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Voltaire mène l'enquête tome 7 sur 13
EAN : 9782709656160
280 pages
J.-C. Lattès (03/02/2016)
3.46/5   45 notes
Résumé :
Voltaire mène l'enquête, tome 6
Panique à Paris ! La peste est de retour ! Voltaire aussi !
Tandis qu’une maladie mystérieuse affole la capitale, le voilà coincé entre police, assassins, les médecins et son frère Armand, religieux intransigeant avec qui on le confond sans cesse. Déterminé à dissiper les brumes qui obscurcissent la raison et à éclairer l’intrigue de ses lumières, Voltaire prodigue aux populations effrayées les bienfaits de la philosophi... >Voir plus
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La Feuille Volante n° 1213
Docteur Voltaire et Mister Hyde – Frédéric Lenormand – JC Lattès.

Voltaire est présentement sur les terres de sa maîtresse, Mme du Chatelet, en Lorraine où il a dû se réfugier après la condamnation des Lettres Philosophiques promises au bûcher. Il s'y transforme en un infatigable modernisateur du vieux château qui l'accueille. A Paris se répand la psychose de la peste due sans doute à l'accostage de quelque navire en provenance d'Afrique comme cela a déjà été le cas à Marseille, mais il ne faut surtout pas prononcer ce mot ! Malgré la peur qu'il a de la maladie et nonobstant ses écrits subversifs, il lui semble indispensable de rejoindre la Capitale d'autant que, en Lorraine sa vie semble menacée. Il est suivi dans son périple par sa maîtresse et son incontournable abbé Linant mais aussi par un Anglais nommé Mister Hyde, jardinier-paysagiste anglais (baronet of Jek' Hill), surtout désireux d'enlever notre philosophe pour qu'il serve à distraire son roi.

J'ai personnellement un faible pour le XVIII° siècle et pour Voltaire en particulier. J'apprécie toujours quand on les fait renaître, surtout sous la forme de romans et qu'ils m'entraînent dans le Paris de l'époque à cette occasion. Lenormand s'en est fait une spécialité d'historien et y a ajouté son talent de conteur, mettant en scène notre écrivain, virevoltant et espiègle, dans des situations particulières qu'il n'a certes pas connues, lui prêtant des propos qui n'ont pas été le siens mais qu'il aurait à coup sûr approuvés. Dans cette discipline romanesque où se mêlent personnages historiques et fictifs, détails authentiquement biographiques et parfaitement inventés, Lenormand excelle. Les documents qu'il produit à la fin de cet ouvrage sont révélateurs, quant à accréditer l'idée qu'il n'a aucune imagination, cela me paraît procéder soit d'un abus de vocabulaire soit de la fausse modestie ! Il n'est certes pas le seul à s'exprimer dans ce registre, cette chronique s'en fait souvent l'écho, mais j'apprécie toujours ce parti-pris littéraire.
Depuis longtemps, j'aime bien le style de Lenormand, son humour, sa manière de mettre ses personnages en situation et de les faire réagir, et quand il choisit Voltaire, on sent qu'il aime bien cet exercice. Cette chronique a largement célébré cette heureuse habitude. le titre de ce roman est ici un peu attirant puisqu'il évoque évidemment, « Docteur Jekyll et Mr Hyde » de Robert-Louis Stevenson paru en 1886, qui illustre la dualité de l'homme, le côté obscur prenant le pas sur le bon. Qu'il affuble l'auteur de Candide du qualificatif de docteur est plutôt bienvenu surtout quand notre philosophe s'accoutre lui-même de ce déguisement et que la philosophie est une manière de soigner les esprits autant que les âmes, c'est un rapprochement qui n'aurait sans doute pas déplu à Voltaire mais qui sonne pour moi comme quelque chose de racoleur et ce d'autant plus que ce Mister Hyde ne fait que de brèves apparitions, poursuivant son idée fixe, celle d'inciter Voltaire à passer de l'autre côté de la Manche. Je ne vois donc pas très bien ce que vient faire son nom dans ce titre, à part lui donner une dimension accrocheuse.

