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Francis Lacassin (Préfacier, etc.)
EAN : 9782253006107
190 pages
Le Livre de Poche (01/01/1973)
3.51/5   421 notes
Résumé :
L’Académie française est le théâtre de drames répétés. Un à un, les candidats à la succession de Mgr d’Abbeville s’écroulent, morts, en prononçant leur discours de réception. Les Immortels ne le sont plus ! Il en reste trente-neuf. Un refoulé de l’Académie aurait-il le pouvoir de jeter un mauvais sort ?
Monsieur le Secrétaire perpétuel, Hippolyte Patard, et Monsieur Gaspard Lalouette, marchand d’antiquités, mènent leur enquête en tremblant de peur… et en nou... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (56) Voir plus Ajouter une critique
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Que c'est bon de retrouver l'auteur de Rouletabille, sa logique et son humour.

La prose de Gaston Leroux est un régal, plein de jeux de mot très drôle.
Déjà la recherche des noms de familles des personnages est juste tordant (enfin pur certains) et bien sûr ces patronyme leurs vont comme un gant.

J'ai beaucoup aimé la façon de mener l'intrigue. Je n'y ai vu goutte et franchement pour mon plus grand plaisir. Les personnages sont recherchés et créent la sympathie

J'aime bien ces vieux bouquins qui ont une qualité étonnante et qui malgré le temps ne vieillissent pas si mal.
Je me pose la question de savoir si l'auteur n'avait pas une dent contre l'académie française, qui l'air de rien en prend pour son grade (pour mon plus grand plaisir encore une fois !) .


Un chouette roman , bien dépaysant
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Deuxième lecture de Gaston Leroux - après le Fantôme de l'Opéra - et toujours beaucoup de plaisir!
Le Fauteuil Hanté se présente plutôt comme une farce, un récit d'horreur mais qui, finalement, amuse beaucoup plus qu'il ne fait peur. Oui, à l'Académie française, en ce début de vingtième siècle où les rues de Paris sont encore éclairées par des becs de gaz, ou les nuits sont sombres et le silence coupé de cris terrifiants, trois élus au siège du défunt Mgr d'Abbeville meurent coup-sur-coup, foudroyés le jour même de leur discours d'Immortel.
Un certain M. Eliphas de Saint-Elme de Taillebourg de la Nox est bientôt soupçonné de les avoir assassiné, jaloux de ce fauteuil qu'on lui a refusé, d'une manière mystérieuse et d'autant plus terrifiante. Mais le plus grand malheur d'entre tous, c'est cette honte et le ridicule qui s'abat sur l'illustre Académie française et son quarantième fauteuil désespérément vide, car plus personne, maintenant, ne veut devenir Immortel.
M. Gaspard Lalouette, antiquaire de son état, suit tout cela de près, et va bientôt intervenir!

On suit avec plaisir les péripéties du secrétaire perpétuel Patard et celles de Lalouette, curieux de connaître la suite. La fin m'a un peu déçu, un petit peu, mais c'est une lecture rafraichissante!
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Gaston Leroux malmène l'Académie Française, pourrions-nous y voir une petite revanche ? Sans avoir chercher plus avant la réponse, j'ai dégusté ce roman bourré d'humour et aux allures de conte fantastique !

Un Immortel décédé, il s'agit de le remplacer et ses successeurs sont morts avant d'avoir pu s'asseoir dans son fauteuil ! le Secrétaire perpétuel est aux 400 coups et terrorisé bien évidemment !

Les portraits de tout ce joli petit monde sont truculents, tout autant que certains des noms de famille ! Je l'imagine tout à fait ricaner en écrivant. L'intrigue monte en puissance et le ridicule ne tuant pas, il y aura des survivants !!!

A savourer !

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Après ses succès de 1907 et 1908 avec les aventures de Joseph Rouletabille, Gaston Leroux se lance dans de nouveaux projets dès 1909 avec le Fauteuil Hanté.

Cette histoire de "malédiction sous la coupole De l'Académie Française" peut ainsi surprendre si on s'attendait à une refonte de Rouletabille. Une fois encore, Gaston Leroux tente de casser des codes : ici, il se moque franchement de ce monde si particulier des Immortels et c'est bien l'intérêt principal de ce roman. En effet, les meurtres s'accumulent parmi les élus à L Académie Française et l'auteur en profite pour décrire la crédulité de ces têtes pensantes de la France, l'opportunisme malin dont on peut faire preuve face à cette situation et l'univers grand-guignolesque De l'Académie Française en général. Il suffit de regarder le personnage d'Eliphas de Saint-Elme de Taillebourg de la Nox, dit EDSEDTDLN, pour cerner l'esprit de ce roman.

