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EAN : 9782366400052
256 pages
Physalis (01/04/2012)
3.51/5   34 notes
Résumé :
Au temps des grands démons et des sorciers tout-puissants, les hommes scellèrent des pactes depuis lors noyés dans les ténèbres. Mais ce qui est perdu peut être retrouvé, et lorsque des êtres d'une cruauté défiant l'imagination investissent notre époque, l'incarnation d'un mal ancien et redoutable va forcer un jeune homme à redécouvrir le Bouclier Obscur...

Uther, professeur en informatique, mène une existence bien paisible. Son quotidien est rythmé p... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (22) Voir plus Ajouter une critique
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« Au temps des grands démons et des sorciers tout-puissants, les hommes scellèrent des pactes depuis lors noyés dans les ténèbres. Mais ce qui est perdu peut être retrouvé, et lorsque des êtres d'une cruauté défiant l'imagination investissent notre époque [par le biais d'un ordinateur, relié au Vatican], l'incarnation d'un mal ancien et redoutable va forcer un jeune homme à redécouvrir LE BOUCLIER OBSCUR »

J'ai (enfin !) termine ce livre d'à peine 300 pages. le style d'écriture fluide et naturel permet de passer rapidement le cap du premier tiers du bouquin et ce malgré des scènes gores et des « images » de viols et de sexe bestial (le mot « violent » étant trop doux pour les décrire... donc, âmes sensibles... etc.).

Mais le « jeune homme » dont il est question ne m'était pas particulièrement sympathique, disposant lui-même d'un vide emphatique évident, capable d'enjamber les morts atroces avec une incroyable légèreté et ne se souciant que peu de son entourage.

Quand, à deux-tiers de l'histoire, le Bouclier obscur (façonné au Moyen Âge) fait son abracadabrante apparition, on devine illico qui va ré-expédier les démons (oui, parce qu'entretemps ils se sont multipliés comme des petits pains), dans l'empire des ténèbres.
J'ai alors lu le dernier tiers en grandes diagonales, or, j'ai quand même encore « buté » sur une surprise... il sera plus exact de parler d'un revirement et qui finit ce récit, digne d'une série Z, d'une façon plutôt réductrice.

J'ai aussi essayé de lire ce livre comme un pastiche des romans d'horreur mais la tartinade excessive de substances sanguinolentes, de l'imagerie de sexe fantasmatique et les descriptions de démons infâmes, presque burlesques, m'a vite ennuyée.
Généralement, j'apprécie les histoires fantastiques... plus subtiles.
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À l'occasion de la rentrée littéraire 2015, les éditions ActuSF rééditent en poche, dans la collection Hélios des Indés de l'Imaginaire, le tout premier roman de John Lang, alias Pen of Chaos, le créateur de la saga du Donjon de Naheulbeuk, d'abord publié chez Rivière Blanche.

En premier lieu, et même si cela peut paraître évident au vu de la quatrième de couverture, ne vous attendez pas à de l'humour délirant, déconnant et décapant, non ! Ici, nous sommes dans le dark fantasy, bien dark, voire parfois bien gore ! En chemin, vous trouverez facilement des corps mutilés, des chevauchements acrobatiques d'êtres soumis et des visions d'horreur dans votre sommeil. John Lang ne mise pas sur de la gaudriole pour ferrer son lectorat ! Il quitte d'ailleurs de même les univers médiévaux-fantastiques et opte pour un cadre tout à fait contemporain. Nous suivons ainsi Uther, humble professeur d'informatique, encore très jeune dans sa tête et toujours prêt à donner un coup de main. Un concours de circonstances plus tard, il va se retrouver face à un démon réincarné via un simple ordinateur et embrigadé par une société secrète de lutte anti-sorcellerie. L'auteur nous propose alors une bonne quête du Bien contre le Mal dans le monde actuel, avec une petite poignée de personnages très impliqués. Lubricité, violence et cauchemars sont au programme !
Prévenons d'ores et déjà le lectorat qui serait déjà à l'affût qu'il ne faudra pas s'étonner, au vu du thème choisi (les méandres de l'informatique), que le récit recèle des éléments que nous trouverons désormais datés, c'est évident. 2006, ce n'est pourtant pas si loin, mais en termes d'informatique, ça fait déjà un bail, reconnaissons-le. Petit bémol quand même, nous découvrons l'histoire des principaux personnages relativement tard, puisque nous nous sommes un peu passés de scènes d'exposition. Pour le reste, John Lang nous offre un style relativement simple certes, mais son roman se lit avec une bonne fluidité. Qui plus est, malgré ce qui pourrait apparaître comme du vu et revu (démons, sorciers et quête), les poncifs du genre ne sont pas battus et rebattus ici. Enfin, on pourrait facilement se demander « pourquoi le Bouclier obscur alors qu'il est associé à une épée tout aussi, voire davantage, puissante ? », je pense que la réponse est simple : nous restons attachés à notre personnage principal et la justification vient toute seule à l'heure du combat final, toujours épique et violent comme on s'y attend après 300 pages de cet acabit intéressant.
Pour faire un petit point éditorial, le Bouclier obscur est une réédition en poche de la version sortie en 2006 chez Rivière Blanche. Nous sommes là dans la collection Hélios des Indés de l'Imaginaire. Comme toujours nous lorgnons sur des trames monochromes, et ici le duo bleu-noir attire directement l'oeil, mais on a perdu la traditionnelle initiale de l'auteur en surbrillance ; Mikhaïl Borulko se charge de la couverture en elle-même et si ce n'est pas épatant, nous sommes totalement dans le sujet et le lecteur saura à quoi s'attendre.

