Retour dans l'univers d'Horologiom. L'odieuse animalité et le fonctionnarisme extrême règnent en maître : logique, puisque cette histoire se situe avant celle du 1er cycle. En revanche, changement radical de ton : on passe dans le polar et l'humour noir. Avec quelques grands moments de solitude pour le major. Une très bonne surprise.
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L’histoire est rythmée, cohérente et la lecture fluide. C’est un vrai bonheur de retrouver ce monde loufoque où le graphisme prend toute sa dimension. Outre l’histoire qui est digne des meilleurs polars, le lecteur prendra un réel plaisir en découvrant toutes les créations mécaniques parsemées tout au long des planches.
Lire la critique sur le site : BulledEncre
Les 56 pages du ministère de la peur se lisent d'une traite, parfois avec nostalgie mais toujours avec intérêt. Un seul regret pour moi, le côté un peu conformiste du découpage comparé au premier cycle.
Lire la critique sur le site : Sceneario
Sur ce point, les amateurs peuvent être rassurés, il s'agit bien d'un tome d'Horologiom ! Malgré cet excellent travail et toute l'attention que, visiblement, Lebeault porte à sa création, il manque, peut-être, un petit peu de la profondeur philosophique présente dans le premier cycle. En fin de compte, il ne s'agit que d'un polar très classique, heureusement très bien construit.
Lire la critique sur le site : BDGestFabrice Lebeault : Horologiom 1 l'homme sans clef
Olivier BARROT présente la
bande dessinée de
Fabrice LEBEAULT "Horologium 1, L'homme sans clef".