Un titre particulier pour Gaston Leroux donc, qui penche déjà un peu sur la fantastique avant de s'attaquer peu de temps après au Fantôme de l'Opéra...
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Par quelle malédiction ceux qui ont voulu succéder à Mgr d'Abbeville parmi les Immortels ont-ils tous péri mystérieusement alors qu'ils s'apprêtaient à prononcer leur discours d'investiture ?
Comment Gaspard L'Alouette, marchand de tableaux qui cache un secret incroyable, parvient-il à briguer, puis à obtenir un siège sous la coupole de l'Académie ?
Gaston Leroux nous emporte dans une histoire brève mais bien enlevée où on attend le dénouement qui, comme toujours, est très inattendu.
On trouve la réponse au détour du train de Vincennes..
Un roman très agréable à lire, même s'il ne surpasse pas le mystère de la chambre jaune ou le fantôme de l'Opéra.
Gaston Leroux donne à ses récits ce charme unique et ce rythme si agréables qu'on a envie d'en lire d'autres.
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Citations et extraits (27) Voir plus Ajouter une citation
- C'est un vilain moment à passer...
- Sans doute, mais on dit que c'est un homme qui n'a peur de rien!...
- A-t-il des enfants?
- Non!... Et il est veuf!
- Tant mieux!
- Et puis, il faut espérer tout de même qu'il n'en mourra pas!... Mais dépêchons-nous!...
En entendant ces propos funèbres, M. Gaspard Lalouette - honnête homme, marchand de tableaux et d'antiquités, établi depuis dix ans rue Lafitte, et qui se promenait ce jour-là quai Voltaire, examinant les devantures des marchands de vieilles gravures et de bric-à-brac - leva la tête...
Dans le même moment, il était légèrement bousculé sur l'étroit trottoir par un groupe de trois jeunes gens, coiffés du béret d'étudiant, qui venaient de déboucher de l'angle de la rue Bonaparte, et qui, toujours causant, ne prit point le temps de la moindre excuse.
M. Gaspard Lalouette, de peur de s'attirer une méchante querelle, garda pour lui la mauvaise humeur qu'il ressentait de cette incivilité, et pensa que les jeunes gens couraient assister à quelque duel dont ils redoutaient tout haut l'issue fatale.
Et il se reprit à considérer attentivement un coffret fleurdelisé qui avait la prétention de dater de Saint-Louis et d'avoir peut-être contenu le psautier de Madame Blanche de Castille. C'est alors que, derrière-lui, une voix dit :
- Quoi qu'on puisse penser, c'est un homme vraiment brave!
Et une autre répondit :
- On dit qu'il a fait trois fois le tour du monde!... Mais, en vérité, j'aime mieux être à ma place qu'à la sienne. Pourvu que nous n'arrivions pas en retard!
M. Lalouette se retourna. Deux vieillards passaient, se dirigeant vers l'Institut, en pressant le pas.
" Eh quoi! pensa M. Lalouette, les vieillards seraient-ils subitement devenus aussi fous que les jeunes gens? (M. Lalouette avait dans les quarante-cinq ans, environ, l'âge où l'on n'est ni jeune ni vieux...) En voici deux qui m'ont l'air de courir au même fâcheux rendez-vous que mes étudiants de tout à l'heure!"
L'esprit ainsi préoccupé, M. Gaspard Lalouette s'était rapproché du tournant de la rue Mazarine et peut-être se serait-il engagé dans cette voie tortueuse si quatre messieurs qu'à leur redingote, chapeau haut de forme, et serviette de maroquin sous le bras, on reconnaissait pour des professeurs, ne s'étaient trouvés tout à coup en face de lui, criant et gesticulant :
- Vous ne me ferez pas croire tout de même qu'il a fait son testament!
- S'il ne l'a pas fait, il a eu tort!
- On raconte qu'il a vu plus d'une fois la mort de près...
- Quand ses amis sont venus pour le dissuader de son dessein, il les a mis à la porte!
- Mais au dernier moment, il va peut-être se raviser?...
- Le prenez-vous pour un lâche?
- Tenez... le voilà... le voilà!
Et les quatre professeurs se prirent à courir, traversant la rue, le quai, et obliquant, sur leur droite, du côté du pont des Arts.
M. Gaspard Lalouette, sans hésiter, lâcha tous ses bric-à-brac. Il n'avait plus qu'une curiosité, celle de connaître l'homme qui allait risquer sa vie dans des conditions et pour des raisons qu'il ignorait encore, mais que le hasard lui avait fait entrevoir particulièrement héroïques.
(...)
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Le lendemain de ce jour néfaste, M. le secrétaire perpétuel Hippolyte Patard pénétra sous la voûte de l’Institut sur le coup d’une heure. Le concierge était sur le seuil de sa loge. Il tendit son courrier à M. le secrétaire perpétuel et lui dit :
« Vous voilà bien en avance aujourd’hui, monsieur le secrétaire perpétuel, personne n’est encore arrivé. »