Le Bouclier obscur se lit donc à une vitesse folle, sans gêne ni blocage ; même s'il ne sera pas mémorable pour tous, ce premier roman de John Lang marquera quand même par son style très noir, voire gore, et nous laisse surtout sur une pointe d'attente envers les personnages qui demeurent encore sains au dénouement, au point qu'on attendrait une suite sans problème.

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Auteur, compositeur et musicien, John Lang est surtout connu pour sa saga humoristique : le Donjon de Naheulbeuk, dont les deux premières saisons ont été exclusivement diffusées sur internet sous forme de fichiers audio. Mais face au succès grandissant, cette saga est publiée par la suite au format de romans entre 2008 et 2011.

Pourtant, le Donjon du Naheulbeuk n'est pas son premier essai d'écriture puisqu'en 2006, les éditions Rivière Blanche publient son premier roman, le Bouclier Obscur qui sera maintes fois réédité.

D'ailleurs, il ressort aujourd'hui en poche dans la collection Hélios dont le but est de redonner de la visibilité à ce texte atypique.

Jeune professeur d'informatique, Uther s'ennuie ferme dans son quotidien, seulement égayé par de bonnes parties de jeux vidéo ou de mémorables livres tirés des littératures de l'Imaginaire. En allant dépanner l'ordinateur de l'ami curé d'un collègue, il était loin d'imaginer ce que cachait le coriace virus qui infectait la machine. Mais la mort violente de l'ecclésiastique ne lui laisse que peu de doutes sur le monstre qu'il a malencontreusement laissé échapper du programme informatique. Sans réellement bien réaliser dans quelle folie il s'embarque, Uther accepte de traquer ce démon afin de sauver le monde d'une probable apocalypse. Mais est-ce qu'un simple humain peut-il faire la différence quant le démoniaque est à l'oeuvre ?

Dans le Bouclier Obscur, John Lang emprunte autant au thriller, au post-apo qu'au fantastique pour livrer un texte sombre et singulier.

Ici, la figure du tueur en série prend les traits d'un démon qui laisse derrière lui un sillage sanglant et funèbre.

Dès les premières pages, l'auteur ne laisse donc aucun doute au lecteur quant au type de récit qu'il est en train de lire. Aussi, le ton est donné immédiatement et le coeur devra être bien accroché car le livre s'annonce d'emblée violent et sordide. le Bouclier Obscur nous plonge dans une chasse aux démons qui vire au cauchemar. Au fil de l'enquête, on découvre l'existence d'une société secrète, religieuse et ésotérique dont les origines remontent au Moyen-Âge. Cela laisse planer une vraie aura de mystère sur ces investigations peu ordinaires qui peuvent d'ailleurs rappeler l'ambiance de certains romans de Dan Brown.

Cependant, malgré la gravité des enjeux, l'auteur n'a pas manqué de ponctuer son roman de notes d'un humour noir qui s'expriment essentiellement par l'entremise de ses personnages, comme notamment le narrateur, Uther Lelance. John Lang a choisi de miser sur des anti-héros pour mener l'aventure. Volontaires mais volontiers dépassés par les événements, Uther et son élève et compagnon d'infortune ici, James ne sont là que par le fruit du hasard et on ne peut pas dire qu'ils incarnent la figure du sauveur de manière très crédible. Parfois désabusé, souvent étourdi, Uther décroche de temps en temps pour s'accorder des moments de jeux avec son comparse James pour lâcher la pression. le comportement de ces héros est si imprévisible qu'ils donnent au texte son côté décalé et détonnant... Fantasy à la Carte.


