : Les Vampires de Manhattan Voir plus
Vampire City, tome 1 : Morganville  par Caine

Vampire City

Rachel Caine

4.03★ (4120)

14 tomes

Envoûtement, tome 1 : Envoûtement par Jones

Envoûtement

Carrie Jones

3.71★ (1106)

4 tomes

Nightshade, Tome 1 : Lune de sang par Cremer

Nightshade

Andrea Cremer

3.88★ (1282)

4 tomes

Critiques, Analyses et Avis (131) Voir plus Ajouter une critique
3,55

sur 952 notes
Difficile d'écrire une critique car je n'ai vraiment pas apprécié ma lecture.
Pourtant j'aime les histoires de vampire (j'ai adoré twilight et journal d'un vampire) mais là pas moyen.
J'ai longtemps hésité à commencer cette série car je trouvais la couverture moche (pour toute la série d'ailleurs) et puis je me suis dit qu'une vilaine couverture pouvait cacher une pépite. Mais non.
J'ai franchement détesté que l'on parle si peu des vampires. Attendre la page 167 pour qu'enfin on prononce le mot vampire ! C'est un peu long ! Donc du début de la page 1 à 166, on parle de mode, de mode et de .... mode. Des vampires trop beaux trop riches dans un lycée snob qui vont en discothèque et portent des super fringues. J'ai cru mourir d'ennui.
Bref je passe mon tour pour la suite de la série.
Commenter  J’apprécie          324
Je vois les tomes de cette série depuis des années sur les blogs et en librairie. J'ai toujours été intriguée par ces titres et ces couvertures accrocheuses sans jamais oser franchir le pas, trop sceptique. Il y a quelques temps, Evy avait proposé un concours sur son blog et j'avais eu la chance de gagner ce premier tome (merci !). Si le destin s'en mêlait, il était peut-être temps pour moi de découvrir cette saga de Melissa de la Cruz. J'ai profité d'une lecture commune organisée sur Livraddict pour me jeter à l'eau !
Résultat : j'avais raison d'être sceptique. Tout ce que je redoutais est bien présent au détriment de ce que j'espérais… Ce premier tome est définitivement plus « Manhattan » que « vampires » et quand on me connait un minimum, on sait que ça ne pouvait que casser ! Heureusement, la dernière centaine de pages m'a fait revoir mes impressions légèrement à la hausse. Sans celles-ci, je n'aurais jamais envisagé de lire la suite ; grâce à elles, je me lancerai peut-être dans le second tome si je le trouve d'occasion (et uniquement à cette condition !).
Vous l'aurez compris, je sors mitigée de cette lecture, mais je m'y attendais fortement donc je ne suis pas déçue.

Theodora, bientôt 16 ans, est élève à Duchesne, l'école huppée de New York, depuis des années. Elle côtoie quotidiennement les plus grand(e)s fils et filles de, notamment les jumeaux Force - Mimi et Jack (en réalité Madeleine et Benjamin) - unis comme les doigts de la main et beaux comme des dieux.
Avec Oliver et Dylan, ses deux seuls véritables amis, Theodora forme un trio de « loosers » pestiférés qui profitent de leur jeunesse au « Bank », une boîte réservée aux gens comme eux. de leur côté, Jack, Mimi et sa cour (dont fait partie Bliss, la fille du sénateur) se retrouvent dans le bâtiment en face, le « Block 122 », la boîte la mieux vue de la ville.
Le lendemain d'une soirée banale, les élèves de Duchesne apprennent que l'une d'entre eux, Aggie de la bande de Mimi, a fait une overdose (c'est la version officielle) au « Block 122 ».
Le petit train-train quotidien de ces gosses de riches s'apprête à changer. La mort mystérieuse d'une élève (apparemment un meurtre) n'est pas le seul élément étrange ces derniers temps… Theodora et Bliss découvrent des veines bleutées sur leurs bras et commencent à avoir des visions de ce qui semble être leur passé… Qui sont-elles vraiment ? Et qui a tué Aggie ?…

