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Capitaine Mehrlicht tome 2 sur 5
EAN : 9782501094405
384 pages
Marabout (21/05/2014)
4.07/5   468 notes
Résumé :
Paris à la Toussaint. Le capitaine Mehrlicht, les lieutenants Dossantos et Latour sont appelés à l'hôpital Saint-Antoine: un patient vient d'y être empoisonné. Le lendemain, c'est une famille entière qui est retrouvée sans vie dans un appartement des Champs-Élysées. Puis un couple de retraités à Courbevoie...
Tandis que les cadavres bleutés s'empilent, la France prend peur: celle qu'on surnomme bientôt l'Empoisonneuse est à l’œuvre et semble au hasard décimer... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (127) Voir plus Ajouter une critique
4,07

sur 468 notes
En cette veille de Toussaint, le capitaine Mehrlicht et son ami et ancien collègue, Jacques, n'ont rien trouvé de mieux pour égayer, un tant soit peu le couloir de l'hôpital, que de jouer la Mort. Un joli pied de nez de la part de Jacques qui se sait condamné... le lendemain, dans les locaux du commissariat du XIIème arrondissement, Daniel Mehrlicht retrouve ses collègues, Latour et sa chevelure rousse flamboyante, et Dossantos, culturiste qui ne jure que par le code Pénal. Matiblout, le commissaire, est tout heureux de lui annoncer qu'il va de nouveau avoir sur le dos un nouveau stagiaire, Guillaume Lagnac, un "fils de" d'une beauté rare. Toute la fine équipe est appelée au service oncologie de l'hôpital. En effet, une infirmière a retrouvé l'un de ses patients mort. Visiblement empoisonné d'après les premières constatations. le premier d'une longue série...

Des morts le jour des morts, jusque-là, rien d'anormal. Sauf lorsqu'il s'agit de mort non naturelle... Qu'a donc pu faire cet homme hospitalisé pour qu'on veuille s'en prendre à ses jours ? Un mauvais dosage de la part de l'infirmière ? Peu crédible dès lors qu'un second cadavre est retrouvé. Même mort dans d'atroces conditions. L'empoisonneuse, la bien-nommée, diffuse son poison à tout-va. le problème pour Mehrlicht et sa fine équipe est de trouver le lien entre ces morts. Nicolas Lebel nous plonge dans une atmosphère sombre, la pluie tombant sur Paris sans discontinu. Des personnages très attachants, fouillés et profonds habitent ce roman: Mehrlicht, ses yeux globuleux et sa gueule de batracien; Dossantos, une sorte d'Hercule adepte du Code Pénal; Latour et son petit ami Tchétchène et ce stagiaire sorti tout droit des jupes de son père! Des moments parfois drôles ou enlevés viennent alléger la dramaturgie. Nicolas Lebel nous offre un roman policier rondement mené et habilement construit. Un polar palpitant, captivant, émouvant parfois, riche et rythmé, porté par une écriture soignée et travaillée, la pointe d'humour en plus ! Une réussite !
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Same player shoot again !

Lorsqu'on a apprécié une recette, on y revient généralement sans tarder.
Lebel reprend ici les mêmes ingrédients, excepté un changement stratégique de stagiaire en début de partie histoire de muscler son attaque et le grand Jacques venant ici se substituer aux sonneries décalées d'Audiard, et nous concocte un p'tit plat sauce poison dont vous me direz des nouvelles, pour peu que vous y surviviez.

Meilleur que le précédent qui était déjà bien relevé, le Jour Des Morts s'appuie sur une dynamique forte cristallisée par des personnages emblématiques aux prises avec un empoisonneur d'existence.

Meilleur que le précédent parce que beaucoup plus crédible et torturé, Lebel n'en oublie pas pour autant de titiller la corde sensible du lecteur forcément touché par la relation compliquée d'un Mehrlicht, et sa voix ensorceleuse à la Jeanne Moreau, tristement impuissant face au déclin inéluctable de son pote, Jacques, hospitalisé et appelé à taper la discute avec son créateur d'un instant à l'autre.

Une franchise qui gagne en intensité et en plausibilité, la bande à Mehrlicht, et sa voix enjôleuse à la Brigitte Fontaine, séduit également de par l'interaction qu'elle suscite au fil du récit, réussissant le tour de force de mettre en lumière chaque protagoniste avec un égal bonheur.

On va pas se mentir, énorme plaisir pris tout au long de ce canevas déroulé avec un sens du timing aussi travaillé que cet ingénieux scénario aux moult rebondissements. Intrigue qui ne laissera pas de vous perdre régulièrement sur le chemin de l'évidence. Mulder avait raison, la vérité est ailleurs...

