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EAN : 9782298078824
368 pages
France loisirs (01/01/2014)
3.93/5   34 notes
Résumé :
Marie se réveille un matin dans son lit, à côté de son petit ami Patrick… sauvagement assassiné de plusieurs coups de couteau. La jeune femme n'a aucun souvenir du crime, mais comment nier l'évidence ?
Avec l'aide de son thérapeute, Marie tente de reconstituer son histoire. Au fil de son récit, la vérité se dessine… terrifiante !
Folie ou manipulation ? Les apparences sont parfois trompeuses…
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Critiques, Analyses et Avis (14) Voir plus Ajouter une critique
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D'un côté, le titre : « Coupable » ; de l'autre le thème : les pensées obsessionnelles. Ça commence plutôt bien pour un thriller psychologique ! Je dis bien psychologique : on joue donc ici, avec la manipulation mentale; donc pendant les ¾ du livre (après la découverte du corps de Patrick et de la description du crime avec force détails), pas de coups d'éclat extraordinaires, pas d'actions débridées et haletantes, non, juste un récit pour comprendre comment on en arrive à entretenir des obsessions qui vous empêche de vivre normalement, de « vivre » tout simplement.

De fait, on démarre dans le vif du sujet avec une Marie, internée en HP car elle a tué Patrick, son petit ami, un écrivain célèbre en l'égorgeant pendant son sommeil puis en le poignardant à 27 reprises. Mais le gros « hic », c'est que Marie ne se souvient de rien. Elle est victime de ses pensées obsessionnelles agressives, elle le sait (elle s'imagine tuant, frappant, défigurant les gens qu'elle croise, connus et inconnus et surtout les gens qu'elle aime), mais ne pensait jamais passer à l'acte un jour, surtout en prenant pour cible celui qu'elle aimait le plus. Pourtant les preuves sont là : le poignard retrouvé dans sa propre main, les empreintes partout et le fait qu'elle était seule à la maison avec lui. Il n'y a donc pas l'ombre d'un doute : elle est bien « coupable ».

Pendant qu'elle entame une thérapie avec le docteur Falkenhagen à l'hôpital où elle est internée, après avoir au départ refusé avec l'énergie du désespoir cette thérapie, Marie se remémore les différentes étapes de sa maladie obsessionnelle, qui semble débuter à la mort accidentelle de sa fille Célia ; elle relate sa descente inexorable aux enfers, malgré toute l'énergie qu'elle met à tenter de combattre ses obsessions. Elle arrête de travailler de peur de « faire mal » aux enfants qu'elle garde au jardin d'enfants ; elle s'isole de ses amis, sa mère ne la comprend pas et n'essaye même pas d'ailleurs, enfermée qu'elle est dans sa propre obsession du qu'en dira-t-on. Peu à peu Marie se retrouve seule, vivant en autarcie chez elle ; elle finit par surfer sur le net sur un forum qui parle de sa maladie, et elle finit par y trouver une amie, Elli, qui souffre des mêmes troubles qu'elle, qui la comprend et qui la conseille.

C'est d'ailleurs elle qui a bien expliqué à Maria qu'entre « les pensées et les actes, ça n'était pas la même chose ». Alors, Marie, au désespoir, se répète cette phrase en boucle tel un mantra précieux et salvateur. C'est Elli, qui la poussera à affronter ses peurs en se forçant à sortir, qui lui conseillera de s'enregistrer afin de se familiariser avec ses pensées violentes et finalement les minimiser et peut-être ainsi les vaincre. Malheureusement, malgré tout, Marie passe donc visiblement aux actes bien qu'elle ne puisse concevoir cette évidence.

Après son internement, Marie souffre toujours de solitude et de désespoir. Elle finit donc par accepter la thérapie proposée avec sollicitude par le psychiatre. Il devient son « confident » auquel elle a même remis son journal pour qu'il puisse l'aider. Christopher, aussi, son ex, lui apportera un soutien indéfectible dicté par le remord de ne pas avoir été « présent » en temps voulu et une aide précieuse qu'elle n'attendait plus. Hannah, également internée avec elle, qui souffre de dédoublement de personnalité, en l'occurrence dans ce cas, un dizaine de personnalités différentes lui apportera aussi aide et réconfort.

Mêlant ainsi, le présent, avec le quotidien de Marie en HP et ses souvenirs, l'histoire avance habilement, entre routine hospitalière et rebondissements extérieurs, elle nous tient en haleine durant toute la durée du roman.

