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EAN : 9782253122876
443 pages
Le Livre de Poche (05/11/2008)
2.65/5   84 notes
Résumé :
Edward Wozny, un jeune banquier new-yorkais, ne s'attendait pas à cela! Il est enfin sur le point de prendre des vacances bien méritées quand son patron exige de lui une dernière mission: aider un des clients les plus importants de la banque à retrouver un vieux manuscrit datant du XIVè siècle dont on n'est même pas sûr de l'existence mais qui serait d'une très grande valeur. Il est aidé par une étudiante revêche et érudite, Margaret Napier.
C'est bien la p... >Voir plus
Que lire après Codex, le manuscrit oubliéVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (16) Voir plus Ajouter une critique
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Edward Wozny est un jeune banquier new-yorkais à qui tout réussit.
Il est sur le point de prendre quelques vacances avant d'intégrer un poste plus élevé dans une société bancaire anglaise. Cependant, durant ces quelques jours, son patron lui demande de céder à la dernière exigence d'un client dont Edward s'est brillamment occupé. Il va donc se retrouver à faire l'inventaire, le classement et le rangement de la bibliothèque de ce client, laissée à l'abandon.
N'ayant guère le choix, le jeune homme se met à l'ouvrage. Et reçoit pour consigne supplémentaire de chercher un manuscrit du XIVème siècle qui aurait une immense valeur.

L'intrigue se résume à peu de choses.
Le roman également.
En arrivant à la fin du livre, j'ai eu l'impression d'avoir été eu. D'avoir joué le dindon de la farce. C'est bien la première fois que ça m'arrive.

L'histoire commence pourtant bien, un jeune cadre promis à de grandes choses qui prend quelques jours de congés avant de s'envoler pour l'Angleterre... Sa découverte d'activités "ludiques", terme qu'apparemment il ne connaît pas, beuveries, sorties. Bref, la détente. Et ensuite, la tuile.
Cette dernière mission qui tombe du ciel et pour laquelle, au final, il se passionne. Bien.
J'ai aimé l'idée de départ.
Les données que livre l'auteur au compte-goutte sur les ouvrages, les quelques références à des textes complètement inconnus ou oubliés et toute l'érudition dont fait preuve Margaret Napier, la jeune étudiante qui rejoint Edward dans sa quête, sont autant de choses en plus qui viennent se poser comme des cheveux sur la soupe. Mal amenées, parfois injustifiées. En fait, du moment que Margaret intervient dans l'histoire, j'ai eu la furieuse impression que l'auteur jouait le nombre de pages. Qu'il en rajoutait le plus possible pour gonfler le roman.

Les personnages sont très inégaux.
Edward se pose en personnage principal, plus ou moins anti-héros puisqu'il entre dans un milieu (les bibliothèques) pour lequel il n'a jamais eu d'affinités. A se demander même si il a déjà lu un roman en entier ne serait-ce qu'une fois. On insiste beaucoup sur sa jeunesse et son sex-appeal, mais au final on a du mal à le cerner, à l'imaginer.
Margaret pose le problème presque inverse. Elle est trop... Trop cultivée, trop "dernière mise à jour du dictionnaire encyclopédique", ayant réponse à tout alors qu'elle est elle-même étudiante, jeune. Au final je me la suis imaginée comme une vieille fille de 45 ans, aigrie, tailleur strict et chignon, alors que ce n'est pas du tout la description qu'en fait l'auteur. Encore une fois, le personnage ne colle pas.
En revanche, j'ai beaucoup aimé l'Artiste, petit homme un peu autiste sur les bords, génie de l'informatique. Il reste mystérieux et hors d'atteinte.

L'écriture est lisse, beaucoup de lieux communs, peu de surprises.
Le fil se déroule uniquement en avant. Pas de flashbacks, pas d'approfondissement des personnages ni d'intrigue secondaire. du début à la fin tout est fait autour de ce seul manuscrit qui est le noeud du mystère. Si bien que ça se lit vite, et c'est peut-être pas plus mal... Parce que même avec la meilleure volonté du monde, cette histoire prémâchée en devient ennuyante.