C'est avec une écriture très actuelle, empreinte d'un réel sens de la mise en scène, que Lebel vous convie à ce Jour Des Morts. Il serait criminel de décliner l'invitation au motif d'avoir subitement poney sur échasses montées sur roulements à billes, activité aussi fallacieuse qu'improbable, convenons-en.

Très très beaucoup bien !

4,5/5
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Quatrième roman des aventures du capitaine Mehrlicht et de son équipe que je suis amené à lire et commenter, ''Le Jour des morts'' est en fait le second volet de la série.
Que dire à ce propos si ce n'est que le ton est donné d'emblée avec un capitaine devant une fois de plus gérer au mieux l'encombrant stagiaire fils à papa carriériste et impertinent, pestant à tout va, lassé de paperasserie et devant faire face à une empoisonneuse aussi efficace qu'insaisissable.
Comme pour les autres épisodes de la série, l'auteur n'a pas lésiné sur le caractère si particulier du capitaine : cultivé, amateur de bons mots et de bonne chère avec le légiste ... et doué d'un humour bien caustique.
Cela change de polars bien froids que sont les nordiques et constitue un bon divertissement.
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La Toussaint, le jour des morts, Halloween... Y a de quoi s'y perdre entre ceux qui font semblant de vouloir zigouiller pour le fun et ceux qui tuent pour de bon, entre qui est mort pour de vrai et qui ne l'est pas - ou pas tout à fait, on est quand même à l'hôpital, dans un service où les patients ne sont guère fringants.
C'est d'autant plus le souk quand le capitaine Mehrlicht délire empêtré dans un drap dans les couloirs de l'hosto pour dérider son pote en fin de vie...

Deuxième volet des aventures de Mehrlicht et de son équipe, encore meilleur que le premier. L'auteur s'y lâche davantage, son humour s'affirme. Ça pourrait alourdir la sauce, non, ça rend la lecture encore plus agréable.
On rit, mais pas seulement. Nicolas Lebel continue à nous mettre le nez sur les mesquineries et cruautés humaines, à dénoncer les travers de la société, à taper sur les politiques véreux (corruption, népotisme) et tous ceux qui leur mangent dans la main.
Le personnage principal, Mehrlicht, reste égal à lui-même : misogyne, bougon, sanguin mais généreux et facétieux, finalement très loin du gros con qu'on imaginait au tout début. C'est un régal de l'entendre répondre au commissaire Matiblout, et de voir son imagination à l'oeuvre pour bizuter ses 'pauvres' stagiaires.
Les contours de Dossantos et de Latour se précisent également dans ce deuxième épisode.

Avec ce 'Jour des morts', la série se construit, s'élève tranquillement et sûrement, prend de l'épaisseur, a parfois des accents de Pennac, Vargas, Magnan, et le lecteur est de plus en plus accro.
Quatre opus à ce jour, le dernier est sorti début mai.

• Un grand merci pour les prêts, MaGi (bis) !
Vos conseils ont du génie ! ♪♫
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Ce que j'ai ressenti:….Un frissonnante lecture!

« Là où il y a du sang, il y a de l'encre. Et souvent du blé à se faire… «

Le Jour des Morts…Halloween vous branche? Vous aimez les fantômes et les sorcières? Il semblerait que l'auteur s'est beaucoup amusé à mettre au gout du jour, et dans une enquête passionnante, un remake de cette fête morbide.

C'est une hécatombe cet opus (et non plus les catacombes comme pour L'heure des fous)! Sous les doigts d'une Empoisonneuse immortelle, le présent connait une série vertigineuse de meurtres. Les vivants n'ont plus qu'à se mettre à l'abri du fléau de l'amanite, car cette Mort n'est en rien enviable! Les corps tombent dans des positions peu ragoutantes, et il semble que Paris tremble dans ses fondements mêmes! Quand politique, passé trouble et journalisme véreux font partie de la toile de fond, on est sûr de passer un moment instructif derrière le drap troué !

fantôme

Victor Hugo semble encore une fois planer derrière ce roman, inspirant Lebel d'une flamme palpitante. Merci donc pour ce morceau choisi avec intelligence du grand oeuvre: le Dernier jour d'un condamné. Dans le premier tome, Notre-Dame-de-Paris et sa cour des miracles était le fond de décor, ici, il semblerait que ce soit sa philosophie éclairante qui insuffle une dynamique plus profonde à ce thriller.

Et en parlant de littérature justement, j'ai adoré suivre Denis Leroy, libraire acharné, le « Rat de bibliothèque », dans ses quêtes poussiéreuses mais ô combien inestimable de trésors. Sentir même de loin, l'odeur du papier et du cuir, toucher du bout des doigts ses pages d'un autre temps, je me suis régalée de voir cet amour et ce respect pour les grands auteurs français.