En ouvrant ce livre, je n'avais qu'une peur, que le côté chick-lit de Manhattan soit trop mis en avant. Et bien j'avais raison puisque ce que je déteste le plus au monde est ici présent : le côté fashion girly inutile et insupportable…
Melissa de la Cruz s'amuse à décrire avec de nombreux détails les tenues de ses protagonistes en insistant bien sur les noms de marques. Je me serais crue dans le Diable s'habille en Prada (de Lauren Weisberger) que j'ai détesté, soit-dit en passant ; une horreur !
Ajoutez à cela des personnages plutôt imbuvables - personnellement, l'occupation des gosses de riches qui se limite à poser pour des photos et à faire la fête, ne m'intéresse absolument pas ! - pour lesquels je n'ai donc eu aucune sympathie, ou quasiment, ne laissait rien présager de bon pour la suite des évènements…
Cependant - ouf -, l'auteure met en place (un peu difficilement quand même) une « mythologie » vampirique qui m'intrigue. Cette histoire des « quatre cent », des différents « sangs »… m'a assez titillée pour que j'ai envie de connaître la suite. Je suis un poil moins convaincue par le côté « biblique » (mais je n'en dis pas trop) dans l'histoire des vampires même si ça tient parfaitement la route ; c'est plutôt la façon par laquelle c'est amené qui manque de subtilité, mais peut-être que le second tome (si je le lis un jour) me fera changer d'avis…

Je reviens un petit peu sur les personnages que j'ai qualifié plus haut d'imbuvables. Réparons cette généralité qui ne rend pas justice à toutes les figures.
Commençons par Theodora qui se place vite comme l'héroïne de l'histoire : je l'ai trouvée molle, fade, deux de tension. J'ai rarement compris ses réactions et ses émotions. Les éléments sur sa « généalogie » semblent cacher quelque chose d'intéressant, mais on n'en sait encore trop peu pour que je me prononce.
Mais ce n'est rien comparé aux jumeaux Force qui eux sont carrément haïssables, j'ai juste eu envie de trucider Mimi. Et Jack comme figure du beau gosse dont on tombe amoureuse ? Désolée, la lectrice que je suis n'a jamais succombé à son « charme » et avait juste envie de lui en mettre une !
En revanche, j'ai été surprise d'apprécier Bliss. Je pense que la demoiselle a du potentiel et pourrait même avoir une personnalité complexe qui mériterait d'être traitée !
Mais mon personnage chouchou, malgré sa place secondaire, c'est Oliver. Il est certes effacé, en retrait, mais il est un des rares personnages de cette histoire auquel je me suis attachée ; j'espère qu'il prend de l'ampleur par la suite !

Vous l'avez compris, Les Vampires de Manhattan c'est en fait un mélange de chick-lit et de bit-lit avec, malheureusement, trop d'accentuation sur le premier genre. Cela dit, comme nous le promettent toujours les livres de ces catégories, la lecture est facile, très abordable et pas prise de tête (enfin, excepté l'étalage de marques à toutes les pages).
Les chapitres sont courts et présentent en alternance des points de vue différents : on suit tour à tour Theodora, Bliss, Mimi,… toujours à la troisième personne du singulier. La caméra est un peu partout, on peut grappiller des éléments auprès de chaque personnage. Il y a également quelques rares passages du journal intime d'une débarquée du Mayflower à Plymouth en 1620. Intéressants - car au début, on se demande vraiment quel est le rapport entre ces extraits et l'histoire actuelle - mais assez peu « vraisemblables ». Je doute qu'en 1620 une femme se soit exprimée ainsi dans son journal, mais ce n'est qu'un tout petit détail.
Si on oublie l'emploi répété et exagéré des marques dans les descriptions textiles poussées à l'extrême au début, c'est plutôt bien écrit. Contrairement à d'autres livres du genre, le lecteur n'est pas noyé par les dialogues, c'est appréciable.
Cela dit, le thème et la plume en général me feraient plutôt conseiller cette lecture à des adolescentes ; c'est un peu juste pour les adultes, à mon goût.

Je crois qu'on peut conclure en disant que suis peu convaincue par ce premier tome mais qu'il y a quand même un potentiel donc un maigre espoir que la suite soit meilleure… Je n'ai pas vraiment apprécié ma lecture, mais comme ça se lit vite et facilement, je n'ai pas peiné à aller au bout.
Un bon point pour l'illustration de couverture (est-ce une représentation de Mimi ?) qui attire le regard ; et j'adore le violet !
Lien : http://bazar-de-la-litteratu..
Commenter  J’apprécie          90
Théodora, Mimi et son frère Jack, riches, snobs et « branchés » vont au lycée de Duchesne à New-York. Quand Aggie, élève du très select lycée Duchesne est découverte morte, vidée de son sang, le cours de la vie dans ce microcosme semble se dérégler.

