Dans "Les bosquets noirs", Piet Lincken tente d’approcher la condition humaine dans ce qu’elle a de plus incarnée , ces bosquets au fond desquels s’anime le chaos enfoui, originel, de l’Homme. L’écrivain belge, d’origine franco-suédoise, a déjà initié cette investigation, en particulier dans "J’ai cru voir un dieu" publié chez le même éditeur en 2010.
Ici, la cosmogonie se met en place, avec tout son bouillonnement brut (dans le sens où l’on parle d’art bru...
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