Les incursions dans le jeu vidéo sont également assez mal rendues. Chargées de description faites avec un vocabulaire très riche, alors que voyant par les yeux d'Edward nous ne devrions pas avoir ce pointillisme. du coup, tout l'édifice se casse la figure. On n'y croit plus une seule seconde. D'autres romans ont surfé sur l'analogie réalité / jeux vidéo et s'en sont beaucoup mieux tiré. J'ai une pensée particulière pour Marie-Aude Murail et son Golem. Durant les descriptions du jeu, les images m'ayant traversé l'esprit sont des fragments de films dont les scènes paraissent avoir été tiré. Entre L'armée des douze singes pour la vision de New-York dévastée et envahie par la végétation, La Machine à remonter le temps pour l'aspect accélération du temps et Mad Max avec le héros en guide d'un peuple en guenille dans un univers post-apocalyptique... Côté littérature, il y a quelque volonté d'approcher le Nom de la Rose d'Umberto Eco, mais ça reste une volonté, car l'auteur en est très loin... J'ai également été tenté de voir un clin d'oeil à Nyourk de Stefen Wul, mais rien n'est moins sûr.

Attention ! Spoiler !!!

Enfin, sans vouloir gâcher la surprise de ceux qui ne l'ont pas lu, je dis, maintiens et affirme que la fin est inexistante.
J'ai relu une dizaine de fois les trente dernières pages, essayant de comprendre ce que j'avais raté, au cas où j'aurais raté quelques chose. Mais il a bien fallu que je me rende à l'évidence : la fin est incompréhensible sans un minimum d'extrapolation de la part du lecteur. A croire qu'il manque des pages dans mon volume, mais non, après avoir vérifié les numéros, elles sont bien toutes là.
A n'y rien comprendre, je vous dis !

A aucun moment il n'est dit où le manuscrit à été échangé. Comment il s'est retrouvé en possession de Margaret alors qu'Edward l'avait récupéré chez elle (ça c'est marqué noir sur blanc) et l'a même feuilleté. Donc nous sommes certain qu'il l'a bien embarqué avec lui. Pourtant, lorsqu'il arrive devant la baronne, elle lui passe un savon et lui sait qu'il a perdu le manuscrit. Où ???
A l'aéroport, il s'assoit sur un banc et pose le sac du manuscrit sur ses genoux. C'est encore une fois bien précisé...

Et ça se termine là. Point. La baronne se tire, et lui reste planté comme un con à se dire que le lendemain il doit aller bosser et reprendre une vie normale. Pas d'épilogue, rien sur Margaret, le Baron... Bref, il manque au moins cinquante page pour avoir une fin qui y ressemblerait. D'où le sentiment final de s'être fait arnaqué. Sachant que l'impression générale qui reste est celle de la fin, c'est plutôt gênant.

Ce roman m'a été envoyé dans le cadre de l'opération Masse Critique faite par Babélio avec le concours de certains éditeurs. Je remercie donc Babélio (où cette critique apparaît également) et les éditions du Livre de Poche pour m'avoir permis de découvrir ce roman. Malheureusement, je ne le recommanderai pas. Mais au moins je suis fixé. Depuis sa sortie je le lorgnais chez mon libraire. Maintenant, je l'ai lu. Je sais.
Lien : http://coeurdechene.unblog.f..
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Edward, jeune cadre talentueux d'une banque américaine, prend ses premières vacances depuis plus de trois ans. Il sait que dans 15 jours il rejoindra - et c'est une promotion ! - une banque londonienne prestigieuse. Cependant le patron de sa banque l'envoie mener à bien une dernière tâche avant son départ, à savoir se mettre au service d'une duchesse richissime. Lorsqu'il se rend chez elle, on lui confie bien étrangement... quelques caisses de très vieux livres à cataloguer avec pour mission particulière de retrouver un manuscrit médiéval, dont un certain Gervase serait l'auteur. Parallèlement, il met à profit son temps libre pour rendre visite à un couple d'amis informaticiens, qui lui donne un jeu vidéo à tester, MOMUS. Alors, petit à petit, tout s'enchevêtre, quête du manuscrit et progression dans le jeu.

