Évidemment, ce guide étrange et fascinant décrit une vie rêvée qui était fort loin du quotidien de la plupart des Parisiens de l'époque. Ce que résume à merveille le mot de Galtier-Boissière à l'occasion du retour des cendres de l'Aiglon aux Invalides: «Les Parisiens qui crèvent de froid préféreraient du charbon à des cendres.»
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