Lien : https://fantasyalacarte.blog..
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Tout d'abord, je tiens à remercier le site Babelio et les éditions ActuSF qui m'ont permis de découvrir ce roman, lors de la dernière « Masse Critique » du mois de Septembre.

John Lang nous offre ici son premier roman fantastique et je dois dire que je ne fus aucunement déçue de ma lecture ! Très connu pour le « Donjon de Naheulbeuk », il offre ici une vision noire d'un monde démoniaque complètement horrifique. Mais son humour reste malgré tout présent, un humour noir évidemment.

Nous découvrons donc l'histoire d'Uther Lelance, un jeune professeur d'informatique à Paris. On a de lui, l'image d'un homme intelligent et cultivé. Il a également un côté très « geek », certes pour un professeur d'informatique de son âge cela peut se concevoir. Son quotidien est bouleversé quand son collègue, Michel lui demande d'aider un de ses amis du clergé, le père Alexandre. Après quelques réticences, Uther accepte malgré tout de l'aider. Seulement une fois sur place, le jeune professeur déchante très vite. le virus informatique auquel il doit faire face n'a rien de naturel, il peine à comprendre ce qu'il s'est produit sur cette machine. Quand il découvre des mots et images obscènes, il se doute davantage qu'il ne pourra pas en venir à bout :







L'auteur nous démontre à partir de ce « virus », un monde totalement horrible et dérangeant. On ressent le malaise des personnages, le dégoût. Bref tout ce qui fait qu'un roman d'horreur fonctionne ! On découvre alors la fameuse phrase énigmatique « Prends garde je serai bientôt dehors. » Alors, on plonge irrémédiablement dans le monde surnaturel.
Je dois dire que la description des meurtres ou les sévices que les personnages subissent sont parfois tellement bien décrits qu'on est franchement dégoûté. (Pour moi c'est en bien évidemment) :





Voici un extrait qui montre donc le côté horrifique de ce roman, mais également le cynisme dont le héros fait preuve. Peut-être pour atténuer ce qu'il voit ?
Après ce passage, Uther qui a entrainé dans son entreprise un jeune étudiant du nom de James, avec qui il entretient des relations amicales, se voit également entraîner dans ce monde d'horreur.
Ils doivent alors trouver une solution ou une quelconque aide, c'est en tentant d'appeler du secours au Vatican, qu'ils vont rencontrer un évêque de Rome, Charles Durgain. Ce dernier va tenter de renvoyer le démon dans son monde.
John Lang évoque alors la démonologie d'un point de vue purement théorique dans la caractérisation des démons, ici : Abalam et Paymon. Les descriptions sont purement issues de source internet comme la physionomie de Paymon ou la place qu'occupe Abalam dans la hiérarchie infernale. Je dirais même que le site « La chouette noire » évoque les mêmes descriptions. (Oui, j'ai moi-même effectué des recherches sur ce sujet). Par contre, la physionomie d'Abalam est fictive, bien qu'elle doive être assez ressemblante à Paymon vu que les démons sont associés.

On retrouve également dans le roman des clins d'oeil à tout ce qui est jeux vidéo. Vers la fin du roman, dans l'ultime bataille, j'avais l'impression de me tenir au coeur d'un jeu d'aventure ! Evidemment, ce style ne peut pas plaire à tout le monde, mais moi j'ai grandement apprécié ces petits détails. Notre héros lui-même est fasciné par les armures médiévales et lui aussi s'imagine être au coeur d'une quelconque aventure d'antan :





On voit ici qu'il s'agit d'un domaine très connu de l'auteur. Il sait de quoi il parle et ses descriptions du Moyen-âge sont très fidèles, comme les interludes qui s'immiscent dans le roman pour expliquer l'origine du fameux bouclier et d'une épée un peu particulière. le récit se termine sur de nombreuses questions, des points sont restés volontairement dans le flou, comme concernant la petite amie d'Uther, Marine mais également Thomas, un personnage énigmatique qui finalement se retrouve être de la même trempe que son ancêtre. On peut supposer à une suite d'aventures pour Uther et James.

En conclusion, cette lecture m'a énormément plu ! J'aime vraiment la littérature fantastique/horreur, quand un auteur arrive à me garder captivée du début à la fin, cela est très rare. Mais John Lang y est parvenu ! Je recommande donc chaudement son roman qui est très bien écrit, facile à lire et nous donne des frissons tout le long du récit. Je n'ai rien d'autre à dire, à part : Excellent !