Le lecteur a certes envie d'arriver à la résolution de cette double énigme. Il faut dire que l'auteur ne ménage pas ses efforts pour semer des fausses pistes et aussi innonder le lecteur de langage de spécialité tant dans l'univers des bibliothécaires que dans celui des techniciens informatiques. Et vous verrez que du stenogramme à l'oeuf de Pâques, il n'y a qu'un pas. A mon avis, la profusion de ces détails, loin d'allècher le lecteur, allourdit l'ensemble. Il y en a trop !

L'intrigue est, il est vrai, intéressante ; on est toujours sur le fil du rasoir, à balancer entre réel et virtuel. Mais, tout de même, les descriptions prolixes de la progression du joueur dans un univers de plus en plus glauque et dévasté sont pesantes.

Certains se réjouiront de découvrir un style d'écriture très accessible, mais, là, on frise le roman de gare. On dirait que l'auteur ne maîtrise qu'une seule et unique figure de style, la comparaison. Que dire, en outre, de détails sordides ou savoureux - c'est affaire de point de vue- comme celui des jambes mal rasées de Margaret, un des personnages qui aide Edward dans sa quête ? On cumule les mises en abîmes, les récits dans le récit ; on a certes un récit encadrant, celui du parcours d'Edward dans une sphère bien réelle entre New-York et Londres, mais l'auteur a décidé d'y mêler celui du jeu vidéo et celui du manuscrit. Qu'on ne s'inquiète pas pour moi, j'ai bien compris le tout, mais pourquoi bousculer autant le cours du récit ? Surtout pour produire une telle fin, une sorte de bombe énorme qui fait bêtement "Pschittt !" ?

Pour être honnête, l'intrigue étant bien construite, j'ai tenu à arriver au bout de l'histoire. J'ai donc eu ma dose de suspense, de rebondissements, d'énigmes et de coups de théâtre, mais cela ne suffit pas à me faire regretter de devoir fermer ce livre et quitter son histoire et ses personnages. Il y manque vraiment quelque chose !
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Edward Wozny est un jeune banquier New-yorkais à qui tout réussit. Avant de partir pour occuper son nouveau poste a Londres, il est sur le point de s'octroyer des vacances bien méritées quand son patron lui demande un service:aider l'un des clients les plus importants de la banque a ranger et trier sa bibliothèque laissée a l'abandon. On lui demande surtout de retrouver un manuscrit du XIV ème siècle dont l'existence n'est pas prouvée. Pour cela il va trouver de l'aide auprès d 'une étudiante revêche mais experte en la matière: Margaret Napier. Dans le même temps, il se prend de passion pour un jeu vidéo et découvre, stupéfait, des similitudes étranges entre ce jeu et la légende du manuscrit disparu.

Voila un pitch qui donne envie de lire, mais malheureusement ce qui est a l'intérieur du livre n'est pas à la hauteur. C'est vraiment un livre calibré pour un très large public mais qui est sans surprise. Ca se lit très facilement mais c'est oublié tout aussi facilement. Les personnages n'ont aucune épaisseur et le coté jeu vidéo rempli les pages mais pas l'intérêt du livre.Quand a la fin , elle est particulièrement baclée et laisse beaucoup de zone d'ombre quant a la résolution de l'"énigme". C'est un roman fourre-tout qui finit par ennuyer.

Plaisir de lecture très limité donc une note de 3.5/10.
Lien : http://desgoutsetdeslivres.o..
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Peut-être vaudrait-il mieux que je n'évoque pas ce livre tellement j'ai été déçue ?
Je l'ai moi-même choisi, parmi d'autres, dans le cadre de l'opération "Masse critique" et venant de terminer "Un monde sans fin" de Ken Follett, je me suis allègrement plongée dans la lecture de ce "Codex, le manuscrit oublié" de Lev Grossman. Il aurait mieux valu qu'il reste oublié finalement...