Ce roman compile toutes les trames à la mode du moment. C'est ce que j'appellerai une (très) (mauvaise) macédoine avec la jeunesse argentée et scandaleuse de Gossip Girl et les vampires gentillets de Twilight et autres.

Dans chaque chapitre on suit alternativement Théodora, Mimi et Bliss ; ou au moins au début. Ces personnages sont inégaux dans leur importance ou leur intérêt si bien qu'on en arrive vite à sauter les passages concernant Mimi. Les filles sont les héroïnes et les garçons les adjuvants. C'est donc un roman qui s'adresse uniquement à un public féminin et qui plus est à la jeunesse. C'est le stéréotype du roman destiné aux jeunes filles encore bercées par l'illusion et la naïveté de la jeunesse. Comme c'est destiné à des lecteurs d'environ quinze, il faut en montrer un peu (parce qu'ils ont déjà reçus des cours d'éducation sexuel et de prévention contre les produits illicites) mais ils sont encore jeunes donc sous-entendre oui mais pas plus. Et surtout que ça reste soft.

On en finit plus de faire de la pub aux marques de luxe. Les vêtements ne sont pas décrits par leurs formes mais par les marques si bien qu'on en arrive à des paragraphes entiers de noms de créateurs. Ca perturbe grandement la lecture. D'ailleurs, je me demande si ça vient de l'auteur ou du traducteur mais le français est somme toute assez mauvais. J'ai noté quelques constructions de phrases vraiment bancales et le choix des mots est plus que douteux. La narration est donc selon moi vous l'aurez compris très médiocre. Il est déjà difficile d'accrocher à l'histoire et la suivre mais en plus le style d'écriture est pénible à lire.

Je ne l'ai pas terminé. Je n'ai pas eu la patience de perdre du temps à lire cette chose. Pourtant à dix-neuf ans, on aurait pu penser que je ne suis pas trop « hors du coup » mais il n'y a rien à faire : c'est affligeant de nullité.
Commenter  J’apprécie          120
Ce livre traînait dans ma PAL depuis 2008 ! Allez savoir pourquoi, cela m'agaçait de voir sa tranche violette me narguant à chaque fois que je regardais en direction des livres à lire. J'ai décidé de me lancer dedans pour l'expédier rapidement. Car, disons le honnêtement, je n'en attendais vraiment rien.

Il faut dire que le résumé de quatrième de couverture n'aide pas. Présenté comme une sorte de chick-lit aux dents longues, Les Vampires de Manhattan est en réalité bien plus que ça.

Pour pouvoir savourer réellement ce livre, il faut bien attendre la moitié de l'histoire. Et c'est là, son plus grand défaut. Si le ton est résolument chick-lit en première partie avec du Prada, du bon chic bon genre et des marques de luxe citées à la pelle (et qu'est-ce qu'on s'en tape), la seconde moitié change du tout au tout.

Plus sombre, plus fantastique, les vampires débarquent et les choses sérieuses commencent. L'occasion de vraiment découvrir les personnages qui composent la série. Et il y en a un bon paquet. Parmi eux, j'ai beaucoup aimé le personnage de Theodora, une jeune fille hors convention. Bien qu'elle fréquente la haute, contre son gré, elle est elle-même, bonne vivante, un peu casse-cou, spéciale.

C'est, avec Jack et Mimi, le personnage qui sort vraiment du lot dans ce premier tome. On la sait hors du commun, on sent son potentiel et, à elle-seule, elle réussit à nous donner envie de lire la suite.

Suite que je ne pensais même pas lire, je l'avoue. Mais la fin du tome et ses nombreuses révélations m'ont fait changer d'avis. Melissa de la Cruz sait comment harponner ses lecteurs. Et sa vision du vampirisme me plait. Adieu vampire cliché archi-connu. L'auteur réinvente le mythe. Ici, les vampires sont des êtres déchus des cieux. Et ce n'est pas leur enveloppe qui vit éternellement. C'est leur sang. Chaque vampire vit pendant un cycle (environ cent ans). Il peut, soit décider de stopper son cycle et de rester immortel, soit continuer et se reposer (mourir en somme) pendant un temps donné. Son sang est alors récupéré pour pouvoir permettre à sa vie, sa mémoire et ses souvenirs de perdurer et de se réincarner dans une nouvelle enveloppe. Une fois que son cycle recommence, le vampire ne récupère sa mémoire qu'à son adolescence.

