AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
>

Critique de domisylzen


Le Suzerain de Lankhmar, Glipkerio, convoque par l'entremise de son Chambellan, Fafhrd et le souricier gris pour une mission qui a l'air bien tranquille. Convoyer et assurer la protection d'une cargaison de grains et douze grands rats blancs enfermés dans quatre cages aux barreaux d'argent. Pas n'importe quels rats blancs, que nenni, des rats blancs qui savent danser, festoyer et manier l'épée.
Dans ce cinquième tome nos deux héros tomberont amoureux de belles impossibles : une femme-rate pour le Souricier et d'une belle vampire à la chair transparente pour le géant nordique.
Fini les nouvelles et histoires courtes des quatre premiers volumes, ici c'est bel et bien d'un roman dont il s'agit. Et quel roman délirant ! Ça démarre gentiment tout le monde se prélasse et devise sur le pont d'un navire mais bien vite le cerveau tordu de Fritz Leiber nous embarque dans un monde, celui de Newhon, ou les rats qu'ils soient noirs ou blancs menacent les hommes dans la cité même de Lankhmar.
Bien sûr il convient d'accepter l'idée de départ pour apprécier toute l'imagination dont fait preuve l'auteur. Une histoire sombre et délirante raconter avec brio, riche en extravagance et en inventivité.
Commenter  J’apprécie          230



Ont apprécié cette critique (21)voir plus




{* *}