J'avoue enfin que le twist final m'a totalement prise au dépourvu et m'a surprise tant je ne l'ai pas vu venir… amené de façon astucieuse, on reste pantois devant tant d'imagination…. Tout était joué d'avance pourtant !...

Certes, je le redis pour la énième fois, ça n'est pas aussi diabolique que Thilliez ou Giebel, qui excellent en la matière, mais je dois reconnaitre que rétrospectivement, en considérant toute cette histoire avec le recul nécessaire, c'est assez sidérant et très réussi. Ce qui promettait d'être simple ne l'est plus forcément et les évidences se confondent pour former quelque chose d'assez inédit et inattendu !

Je souligne que pour Wiebke Lorenz, il ne s'agit là que de son troisième roman en Allemagne (de deux en France avec « Répulsion meurtrière ») ; je dirai donc qu'il s'agit d'un opus très prometteur et que je vais probablement suivre cette dame dans son parcours pour un jour, qui sait, ne pas rater la « pépite » qu'elle ne manquera pas de publier… Hasta luego donc, Mme Lorenz !
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Coupable de Wiebke Lorenz est le parfait d'exemple du livre que vous n'aviez pas prévu de lire mais pourtant voilà… il a finalement croiser votre chemin. Vous vous inscrivez sur un forum discutant littérature, vous rencontrez des personnes avec qui vous avez des points communs, notamment une passion pour Sebastian Fitzek. Ces derniers donnent un avis positif… Une personne vous le recommande… Que faire ?


D'un côté…. L'histoire me semblait pas mal du tout. le thème abordé était vraiment intriguant, les troubles obsessionnelles. Ce sont de bonnes raisons, non ?

Mais d'un autre point de vue…. Ce livre n'était disponible que sous un seul format. Donc, pour assouvir mon envie de lire, j'ai dû organiser un faux kidnapping afin de me le procurer ! C'était ça ou attendre sagement une autre édition car, pour des raisons personnelles, je refuse de m'abonner à France Loisir. Puis… il y avait bien une personne dans mon entourage qui a cette fameuse carte ? Victime trouvée !


Je confirme l'histoire n'est pas mal du tout et prenante, dotée d'un thème abordé qui est vraiment intriguant. J'ai vraiment été fascinée par le coté psychologique du roman. C'est vraiment original de baser toute son intrigue sur les pensées obsessionnelles. C'est une maladie, qui touche uniquement l'esprit, devenant un véritable enfer pour les personnes qui en sont atteintes, les privant de plus en plus de leur liberté. Plus ils essaient de s'en sortir, de se libérer de ce trouble, de ces représentations angoissantes, plus elles s'imposent et prennent de l'importance.


« le pire, c'est de ne pas savoir. de ne pas pouvoir dire avec certitude absolue, irréfutable, si elle l'a vraiment fait ou pas. Car il n'y a pas de souvenir dans sa mémoire, pas le plus petit vestige de la nuit où cela s'est passé. Juste des preuves. Des preuves et des indices accablants, qui tous affirment que c'est elle, qu'il n'y a pas le moindre doute sur sa culpabilité.
La flaque rouge gluante dans laquelle elle s'est réveillée à côté de Patrick, les caillots, noirs comme du pétrole sous ses ongles. Elle avait du sang dans tous les pores de sa peau, comme si elle avait abattu un animal à mains nues. Et puis l'odeur, non cette puanteur métallique dont elle avait le goût sur la langue et qu'elle ne pourrait plus jamais oublier. Ses empreintes digitales sur le couteau avec lequel elle avait égorgé Patrick, avant de le frapper de vingt-sept coups, un massacre. En traitre, pendant qu'il dormait, ignorant et paisible, sans pouvoir se défendre.»


C'est sur cette idée qu'on retrouve Marie, une victime de cette maladie, internée dans un hôpital psychiatrique, coupable d'un crime dont elle ne se souvient pas. L'histoire est fascinante, pleine de rebondissements et de révélations. Un thème vraiment original, une mise en scène prenante. Jusqu'au dernier moment je me suis demandée si elle était coupable ou non, si elle jouait sur les faux semblants, si l'auteur nous mener pas sur des fausses pistes.

Le dénouement reste imprévisible, perfide et pourvu d'un réel retournement de situation. J'aurai aimé que cela soit plus machiavélique, plus surprenant encore. Même si j'ai été légèrement déçue, j'ai apprécié cette fin, cela ne gâche en rien ma lecture.