M. Hippolyte Patard prit son courrier, qui était assez volumineux, des mains du concierge, et se disposa à continuerson chemin, sans dire un mot au digne homme. Celui-ci s’en étonna.
«M. le secrétaire perpétuel a l’air préoccupé. Du reste, tout le monde est bouleversé ici, après une pareille histoire ! »
Mais M. Hippolyte Patard ne se détourna même pas. Le concierge eut le tort d’ajouter :
« Est-ce que M. le secrétaire perpétuel a lu ce matin l’article de L’Époque sur le Fauteuil hanté ? »
M. Hippolyte Patard avait cette particularité d’être tantôt un petit vieillard frais et rose, aimable et souriant, accueillant, bienveillant, charmant, que tout le monde à l’Académie appelait « mon bon ami » excepté les domestiques bien entendu, bien qu’il fût plein de prévenance pour eux, leur demandant alors des nouvelles de leur santé; et tantôt, M. Hippolyte Patard était un petit vieillard tout sec, jaune comme un citron, nerveux, fâcheux, bilieux. Ses meilleurs amis appelaient alors M. Hippolyte Patard : « M. le secrétaire perpétuel », gros comme le bras, et les domestiques n’en menaient pas large. M. Hippolyte Patard aimait tant l’Académie qu’il s’était mis ainsi en deux pour la servir, l’aimer et la défendre. Les jours fastes, qui étaient ceux des grands triomphes académiques, il les marquait du Patard rose, et les jours néfastes qui étaient ceux où quelque affreux plumitif avait osé manquer de respect à la divine institution, il les marquait du Patard citron.
Le concierge, évidemment, n’avait pas remarqué, ce jour-là, à quelle couleur de Patard il avait affaire, car il se fût évité la réplique cinglante de M. le secrétaire perpétuel. En entendant parler du Fauteuil hanté, M. Patard s’était retourné d’un bloc.
« Mêlez-vous de ce qui vous regarde, fit-il ; je ne sais pas s’il y a un fauteuil hanté ! Mais je sais qu’il y a une loge ici qui ne désemplit pas de journalistes ! A bon entendeur, salut ! »
Et il fit demi-tour, laissant le concierge foudroyé.
Si M. le secrétaire perpétuel avait lu l’article sur le Fauteuil hanté ! Mais il ne lisait plus que cet article-là dans les journaux, depuis des semaines ! Et après la mort foudroyante de Maxime d’Aulnay, suivant de si près à la mort non moins foudroyante de Jehan Mortimar, il n’était pas probable, avant longtemps, qu’on se désintéressât dans la presse d’un sujet aussi passionnant !
Et cependant, quel était l’esprit sensé (M.Hippolyte Patard s’arrêta pour se le demander encore)...quel était l’esprit sensé qui eût osé voir, dans ces deux décès, autre chose qu’une infiniment regrettable coïncidence ? Jehan Mortimar était mort d’une congestion cérébrale, cela était bien naturel. Et Maxime d’Aulnay, impressionné par la fin tragique de son prédécesseur, et aussi par la solennité de la cérémonie, et enfin par les fâcheux pronostics dont quelques méchants garnements de lettres avaient accompagné son élection, était mort de la rupture d’un anévrisme. Et cela n’était pas moins naturel. […]
« Qu’ya-t-il donc de plus naturel, se fit-il à lui-même, que la rupture d’un anévrisme ? C’est une chose qui peut arriver à tout le monde que de mourir de la rupture d’un anévrisme, même en lisant un discours à l’Académie française !... »
Il ajouta :
« Il suffit pour cela d’être académicien ! »
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Mais entendons-nous bien : quand nous disons que ces morts ne sont point naturelles, nous ne voulons point faire allusion à quelque puissance occulte qui, en dehors des lois naturelles connues, aurait frappé ! Nous laissons ces balivernes aux petites dames du club des « Pneumatiques », et nous venons catégoriquement dire à M. le procureur de la République : « Il y a un assassin là-dessous, trouvez-le ! »
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L'esprit ainsi préoccupé, M. Gaspard Lalouette s'était rapproché du tournant de la rue Mazarine et peut-être se serait-il engagé dans cette voie tortueuse si quatre messieurs qu'à leur redingote, chapeau haut de forme, et serviette de maroquin sous le bras, on reconnaissait pour des professeurs, ne s'étaient trouvés tout à coup en face de lui, criant et gesticulant :
—Vous ne me ferez pas croire tout de même qu'il a fait son testament !
—S'il ne l'a pas fait, il a eu tort !
—On raconte qu'il a vu plus d'une fois la mort de près...
—Quand ses amis sont venus pour le dissuader de son dessein, il les a mis à la porte !
—Mais au dernier moment, il va peut-être se raviser ?...
—Le prenez-vous pour un lâche ?
—Tenez... le voilà... le voilà !
Et les quatre professeurs se prirent à courir, traversant la rue, le quai, et obliquant, sur leur droite, du côté du pont des Arts.
M. Gaspard Lalouette, sans hésiter, lâcha tous ses bric-à-brac.

