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EAN : 9782080504036
Flammarion (08/01/1992)
3/5   2 notes
Résumé :
Parti en coup de vent parce qu'il se croyait trompé par sa femme Ermance, Jean Hoctot, marquis d'Anville, est revenu d'Allemagne avec une égale soudaineté, mais Ermance que cette conduite cavalière bouleverse a fui à Longue-Vieille, son domaine personnel. Les Anville resteront-ils brouillés ? Ermance fait avec élégance le premier pas en rejoignant son mari à l'église comme si de rien n'était. Par son tact, son aisance et sa grâce, elle reconquiert le cœur ombrageux ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (1) Ajouter une critique
Si le deuxième tome de la trilogie peut comporter des longueurs et des langueurs, elles prennent tout leur sens dans ce dernier volume. Les héros de cette fresque prennent soudainement toute leur profondeur, toute la complexité de leur âme et on en ressort bouleversé.
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Citations et extraits (3) Ajouter une citation
Alors j'ai bien compris qu'il fallait, à celle qu'on aime, porter tout ce qu'on possédait, confier tout ce qu'on avait ; à ses bras, à son esprit, à son cœur, à son corps, afin de ne vivre qu'en elle. Et je disais, vois-tu : « Prenez-moi ! » bien loin de vouloir prendre... C'est la perte en amour qui fait la force du flot, comme la source qui tombe dans la mer. Faisons confiance ; faisons-lui confiance, ces enfants que nous sommes auprès, au bord d'une fille de vingt ans.

1826 - [Le Livre de poche n° 3642, p. 21/22]
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« Maintenant que je ne suis qu'une moitié d'homme vivant, ou presque, je pourrais avoir des timidités, Jean, mais quand j'étais très amoureux et fort apte au déduit, j'en ai connu aussi, sans doute parce que je l'étais trop, trop attendri.. Alors j'ai bien compris qu'il fallait, à celle qu'on aime, porter tout ce qu'on possédait, confier tout ce qu'on avait ; à ses bras, à son esprit, à son cœur, à son corps, afin de ne vivre qu'en elle. Et je disais, vois-tu : « Prenez-moi ! », bien loin de vouloir prendre... C'est la perte en amour qui fait la force du flot, comme la source qui tombe de dans la mer. »

1929 - [Le Livre de poche n° 3642, p. 22]
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- Ecoute, Jean, laisse tout couler de toi. Ne pense pas si loin. Elle vient de nous donner la preuve de sa qualité insigne. Avec de vraies femmes, les plans qu'on échafaude, les ruses, les stratagèmes, ne sont que bouillie pour les chats. Laisse-la mener le jeu, si tu trembles encore ; laisse-la fignoler le « rebiboulé », comme nous disons de l'amour actif, en Provence, et ne raffine pas trop, ne fronce pas le sourcil. L'amour ? Ne pas oublier que c'est un enfant, un enfant rieur et qu'on défigure en le rendant pensif, grognon ou amer. L'Amour est la grâce répandue sur les bonshommes. L'Amour danse et ne rumine point.

1825 - [Le Livre de poche n° 3642, p. 20]
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Vidéo de Jean de La Varende
Mademoiselle de Corday Jean de la Varende Éditions Via romana
Initialement paru en 1939, ce portrait psychologique de Charlotte Corday est l'occasion pour l'auteur, royaliste et contre-révolutionnaire, de reconnaître la diversité des oppositions à la Révolution française. Il résume l'essence de l'assassin de Marat à une identité fantasmée : fille de gentilhomme, païenne, vierge, viking et normande. ©Electre
https://www.laprocure.com/product/303006/mademoiselle-de-corday
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