Avouons-le, moi, un truc comme ça, ça me plait ! Et quand c'est bien amené avec un fait divers américain bien mal connu, celle des Croatan, je ne peux qu'accrocher. J'ai découvert cette histoire dans un épisode de Supernatural. Il existe 13 colonies anglaises, fondatrices des USA. L'une d'elle était connue sous le nom de Colonie de Roanoke. Si elle est connue aujourd'hui, ce n'est pas pour ses accomplissements. Mais parce qu'elle a disparue.

Tout s'est passé en 1587. le groupe de colons envoyé par la Reine pour établir une colonie en Virginie (actuelle Caroline du Nord), composé de 91 hommes, 17 femmes et 9 enfants débarque sur les terres américaines. le lieu est nommé Roanoke Island. Les hommes font connaissances avec un groupe d'indigènes, les Croatan. La relation tourne au vinaigre lorsqu'un colon est assassiné par les indiens.

Un homme, John White, responsable de l'expédition est dépêché pour retourner en Angleterre afin d'avoir des renforts. Il mettra trois ans à revenir. A son retour, il ne trouvera aucune trace de la colonie. Celle-ci a mystérieusement disparue et White ne trouve pour seul indice qu'un mot, gravé sur l'une des palissades du fort : Croatan.

Cette histoire est une des plus mystérieuses du folklore américain et déchaîne, aujourd'hui encore les passions.

C'est sur cette histoire qu'est réellement basée Les Vampires de Manhattan. Et je trouve celle-ci passionnante. Si ce premier tome démarre doucement, il corrige rapidement ses défauts pour offrir un scénario intéressant et prometteur.

J'ai hâte de lire la suite, déjà commandée et de savoir ce qui va se passer pour Théodora et les Sang-Bleus. Tant de questions dont j'attends les réponses. Une très bonne surprise !
Lien : https://parole2libraire.word..
Commenter  J’apprécie          80
Un livre sympathique. Une vrai surprise car je ne m'attendais pas du tout à ça!
Nous rencontrons Théodora une jeune seconde un peu hors norme qui va dans un lycee privée pour sang bleu de New York. Théodora n'a rien d'extraordinaire a premiere vu mais elle va attirer l'attention de Jack, LE beau goss et élevé le plus conoité du lycee. Jusqu'ici vous allez me dire rien de bien nouveau, une romance classique quoi mais attendez le fantastique va s'en mêler.
Comme nous dis le titre Théodora va découvrir le monde des vampires et ils sont beaucoup plus proche qu'on ne le pensais même si l'auteur ne les cache pas.
Bon je m'attendais a une énième histoire de vampire riche et suffisants mais là oh surprise ce ne sont pas des vampes classiques, vous comprendrez pourquoi et puis cela se termine avec l'apparition d'une autre espèce que je ne pensais pas mélangée aux vampires. Bref une bonne surprise sur la fin.
Les personnages sont sympathiques. Théodora est intéressante même si je trouve qu'elle tombe vite amoureuse du beau goss. Mimi, on a envie de la baffes mais bon il faut bien un personnage qu'on n'aime pas. Sa relation avec Jack est vraiment bizarre. Lois qu'une relation de jumeaux cest quand même glauque.
Mais le truc qui m'a limité fait arrêter maigres une bonne histoire c'est les descriptions vestimentaire. Non mais sérieusement l'auteur a une com quand ils vendent un vêtement ou pas? Car le livre est bourré de références aux marques et leurs prix! On ne peux pas voir un personnage sans savoir ce qu'il porte exactement de la tête aux pieds! Ah que c'était frustrant.
Je vais lire la suite car je suis curieuse quand même.
Commenter  J’apprécie          90