Je continuerai avec grand plaisir, pour ne pas dire *impatience névrotique*, les aventures cette équipe! Je suis fan de l'auteur et de son écriture. J'adore l'humour qui se dégage de ses romans. Entre joutes verbales, reparties cinglantes, et jeux de mots, je me tords de rire dès fois en lisant certains passages! Je trouve aussi qu'il s'en sort remarquablement bien dans ses propositions d'enquêtes, nous emmenant chaque fois plus loin en réflexions sur notre société actuelle.

« Je me suis mis à la télé tellement je m'emmerde. Et bien figure toi que la télé, c'est un super moyen pour accepter la mort. «

En conclusion, je ne dirais qu'une chose: viiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiite le tome 3!!!!

Meilleurs Moments du livre:
•Le Lundi 31 octobre: Halloween: La scène dans l'hôpital avec Mehrlicht et Jacques nous apporte autant de rires que de larmes. Il m'a été difficile de lire après ce grand moment d'émotion.
•La scène du Chaudron. Non mais celle là, elle est mythique! Jamais, je crois je n'ai autant ri de bons mots et de plaisir délectable en bouche. Merci Monsieur Lebel de défendre si hautement la cuisine française!

Livre lu en Lc avec Belette2911, vous pouvez passer sur le blog ou ici voir ce qu'elle en dit ausssi ;)