Je sais que nous sommes dans une fiction des plus débridées, mais je me suis quand même un peu lassé des tribulations de Voltaire se faisant passer pour un frère qu'il n'aime guère ou des quiproquos où on les prend, volontairement ou non, l'un pour l'autre, de ses tentatives pour être pris pour un médecin, autant que de cette enquête sur cette peste bien étrange dont le charge le lieutenant général de police René Hérault alors que lui-même est mis au ban du royaume et ses écrits subversifs sont promis aux flammes du bûcher ! Un des nombreux paradoxes policiers sans doute ? Cette enquête tarde quelque peu à être mise en oeuvre et il m'a semblé que le roman pâtissait de quelques longueurs dans lesquelles je me suis un peu perdu. Pourtant ce roman reprend son véritable souffle de thriller quand on découvre des cadavres dont l'exécution n'ont finalement qu'un lointain rapport avec la peste. Et que doit-on penser de toute cette histoire ? Que la philosophie, celle de Voltaire, est une chose indispensable à l'espèce humaine, que cette dernière est toujours égale à elle-même, qu'il ne faut pas faire confiance aux femmes, que chacun dès lors pourra reprendre une vie normale dans « le meilleur des mondes », avec le futur auteur de « Zadig » comme directeur d'enquête, que les philosophes pourront philosopher et les jansénistes janséniser et que Voltaire lui-même pourra continuer de jeter sur le monde qui l'entoure un regard critique et se montrer, par ses écrits et son action, digne du Siècle des Lumières qu'il incarne ! Peut-être ?

© Hervé GAUTIER – Janvier 2018. [http://hervegautier.e-monsite.com]
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Hop, le « Voltaire » nouveau est arrivé ! Un régal annuel que j'attendais avec impatience. Il faut dire que ces enquêtes menés par le philosophe voltaire, écrits par Frédéric Lenormand, sont de véritables petits moments de bonheur littéraire.
Et une fois de plus, nous assistons au réjouissantes tribulations d'un Voltaire toujours aussi sympathique malgré sa férocité, sa mauvaise foi et sa capacité à semer le désordre (le bordel même) autour de lui.
Le roman débute avec, en prologue, la mort à Paris d'un apothicaire (nommé Sanofi :) ) assassiné mais... porteur de la peste.
Puis nous assistons aux calamiteuses initiatives de Voltaire qui s'est mis en tête de transformer le château de sa belle Émilie, marquise du Châtelet ainsi que des tentatives d'un mystérieux Mister Hyde pour enlever le philosophe.
L'affaire arrive donc à point pour un retour tonitruant à la capitale.
Accompagné du fidèle Linant, grand morfale devant l'éternel, Voltaire va mener l'enquête...
Ce roman, comme les précédents de la série, est un régal de drôlerie et d'intelligence. On y assiste notamment à une autopsie d'anthologie, on y rencontre le frère de Voltaire et, entre autres scènes mémorables, on assiste à l'autodafé par l'écrivain de ses propres oeuvres !
Et puis cet humour permanent dans l'écriture de Frédéric Lenormand : « Épicier : ces commerçants avaient le droit de vendre n'importe quoi, mais non sans avoir fait des études sérieuses au préalable (ce qui pourrait être la définition de nos pharmaciens modernes)
A Voltaire malade :
Je vais vous appliquer le Grand remède.
Tout, du moment que cela ne me tue pas !
On renonça au Grand remède...
Et voltaire : « Je crois que l'hôpital se moque de MA charité (page 161).
Bref, vous l'avez compris, ce livre est à la fois un polar, un roman d'aventures au rythme échevelé mais surtout un formidable concentré d'humour qui décrit un philosophe aussi génial que pétulant et exubérant.
C'est un ouvrage anti-dépression qui devrait être remboursé et vendu dans les boutiques des apothicaires et autres charlatans.
Achetez-le et lisez-le.... c'est un ordre.
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On y retrouve les bons mots que Frédéric Lenormand prête à Voltaire. Faire intervenir le frère Armand et leur fausse ressemblance mènent plusieurs fois des confusions cococasses parmi les autres personnages. Mais si l'on prend en compte l'intrigue policière, elle est très confuse. Plusieurs passages ne sont pas très clairs. J'écrirai même c'est cousu de fils blancs. C'est dommage. Peste, complot poursuite tout était réuni pour un bon tome. Peut-être trop.
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Voltaire s'ennuie à Cirey, alors il décide rebâtir à sa convenance le château de sa très chère Madame du Châtelet, sans que la marquise en soit le moins du monde informée, bien entendu !