Citations et extraits (23) Voir plus Ajouter une citation
Elle frissonna dans son long cardigan noir aux coudes troués, trouvé la semaine précédente dans une friperie de Manhattan Valley. Il sentait le moisi et l’eau de rose éventée, et la silhouette menue de Theodora se perdait dans ses plis volumineux. Elle avait toujours l’air de se noyer dans ses vêtements. Le gilet noir lui descendait presque aux mollets ; en dessous, elle portait un fin tee-shirt noir sur un sous-pull gris usé. Et, en bas, une longue jupe de paysanne qui traînait par terre. Telle une gamine des rues du XIXe siècle, elle avait les ourlets tout noirs à force de balayer les trottoirs. Aux pieds, elle portait ses baskets Jack Purcell préférées, les noir et blanc avec un trou réparé au chatterton sur l’orteil droit. Ses boucles noires étaient retenues par une écharpe perlée trouvée dans l’armoire de sa grand-mère.
Commenter  J’apprécie          170
Il l'attira contre lui, au point qu'elle sentit battre son coeur dans sa pointrine. Elle se sentait étonnamment calme et concentrée...comme si c'était le seul endroit endroit au monde où elle fut à sa place.
Il s'inclina, frottant doucement le nez contre le sien, et elle leva le menton pour se laisser embrasser.
Lorsque leurs lèvres se joingnirent et que leurs langues se touchèrent, ce fut comme s'ils s'embrassaient en cent endroits différents, et leurs sens furent envahis de perceptions nouvelles et de souvenirs anciens. Il l'embrassait, et leurs âmes se fondaient l'une dans l'autre comme une mélodie plus vieille que le temps.
-Charmant tableau.
Theodora et Jack s'éloingnèrent l'un de l'autre.
Debout devant eux, Mimi applaudissait lentement.
Commenter  J’apprécie          110
Théodora était extrêmement jolie. Elle avait un visage doux, en forme de coeur, un parfait petit nez retroussé, la peau fine et laiteuse ; mais sa beauté avait quelque chose de presque surnaturel. On aurait dit une poupée de porcelaine dans des hardes de sorcière. Les élèves du lycée Duchesne trouvaient qu'elle s'habillait comme une clocharde. Sa timidité maladive et sa réserve n'arrangeaient rien car on la croyait bêcheuse, alors que ce n'était nullement le cas. Elle était calme, tout simplement.
Commenter  J’apprécie          60
Même si elle savait que sa grand-mère ne mourrait jamais vraiment, elle quittait tout de même ce monde pour l'instant.
- Grand-mère, la supplia-t-elle. Reste.
- Prends soin de toi, ma petite-fille, dit-elle en lui prenant la main. Facio valiturus fortis. Sois forte et courageuse.
Et sur cette dernière bénédiction, l'esprit de Cordelia Van Alen retourna à l'état passif.
Commenter  J’apprécie          60
De l'autre côté de la rue, Theodora vit un taxi s'arrêter et un grand blond en sortir.Au moment où il prenair pied pied sur la chaussée, un second taxi surgit en trombe dans le sens inverse .
Il fit une embardée brutale et sembla tout d'abord en mesure de l'éviter, mais au dernier moment le garçon se jeta devant lui et disparut sous ses roues. Le taxi ne s'arrêta même pas et poursuivit sa course folle comme s'il ne s'était rien passé.
-Oh, mon dieu ! hurla Theodora.
Le garçon était touché , elle en était sûre. Il s'était fait renverser, il devait être mort.
-Tu as vu ça ? demanda-t-elle en cherchant frénétiquement des yeux Oliver, qui semblait s'être volatilisé.
Theodora traversa la rue en courant, certaine de trouver un cadavre, mais le garçon était debout face à elle. Sain et sauf.
-Tu devrais être mort, chuchota-t-elle.
-Pardon? demanda-t-il avec un sourire perplexe.
Commenter  J’apprécie          10

Videos de Melissa de La Cruz (428) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Melissa de  La Cruz
Author Melissa de la Cruz releases final book in 'Blue Bloods' young adult series 26 juil. 2022 #cincinnati #WKRC #LOCAL12 Melissa de la Cruz is a New York Times bestselling author: https://bit.ly/3vgjVQy
autres livres classés : vampiresVoir plus
Les plus populaires : Imaginaire Voir plus


Lecteurs (3361) Voir plus



Quiz Voir plus

L'île de l'oubli - Qui est le fils ou la fille de qui ??

Qui est la fille de maléfique ?

Mal
Emma
Mel
Méchante

8 questions
46 lecteurs ont répondu
Thème : Descendants - L'Île de l'Oubli de Melissa de La CruzCréer un quiz sur ce livre

{* *} .._..