Je suis pourtant souvent facilement conquise par un roman que j'ai choisi via les renseignements que j'ai pu glaner à droite et à gauche. Dans ce cas, si je n'avais pas été tenue d'écrire une critique à son sujet, je n'en aurais pas continué la lecture ; je ne vois pas pourquoi je devrais me forcer à lire quelque chose que je n'apprécie visiblement pas alors que tellement de récits m'attendent...

Bref, quelques mots sur l'histoire : Edward est un jeune banquier new-yorkais qui bénéficie de quelques jours de vacances avant de s'envoler pour l'Angleterre ; il vient en effet d'être promu et s'apprête à découvrir son nouveau travail. Il est alors contacté afin d'effectuer un travail un peu particulier : mettre de l'ordre dans la bibliothèque des Went. Par curiosité, il se rend chez la duchesse, bien décidé à ne pas accepter cette tâche mais il se laisse prendre au jeu et cela, d'autant que la dame lui demande de retrouver un manuscrit de grande valeur, perdu au milieu de ces innombrables oeuvres. Parallèlement, Edward est initié à un jeu vidéo aussi exceptionnel qu'étrange qui n'est pas sans rappeler le fameux manuscrit.

Ma profonde déception vient principalement du fait que je reste sur ma faim ; toutes les questions posées ne trouvent pas réponse. Pendant les 3/4 de la lecture, je me suis demandé où l'on voulait en venir et la fin m'a laissée abasourdie. Tout ça pour ça ?
Quant aux personnages, ils sont, je dirais, esquissés mais n'ont pas de réelle profondeur... Un livre que je ne recommande donc nullement...
Lien : http://paikanne.skynetblogs.be
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Grosse déception pour ce livre que je croyais dévorer avec jubilation. Partir à la recherche d'un trésor livresque du XIVe siècle à la façon d'un Robert Langton me promettait une belle évasion dans le temps et dans l'espace. Mais, hélas, Lex Grossman n'est pas Dan Brown et le pathétique banquier new-yorkais Edward Wozny n'a vraiment rien du professeur érudit en manuscrits anciens et en cryptographie.
Clairement, le personnage principal du livre et moi-même nous demandions ce que nous étions venus faire dans cette galère ! Car, galère il y a, quand il s'agit de perdre littéralement son temps dans les méandres d'un jeu vidéo Momus dont on ne sait pas très bien au départ ce qu'il vient faire là, puis dont on s'aperçoit par la suite qu'il est censé aider le personnage à comprendre sa quête et à le guider vers le livre en question... sauf que, faute de décodeur, on y comprend rien !
Bref, heureusement, qu'il y a un personnage féminin Margaret qui relève le niveau et nous instruit, au moins, sur la littérature médiévale anglaise et sur les multiples façons de construire l'objet livre à cette époque, de le restaurer, de le cataloguer, voire de le rechercher...
Malheureusement, ce sera pour moi insuffisant pour me convaincre qu'il s'agit là du "best seller international" vendu en préambule à la lecture...
Je ne dévoilerai pas si le banquier new-yorkais trouvera son Saint Graal, mais quand je vous aurai dit que la fin est aussi BOF-BOF que le reste, vous comprendrez qu'il vaut mieux passer son chemin... sauf si, bien sûr, vous êtes un super accro aux jeux vidéos en ligne !
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Citations et extraits (6) Voir plus Ajouter une citation
Sur le point de quitter la pièce, il s'approcha de nouveau de la caisse. Quelques grands et gros volumes étaient restés au fond, enfouis dans la paille tels des os de dinosaure à moitié enterrés. Il se pencha pour en prendre un. Celui-là était plus lourd qu'il ne s'y attendait. Il dut s'appuyer de tout son corps au bord de la caisse et se servir de ses deux mains pour le sortir. Après avoir dégagé une place sur la table, il le fit choir lourdement, ce qui souleva une fine poussière. Une fois qu'il l'eut déballé, il trouva, au lieu d'un livre, un coffre en bois fermé sur un côté, par une simple attache de sûreté. Quand il en défit le mécanisme, le couvercle pourvu de fines charnières métalliques s'ouvrir tout seul.