Il n'avait plus qu'une curiosité, celle de connaître l'homme qui allait risquer sa vie dans des conditions et pour des raisons qu'il ignorait encore, mais que le hasard lui avait fait entrevoir particulièrement héroïques.
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La Babette hurla : « On l’assassine !... Au secours !... » Et elle bondit vers l’âtre, y saisit un tisonnier et se rua hors de la cuisine, traversant la voûte, escaladant les degrés qui conduisaient au premier étage. M. Hippolyte Patard avait murmuré : « Mon Dieu !... » Et il était resté là, brisé par l’horreur de la situation, cependant que dans la rue la ritournelle maudite, l’air banal, historique et terrible prolongeait tranquillement son rythme complice de quelque nouveau forfait… musique du diable qui avait toujours empêché d’entendre les cris de ceux que l’on égorge… et qui arrivait maintenant toute seule, couvrant tout autre bruit, jusqu’aux oreilles bourdonnantes de M. Hippolyte Patard… jusqu’à son cœur glacé. Il put croire qu’il allait s’évanouir.
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Vidéo de Gaston Leroux
Gaston Leroux : Le Fantôme de l’Opéra (1964 / France Culture). Diffusion sur France Culture le 3 octobre 1964. “Le Fantôme de l'Opéra” est un film radiophonique de Jean-François Hauduroy adapté, en 1964, du roman éponyme de Gaston Leroux écrit en 1910. Ce fantôme, qui hante les sous-sols de l'Opéra Garnier, n'en est pas vraiment un. Il nous effraie et nous terrifie car c'est un personnage de chair et de sang. Erik, le “fantôme” de l’Opéra, personnage tout à fait extraordinaire, dont le rôle est tenu ici par un acteur non moins extraordinaire, Alain Cuny, avec également Danièle Ajoret, René Farabet et Jean-Roger Caussimon dans le rôle du Persan.
Résumé :
Des événements étranges ont lieu à l'Opéra : le grand lustre s'effondre pendant une représentation, un machiniste est retrouvé pendu. La direction doit se rendre à l'évidence : un fantôme ou un homme machiavélique nommé Erik hante le théâtre. Certains affirment avoir vu le visage déformé de cet être qui ne semblerait pas être humain. Peu après, les directeurs de l'Opéra se voient réclamer 20 000 francs par mois de la part d'un certain « Fantôme de l'Opéra » qui exige aussi que la loge numéro 5 lui soit réservée. Au même moment, une jeune chanteuse orpheline nommée Christine Daaé, recueillie par la femme de son professeur de chant, est appelée à remplacer une diva malade, la Carlotta. Elle incarne une Marguerite éblouissante dans “Faust” de Gounod. Or, elle est effrayée. Au vicomte Raoul de Chagny, qui est secrètement amoureux d'elle, elle confesse une incroyable histoire. La nuit, une voix mélodieuse l'appelle : elle entend son nom et cela lui suffit pour inspirer son chant. En outre, l'ange de la musique visite fréquemment sa loge. Elle affirme avoir entrevu l'être qui l'accompagne dans son art. Mais Raoul et Christine ne tardent pas à découvrir que cette voix est celle du fameux fantôme nommé Erik, un être au visage hideux. Ancien prestidigitateur, il s'est réfugié dans son royaume souterrain, sous l'Opéra, pour y composer une œuvre lyrique. Passionnément épris de la jeune Christine, il l'enlève et l'emprisonne dans son repaire des sombres profondeurs. Raoul de Chagny, aidé d'un mystérieux Persan, se lance à la recherche de la jeune femme. Il doit alors affronter une série de pièges diaboliques conçus par le fantôme, grand maître des illusions. Mais la persévérance du jeune Raoul et le courage de Christine, prête à sacrifier sa vie pour sauver le jeune homme, dont elle aussi est éprise, poussent Erik, le fantôme de l'Opéra, au repentir.
Interprétation : Danièle Ajoret (de la Comédie Française, Christine Daaé), Alain Cuny (Erik), René Farabet (Georges / Raoul de Chagny), Jean-Roger Caussimon (Le Persan), Christian Lude (Firmin Richard, le nouveau directeur), Hubert Deschamps (Armand Monchardin, le nouveau directeur), Jeanne Frédérique (Madame Giry).
Avec le concours de René-Jacques Chauffard, Raymond Pélissier, Raymond Jourdan, Micheline Bona, Dominique Jayr, Pierre Decazes et René Renot.
Bruitages : Robert Maufras Réalisation : Claude Roland-Manuel
Sources : France Culture et Wikipédia
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