Le mal se change en bien
Aussitôt qu'Aslan revient,
Au bruit de son rugissement
Disparaissent tous les tourments,
Quand il montre ses dents,
L'hiver meurt sur-le-champ,
Et dès qu'il secoue sa crinière,
Le printemps renaît sur la terre.
Le jour où la chair d'Adam, où les os d'Adam
Siégeront sur le trône de Cair Paravel,
Le temps des malheurs cessera complètement.
Quand je me suis penchée sur cette poussière en songeant que chacune de ses particules avait appartenu à un autre monde, pas à une autre planète tu comprends, car les planètes font partie de notree monde et il suffirait de voyager assez loin pour les atteindre, non, vraiment un monde autre, une nature autre, un univers autre, un lieu que personne ne pourrait jamais atteindre, même en voyageant à travers l'espace pendant une durée indéfinie, un monde auquel seul la magie permettrait d'accéder... ah...
- Je suis la faim. Je suis la soif. Quand je mords, je ne lâche jamais prise, et, si je suis mort, on doit prendre une épée pour me séparer du corps de mon ennemi, et m' enterrer avec ma bouche pleine de sa chair. Je peux jeûner cent ans et ne pas mourir. Je peux rester cent nuits étendu sur la glace, et ne pas geler. Je peut boire une rivière de sang, et ne pas éclater. Montrer-moi vos ennemis !
Oh, Adam's sons, how cleverly you defend yourselves against all that might do you good !
S'il vous plaît, Aslan, qu'appelez-vous bientôt?
Pour moi chaque heure s'appelle bientôt, répondit-il.
Le regard des deux enfants était fixé sur le visage du Lion pendant qu'il parlait. Et tout à coup (ils ne surent jamais vraiment comment c'était arrivé) ce visage sembla être une mer d'or liquide dans laquelle ils flottaient, et une telle douceur et une telle force les entouraient, les enveloppaient et les emplissaient qu'ils eurent la sensation qu'ils n'avaient jamais vraiment été heureux, ou sages, ou bons, ou même vivants et éveillés jusque là. Et le souvenir de ce moment resta toujours en eux, si bien que toute leur vie, aussi longtemps qu'ils vécurent, quand par hasard ils se sentaient tristes, effrayés ou en colère, la pensée de toute cette bonté d'or et la sensation qu'elle était encore là, toute proche, juste derrière un coin ou derrière une porte, revenait et leur donnait la certitude, tout au fond d'eux, que tout était bien.
(TRADUIT DE:) Both the children were looking up into the Lion's face as he spoke these words. And all at once (they never knew exactly how it happened) the face seemed to be a sea of tossing gold in which they were floating, and such a sweetness and power rolled about them and over them and entered into them that they felt they had never really been happy or wise or good, or even alive and awake, before. And the memory of that moment stayed with them always, so that as long as they both lived, if ever they were sad or afraid or angry, the thought of all that golden goodness, and the feeling that it was still there, quite close, just round some corner or just behind some door, would come back and make them sure, deep down Inside, that all was well.
Incipit :
This is a story about something that happened long ago when your grandfather was a child. It is a very important story because it shows how all the comings and goings between our own world and the land the Narnia first began.
-Très bien,dit l'éléphante. Si c'est un arbre, il a besoin d'être planté. Il faut creuser un trou.
En deux temps, trois mouvements, les deux taupes avaient fait le nécessaire.
Il y eut encore quelques remous quand il s'agit de savoir dans quel sens il fallait le plante, et l'oncle Andrew échappa de justesse à la position la tête la première. Plusieurs animaux pensaient que ses jambes étaient des branches, par conséquent cette chose grise et ébouriffée (la tête) devait être les racines. D'autres soutenaient que les racines étaient cette partie en forme de fourche, plus terreuse et plus allongée. Finalement, il fut planté dans le bon sens, et quand ils eurent bien tassé la terre, il en avait jusqu'aux genoux.
Il ne faut jamais s’enfermer dans une armoire.
Quand Aslan montre ses crocs l'hiver meurt aussitôt. Lorsqu'il secoue sa belle crinière le printemps réchauffe la Terre!