A l'intérieur il vit un objet épais d'environ trente centimètres sur soixante sur lequel était tendue une peau en cuir, noircie par le temps. Des impressions en relief et des saillies filigranées foisonnaient sur la couveture garnie d'illustrations compliquées : ornements, motifs abstraits, panneaux où figuraient des persqonnages dans diverses positions. Au milieu, se dressait un arbre aux proportions bizarres, petit et massif, couronné à son sommet par un faisceau de branches minuscules. Edward passa dessus le bout de ses doigts. Une entaille profonde creusant le cuir révélait une planche sous-jacente. Le bois s'était fendu, mais l'usure l'avait de nouveau rendu lisse. Il y avait très longtemps, cette planche avait dû recevoir un coup violent. A certains endroits, les ornements étaient si serrés et si sombres qu'on n'en distinguait pas le dessin. Cela ressemblait davantage à une porte q'à la couverture de ce qui était sans doute un livre...
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“Je vais être franche avec vous. Je n'aime pas cette ville, je n'aime pas ce fichu pays et je n'éprouve pas pour vous de sympathie particulière. Cependant, si vous réussissez à retrouver le Gervase, il se peut que la duchesse décide de me faire regagner l'Angleterre et rien, absolument rien au monde, ne pourrait me rendre plus heureuse. S'agissant de cette affaire, je vous aiderai de mon mieux. Pour le reste, je décline toute responsabilité à l'égard de ce que vous entreprendrez. Est-ce clair ? “
Les joues un peu rouge, elle regarda Edward. il réfléchit à un certain nombre de réponses brusques et sarcastiques possibles, avant de répondre.
” Oui, c'est clair. Merci de votre franchise. “
Ce ne fut que quelques minutes plus tard, alors qu'il descendait en ascenseur, qu'il eut conscience de sa décision, prise au cours de l'après-midi : ce serait lui, et lui seul, qui reconstituerait la bibliothèque des Went.
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savez-vous qui était Momus? C'était un Dieu grec, d'une génération antérieure à celle de Zeus et de ses enfants. Sa mère s'appelait Nyx, ce qui veut dire Nuit. Son père, Erèbe, personnifiait les ténèbres infernales.
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Il savait que des problèmes se poseraient. Il ne se faisait aucune illusion à ce sujet. Mais ce seraient des problèmes nouveaux, plus intéressants que ceux qu'il connaissait à présent.
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Son petit corps parut perdre toute son énergie- Il faisait songer à un poupée animée par un magicien dont l'enchantement venait de cesser - un Pinocchio à l'envers.
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Vita nostra brevis est, brevi finietur…
Notre vie est brève, elle finira bientôt…
C'est dans le bourg paumé de Torpa que Sacha entonnera l'hymne des étudiants, à l'« Institut des technologies spéciales ». Pour y apprendre quoi? Allez savoir. Dans quel but et en vue de quelle carrière? Mystère encore. Il faut dire que son inscription ne relève pas exactement d'un choix : on la lui a imposée… Comment s'étonner dès lors de l'apparente absurdité de l'enseignement, de l'arbitraire despotisme des professeurs et de l'inquiétante bizarrerie des étudiants?
A-t-on affaire, avec Vita nostra, à un roman d'initiation à la magie? Oui et non. On évoque irrésistiblement la saga d'Harry Potter et plus encore Les Magiciens de Lev Grossman. Mêmes jeunes esprits en formation, même apprentissage semé d'obstacles. Mais c'est sur une autre terre et dans une autre culture, slaves celles-là, que reposent les fondations d'un livre qui nous rappellera que le Verbe se veut à l'origine du monde. Les lecteurs de fantasy occidentale saturés d'aspirations à l'héroïsme tous azimuts en seront tourneboulés.

Plus d'informations : https://www.l-atalante.com/catalogue/la-dentelle-du-cygne/vita-nostra-9791036000195/
Commander sur le site de la librairie L'Atalante : https://librairielatalante.com/a/collectif/vita-nostra
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