Elle découvre le pot aux roses en arrivant sur ses terres et convainc son philosphe préféré de regagner la capitale pour venir en aide au lieutenant général de police Hérault, un comble !

La police est bien embarrassée par une série de morts suspectes : on craint la peste et on demande à Voltaire le pestiféré de tirer l'affaire au clair. Accompagné de son fidèle et encombrant secrétaire, l'abbé Linant, de sa chère marquise, il regagne la capitale où son chemin va croiser une anglais qui tente de le convaincre d'émigrer à Londres, le naturaliste Buffon et son frère, le janséniste Armand Arouet, contrôleur des épices…

Il y a avait bien longtemps (près de 18 mois) que je n'avais pas retrouvé mon enquêteur du siècle des Lumières favori : Voltaire ! Quel bonheur une fois encore de plonger dans un roman signé Frédéric Lenormand, qui écrit et décrit à merveille ma période historique préférée entre toutes avec sa plume enlevée, drôle et érudite et Docteur Voltaire et Mister Hyde ne déroge pas à la règle.

Impossible de s'ennuyer en compagnie de cet auteur et de son héros, le plus célèbre philosophe du XVIIIe siècle, François-Marie Arouet dit Voltaire, cette fois-ci aux prises avec la peste !

Quel bonheur disais-je donc de retrouver cette série dont j'ai déjà lus les cinq premiers opus : La baronne meurt à cinq heures, Meurtre dans le boudoir, le diable s'habille en Voltaire, Crimes et condiments et Elémentaire mon cher Voltaire ! tant elle me plait car elle est à la fois brillante et dôle. J'adore voir Voltaire, se débattant aux quatre coins de Paris, avec à ses trousses un anglais qui essaie par tous les moyens de le faire émigrer de force.

Elle me permet aussi de replonger dans la période historique que je préfère comme je vous le disais plus haut, le 18è siècle, de cheminer avec Voltaire, l'une des figures phares de cette époque, que Frédéric Lenormand nous montre comme un farfadet sautillant, croulant sous le ridicule. Vous le savez déjà si vous me lisez régulièrement, cette série est pour moi une récréation, un petit bonbon que je déguste à chaque fois de la première à la dernière ligne.

Dans ce sixième tome tout aussi drôle et bien écrit que les précédents, l'enquête policière n'est qu'un prétexte comme toujours, ici l'important est ailleurs. Nous voici à nouveau embarqués dans une réjouissante aventure du philosophe le plus pétulant de l'histoire de France, plein d'esprit et de férocité pour ses contemporains, enquêteur égocentrique, jamais à court d'idées, mais toujours là pour faire éclater la vérité.

Frédéric Lenormand s'attaque à la médecine de l'époque, son incompétence flagrante étant mise en valeur par le possible retour de la peste à Paris. Docteur Voltaire, muni de son carnet empli de remèdes contre toutes les maladies, est sur tous les fronts pour tenter de savoir si la peste est bien de retour dans les rues de la capitale ou si les morts suspectes qui s'enchaînent sont le fait d'un tueur au mobile crapuleux !

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Sixième épisode des enquêtes De Voltaire et, autant le dire tout de suite, pas le meilleur roman de la série pour moi. Après un prologue qui annonce pourtant une bonne intrigue policière avec un décès qui, n'ayant pour reprendre l'expression de la police « pas de sens », incite René Hérault à penser à « quelqu'un de spécialisé dans les questions qui n'ont pas de sens » pour traiter l'affaire, avec la perspective pour le policier d'une saison « froide, pénible, urticante... et voltairienne ».

On retrouve le philosophe dans son exil doré de Cirey, où il a entrepris de transformer la propriété des Du Châtelet, au point qu'Émilie peine à la reconnaître lorsqu'elle vient rejoindre son bon ami. Comme dans de précédents opus, l'écrivain est la victime d'attentats à l'encontre de sa précieuse personne, sauvé une première fois par Esmond Hyde, Baronet of Jek'Hill, puis par le botaniste Buffon. D'avis que, tant qu'à être tué autant que ce soit à Paris, Voltaire décide de rejoindre la capitale avec la marquise et l'abbé Linant.