Lien : http://skoldasy-books.eklabl..
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Tout d'abord un grand merci à Babelio et aux éditions Physalis de m'avoir permis de découvrir ce livre et cet auteur.

Je ne connaissais pas l'oeuvre de John Lang, même si « le Donjon de Naheulbeuk » m'est familier depuis longtemps. En fait, je connaissais surtout le groupe musico-rôliste du même nom pour les avoir vu sur scène de nombreuses fois (Avatar, Trolls et Légendes), mais inconnu pour moi au niveau littéraire.

« Le bouclier obscur » est un roman de dark fantasy peuplé de démons, de société secrète organisée par le clergé, de preux chevaliers modernes, le tout saupoudré de gore bien craspec.
Disons-le d'emblée, ce roman ne restera pas dans les annales de la littérature fantastique. Perso, j'avais l'impression de lire le scénario d'un épisode d'une série fantastique comme il en pleut actuellement. Ça se lit facilement, c'est chouette, mais aussitôt lu, aussitôt oublié.

Par certains côtés, ça me faisait aussi penser à du Graham Masterton, version française, mais pas le meilleur cru, plutôt le bas de gamme.
A mes yeux les personnages ne sont absolument pas développés. Ils sont confrontés à des événements qui rendraient fou le commun des mortels, mais eux encaissent vite les coups et font face comme si ils avaient été préparés toute leur vie à cela. Un peu facile mais bon, pourquoi pas.

Par contre j'ai beaucoup aimé l'aspect démonologique de l'histoire. La hiérarchie des Enfers, les différents démons, leurs points faibles, tout cela était pour moi assez original.
Mélanger également nouvelle technologie (le démon pénètre dans notre monde via un pc) et démonologie m'a beaucoup plu.

La violence de certaines scènes est à mes yeux très graphique. J'ignore pourquoi mais je visualisais ces passages tels qu'aurait pu le dessiner Richard Corben, dessinateur bien connu dans le domaine de la Fantasy : c'est gore, trash et d'une violence sans concession.

Au final, une lecture facile, un bon moment passé, sans plus.
Note : 6.5/10
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Citations et extraits (5) Ajouter une citation
Ils sont suprêmement intelligents. Leur esprit est si complexe qu’ils ne peuvent concevoir des pièges aussi stupides que ceux-là. Leur orgueil les aveugle et seuls comptent pour eux le pouvoir, la corruption et l’assouvissement de leurs fantasmes. Pour les invoquer, on sacrifia des dizaines d’enfants et on organisa un sabbat qui dura deux jours entiers. Ce fut une des cérémonies les plus ignobles de l’histoire de l’humanité. Elle resta secrète, car la plupart des participants eurent… des accidents par la suite.

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- Calmez-vous les gars, chuchota Durgain. Vous avez l’air d’une bande de fous.
- C’est bien ce que nous sommes, lui dis-je. Nous sommes deux fous partant en guerre contre des démons.
Ils ne furent pas enthousiasmés par mon ton badin. C’est une de mes particularités, dans les situations les plus affreuses, j’ai toujours quelque chose de cynique ou de bête à dire.

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Nous partîmes donc sur les toits, en prenant bien garde de tirer l'échelle et de la laisser à portée de main en bloquant le vasistas. La visite des toits parisiens, c'était une expérience nouvelle pour moi. Il convenait de faire attention à chaque pas, avec nos gros sacs qui nous attiraient dans le vide, rendant notre équilibre précaire. La tôle était grasse de pollution et de poussière, d'excréments de pigeons. Tout était sale. L'avantage, c'était la vue plongeante que nous avions sur certains appartements. L'inconvénient, c'était qu'il faisait nuit et que nous ne pouvions pas en profiter. De toutes façons, le voyeurisme n'était pas à l'ordre du jour.
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Très vite, il n'y eut plus personne. Nous nous retrouvâmes face à face, debouts dans les débris humains, couverts de sang. La porte nous attendait. Charles et Germain accoururent, ils avaient un visage inquiet.
- Calmez-vous les gars, chuchota Durgain. Vous avez l'air d'une bande de fous !
- C'est bien ce que nous sommes, lui dis-je. Nous sommes deux fous partant en guerre contre des démons.
Ils ne furent pas enthousiasmés par mon ton badin. C'est une de mes particularités, dans les situations les plus affreuses, j'ai toujours quelque chose de cynique ou de bête à dire.
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Je m’imaginais mal arriver en courant dans une préfecture de police en brandissant des photos pornographiques, en disant qu’un démon était sorti dans Paris, qu’il venait du Vatican par le réseau téléphonique et qu’il avait compacté un moine dans un placard à télévision.
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