Quand on n’a pas seize ans et qu’on se retrouve enceinte, qu’on n’a pas fini ses études et que notre famille met toute la pression possible pour qu’on se débarrasse de notre enfant, il ne reste plus d’autre choix que celui de donner celui-ci en adoption sans même lui avoir vu le bout du nez. Croyez-moi, il ne doit pas se passer une seule journée sans que ces femmes pensent à leur enfant, qu’elles essaient de trouver des ressemblances chaque fois qu’elles croisent une fille ou un garçon de l’âge qu’a maintenant l’enfant qu’elles ont abandonné bien malgré elles.
Chaque personne possède sa propre histoire. On peut imaginer tous les scénarios, mais plus souvent qu’autrement, la réalité dépasse la fiction. Chacun a des secrets bien enfouis au fond de lui-même, qu’il est libre de partager avec qui il veut.
Quand on aime des gens et qu’on s’éloigne d’eux pendant un certain temps, à un moment donné on donnerait cher pour les avoir là, juste devant nous.
Quand je pars à la dérape, ce qui m’arrive encore, je me répète que je ne peux rien espérer du passé et qu’il ne me sert à rien non plus de me projeter dans l’avenir puisqu’il n’existe pas encore. Je profite du moment présent de toutes mes forces et je remercie Dieu chaque soir avant de m’endormir d’avoir une aussi belle vie.
Qand on fait partie de la minorité, on est souvent obligé de faire avec ce que la majorité décide. Comme tout bon politicien, Trudeau promet mer et monde aux Canadiens, anglophones et francophones, ce qui est loin d’être une garantie. Les politiciens sont tellement peu nombreux à tenir leurs promesses.