S'ensuivent des péripéties que j'ai trouvées un peu confuses, dans lesquelles Voltaire, Émilie , et un nouveau venu en la personne d'Armand le fils aîné de la famille Arouet, tentent de démêler un imbroglio de meurtres avec des rumeurs de peste à la clé.

La ressemblance des deux frères – physique uniquement – permet à l'un de se faire passer pour l'autre et réciproquement, ce qui donne au récit le côté vaudevillesque assumé par l'auteur, à travers des situations cocasses au vu du peu d'estime que se portent les deux hommes.

Les répliques sont toujours savoureuses, les trouvailles humoristiques nombreuses, mais l'ensemble souffre à mon avis de la dispersion d'une intrigue peu compréhensible et de la multiplicité de personnages secondaires pas tous indispensables. le dénouement n'étant pas non plus transcendant, mon impression reste dons un peu mitigée par rapport au reste de la série.

Pour toutefois terminer sur une des bonnes idées dont l'auteur parsème ses récits, à Émilie qui s'étonne que Voltaire s'enferme pour prendre son bain de peur d'y être poignardé, celui-ci répond « Vous verrez qu'un jour cela arrivera à quelqu'un ».
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Citations et extraits (32) Voir plus Ajouter une citation
Ainsi donc les journalistes avaient reçu l'interdiction d'en parler. L'Etat mentait. La situation devait être catastrophique. (...)
S'il était admis qu'il y avait la peste, l'Etat se verrait contraint d'agir, avec tous les risques inhérents à l'action : se fatiguer, se tromper, répondre de ses bêtises. (...)
Le ministre préférait entretenir le mensonge plutôt que la vérité : personne n'apprécie de changer ses habitudes.
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Horreur! murmura le philosophe.
Le professeur se nommait Pierre - François Guyot Des fontaines, c'était un homme d'église de quarante -neuf ans que Voltaire avait défendu dans une méchante affaire de sodomie pour laquelle il risquait le bûcher, et qui se considérait depuis lors comme son ennemi, car il faisait partie de ceux que la reconnaissance étouffe.
-- Ce n'est pas un parfait inconnu, dit Linant.
--Non , dit Voltaire, c'est un imparfait connu.
Il prévint le jeune abbé:
--S' il pose les mains sur vous, flanquez -lui la vôtre dans la figure.
--Oh! Je n'oserai jamais!
--Dites - lui que c'est de ma part.
--Quelle abomination que la sodomie, dit Linant. Le seigneur ne nous a pas donné un derrière pour y enfoncer des choses!
--De gustibus non est disputandum, répondit l'écrivain, qui ne voyageait pas sans son clystere.
Linant voulut savoir ce qu'il lui reprochait exactement.
Je ne tiens pas son intelligence en très haute estime. La plupart des auteurs sont des huîtres sans perle.
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Alors qu ' il longeait un pré sur sa mule, un taureau rendu furieux par une aiguille piquée dans son derrière s' échappa de l 'enclos et fonça sur la grosse tâche de bégonias rouges . Voltaire éperonna sa monture, mais les souliers en soie, fort confortables pour emballer les orteils des écrivains, ne font au ventre des mules retives pas plus d'effet qu'une caresse , tout juste l'animal perçut - il un agréable picotement aux intestins.Il changea d 'humeur lorsqu'il vit fondre sur lui le monstre cornu et mûrissent : un galop parut tout à coup s' imposer.Cela ne fut pas une réussite non plus, car la selle sur laquelle était assise le muletier se renversa, au grand soulagement du quadrupède, qui put s' enfuir commodément loin du péril, débarrassé de sa cargaison glapissante.
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Bien, je vous l'accorde : je suis vaniteux et atteint d'un délire de persécution. Mais c'est normal, j'écris des livres ! On nous demande d'accepter l'adversité au nom d'une règle du jeu, sans quoi nous aurions mauvais caractère. Il n'y a pas de règle, ce n'est pas un jeu, et j'aurai meilleur caractère si le monde était mieux fait !
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...Alors, vous avez réfléchi à ma proposition ?
- J'y pense tous les matins en me rasant.
-Tiens, vous vous rasez vous même ?
-Oui, je côtoie trop de raseurs dans la journée.
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Vidéo de Frédéric Lenormand
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