Lien : https://fairystelphique.word..
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Citations et extraits (74) Voir plus Ajouter une citation
Il n'aimait pas prendre de risques, encore moins des risques politiques. Il s'était toujours bien gardé de prêter le flanc à la critique et était arrivé à ce poste [de ministre] grâce à sa prudence : au coeur des polémiques, il évitait la presse, insistant pour que la justice pût faire son travail sereinement. Puis la tempête passée, il paradait ostensiblement au côté des vainqueurs, affirmant avoir défendu la proposition victorieuse depuis le début. Aussi inattaquable que transparent, F. avait hérité d'une carrière politique clés en main. Il en avait bien profité jusque-là, comptait bien continuer ainsi, puis passer le relais à ses fils. Il n'y avait rien de répréhensible à cela. Les cordonniers ou les boulangers transmettaient leur savoir-faire à leurs enfants avant de leur léguer la boutique familiale ; les chanteurs, acteurs, comiques, réalisateurs, écrivains, patrons, banquiers et hommes politiques en faisaient de même. C'était bien naturel d'aider sa progéniture. Jean Sarkozy, fort d'une licence en droit, était devenu conseiller général des Hauts-de-Seine, vice-président du conseil général et enseignant en droit à l'université. Jean-Christophe Mitterrand, obscur journaliste, avait fait une carrière fulgurante après l'élection de son père. Les exemples étaient infinis. D'une génération à l'autre, on retrouvait les mêmes noms aux mêmes places. Seuls les prénoms changeaient. Mais pouvait-on réellement reprocher à un père d'aimer ses enfants ? Non. C'était ainsi qu'étaient forgées les dynasties. C'était ainsi que survivait l'espèce humaine.
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A quelques mètres devant lui, un type brun dans un long manteau noir se racla la gorge dans un grognement d'ours et, après un instant d'élaboration silencieuse, cracha au sol ce qui ressemblait à s'y méprendre à une méduse. Dossantos serra les mâchoires ; sa journée venait de commencer. Pour lui, un type qui crachait de la sorte dans un lieu public crachait de la même manière sur la loi et la société. Le laisser partir sans un mot, c'était valider son attitude. Un rappel à la loi s'imposait. Pédagogique mais ferme.
Dossantos rattrapa le créateur de méduses et lui colla sa carte de police sous le nez.
- Bonjour, monsieur. Police nationale. Vous venez de cracher par terre.
Le type d'une trentaine d'années, propre sur lui, le cheveu noir plaqué au gel, s'arrêta et s'indigna.
- Quoi ? On n'a même plus le droit de cracher maintenant ?
- MAINTENANT ? C'est interdit par un décret de 1942. Mais plus clairement, vous venez d'enfreindre l'article R. 632 tiret 1 du code pénal : 'est puni de l'amende... [...]'
Le type, visiblement débile, s'insurgea avec force gesticulations, levant les bras vers le ciel gris qu'il prenait à témoin.
- Mais c'est n'importe quoi ! J'ai toujours craché. Ce n'est pas maintenant que je vais arrêter. On se fout de qui ? brailla-t-il.
Dossantos inspira profondément. La pédagogie avait ses limites. Lui aussi. Il tendit son visage en avant pour l'approcher de celui du gominé.
- Vous allez me dire si j'ai bien tout compris : vous crachez par terre. Une personne chargée d'une mission de service public, dans l'exercice de ses fonctions, vous rappelle à l'ordre et vous signale que vous risquez une amende pouvant aller de 135 à 450 euros, suivant le code ou le règlement invoqué. Votre réponse, c'est d'avouer à ce représentant de la force publique que vous avez enfreint la loi à plusieurs reprises et que vous envisagez de continuer.
- Mais...
(p. 40-41)
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[...] c'était toujours à elle que revenait le soin d'annoncer aux familles que l'un des leurs venait d'être arrêté, blessé ou tué. Le Code de procédure pénale ne disait rien quant à l'information aux familles. Il était généralement admis que l'on convoquait au Commissariat les parents d'un mineur arrêté, mais que l'on se déplaçait pour annoncer un décès, qu'il fut accidentel ou criminel. Avec la fonte des budgets et des effectifs, le tact n'était plus de rigueur et le coup de fil impersonnel des autorités remplaçait inexorablement la décence d'une visite. [Sophie] Latour refusait cet état de fait, soulignant qu'elle pouvait se charger seule de cette sale besogne, si nécessaire, et arguant que ces rencontres permettait d'affiner le profil des victimes. Alors Matiblout la laissait faire, et dans l'équipe de Mehrlicht, il était entendu que cette mission incombait à Sophie, officiellement parce que [les autres] ne savaient pas faire, officieusement parce que, dans leur esprit, une femme était plus à même de trouver les mots. Pourtant 'les mots' ne lui étaient pas venus spontanément, naturellement. Et aucune école n'apprenait à annoncer le pire. Elle avait lu sur le sujet, et construit son approche.
(p. 103-104)
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- Chaque cigarette que vous fumez avec lui en cachette, chaque verre de vin que vous lui versez... sont autant de coups que vous portez à sa santé. Votre ami n'a plus la condition qu'il avait il y a dix ans. Il est très malade. Vous devez l'accepter. Si vous l'aimez, vous devez cesser tout cela. Sinon, il mourra.
Mehrlicht releva tout à coup la tête, piqué au vif.
- Mais on s'en fout de ça ! grogna-t-il. Vous avez rien compris !
Le médecin sembla soudainement désarçonné.
- Jacques est condamné, on le sait, lui et moi. Vous lui repassez le même disque tous les jours : les 'carcinomes', les 'biopsies', les 'métastases'. On a compris ; il finira ici, entre ces quatre murs. Y a pas de suspense dans cette histoire. Alors c'est quoi, ses choix ? Je vous écoute. Rester au pieu en attendant de caner avec la peur d'éternuer des fois que le palpitant lâcherait, ou se marrer un dernier coup avec les potes, en se grillant une dernière clope et en se sifflant une Côte-rotie ?
Le capitaine le regardait et semblait attendre une réponse. Le médecin ne dit rien. Après un instant, Mehrlicht reprit :
- Votre job, c'est de le guérir... Et c'est pas possible. Moi, mon job...
Sa voix se brisa dans un coassement grave.
- C'est d'être son ami... jusqu'au bout.
(p. 23-24)
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Les visages d'amis lointains reparurent bientôt, dont celui d'Henry, animé d'une flamme furieuse lors de leurs premières discussions politiques au café Les Facultés [vers 2005]. Henry savait défendre une idée. Il y mettait tellement de conviction, de foi même, que l'on finissait par y adhérer, parfois sans avoir vraiment compris ce qu'il défendait. Dossantos avait été subjugué par ce type un peu plus âgé que lui, à une époque où son identité franco-portugaise le taraudait. Henry parlait de la France, et de l'Europe, et du devoir qu'avait chacun de protéger des valeurs communes ancestrales contre le Barbare, qu'il fût à l'intérieur ou à l'extérieur, même s'il était entendu qu'il venait d'Afrique. L'héritage d'une nation était en danger. Il n'en avait alors guère fallu davantage à Dossantos pour épouser cette noble cause et tenter de la porter plus haut, plus loin qu'Henry, pour Henry, et pour estomper par ses actions la tache de son patronyme par la même occasion. Les nuits de collage avaient commencé. A trois, quatre, ils sillonnaient Paris afin d'y placarder les visages officiels et les idées présentables de la droite nationaliste. Dossantos croisait les autres visages et les idées moins sortables lors de soirées politiques à huis clos, réservées aux initiées, où il retrouvait Henry qui le félicitait de son engagement et lui donnait de nouvelles missions, à lui et aux autres.
(p. 120)
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