Pour résumer, Coupable de Wiebke Lorenz est une excellente histoire psychologique, captivante et attractive ! Je vous le recommande ! Un petit conseil ? Attendez une autre édition, parce que même si la couverture est jolie et correspond bien à l'intrigue, le travail de finition n'est pas là, incapable de justifier le texte…d'être plus soignée.
Lien : http://readerghost.blogspot...
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Ce livre est terrifiant. Pas tant par son intrigue, qui est prenante et très bien trouvée mais qui ne fait pas peur, mais par la maladie qu'il décrit.
La postface nous en dit d'ailleurs un peu plus sur cette terrible maladie si peu connue.
Beaucoup de monde, moi la première, peut avoir des pensées obsessionnelles. Personnellement, je vérifie toujours deux fois que le gaz est bien coupé et que la porte est bien verrouillée avant d'aller me coucher. Si j'oublie, je me relève car sinon impossible de dormir (déjà que je ne dors pas beaucoup !). Je n'ai cette pulsion que chez moi d'ailleurs. Certains se lavent les mains dix fois par jour, d'autres rangent les épices par ordre alphabétique… Mais ça, c'est la version bisounours des pensées obsessionnelles.
Les pensées obsessionnelles de Marie tiennent plus du script du film Scream : du sang, de la violence, des meurtres… dans le rôle du coupable : Marie elle-même. Dans le rôle de ses victimes : ceux qu'elle aime.
C'est un vrai cauchemar que vit Marie, un film d'horreur permanent qui se déroule dans sa tête et contre lequel il n'existe pas vraiment de traitement.
A priori, les victimes de pensées obsessionnelles ne passent pas à l'acte. Mais Marie s'est réveillée un matin à côté du corps sans vie et criblé de coup de couteau de son compagnon.
A travers la thérapie qu'elle suit alors qu'elle est internée dans un asile pour criminels psychotiques, Marie, qui n'a aucun souvenir du drame, tente de reconstituer les faits.
Christophe, son ex-mari est persuadé de son innocence, mais Marie doute de tout.
Personnellement, j'étais persuadée de l'innocence de Marie, tout comme Christopher, même si j'ai eu, à certains moments, un léger doute : et si elle était en train de manipuler le système ? Car, étant jugée pénalement irresponsable, il lui suffit de convaincre les médecins qu'elle n'est plus dangereuse pour être libérée.
J'ai ensuite suspecté beaucoup de monde et, si au final j'avais plus ou moins compris ce qu'il s'était passé lors de la mort de Patrick, le compagnon de Marie, il y a eu un évènement en particulier que je n'avais vraiment pas vu venir.
J'ai été d'autant plus surprise que j'avais quand même compris tout le reste et que j'étais du coup persuadée qu'il n'y avait rien de plus à comprendre.
La narration oscille entre 3ème personne, quand on nous déroule l'histoire, et 1ère personne, qui correspond au récit que fait Marie pendant sa thérapie. Comme on découvre l'histoire en même temps que le psychiatre, on est encore plus immergé dans l'histoire.
Petite mention spéciale pour la mère de Marie qui donnerai presque envie d'être orphelin.
J'ai vraiment adoré ce thriller qui nous entraîne dans son sillage sans qu'on ne puisse s'en défaire.
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« Penser et faire sont deux choses différentes » . C'est sûr, il vaut mieux être certain de ce que l'on a fait lorsque l'on se réveille auprès d'un amant pourtant aimé, lardé de dizaines de coups de couteau. Marie n'a aucun souvenir de cette nuit tragique. Tout ce qu'elle sait, c'est que depuis de nombreuses années, elle souffre de troubles obsessionnels de la pensée assortis de fantasmes de morts violentes. Elle appartient à cet important contingent de personnes qui ont des manies étranges ou se livrent à des rituels bizarres pour prévenir un malheur, comme ne pas passer devant un cimetière, veiller à ne plus toucher un bouton, compter jusqu'à quinze avant chaque repas, se laver les mains cent fois par jour, cligner des yeux toutes les trois minutes, avoir peur des objets ronds ou carrés, ou en forme de croix, ne rien manger de jaune, ne jamais prononcer un nom comportant deux A, ne pas marcher sur les jointures des dalles, ne jamais tourner à gauche, ou à droite, ne pas se doucher les jours pairs, ne pas dépenser d'argent les jours impairs... La liste est longue...


En raison de ses antécédents médicaux, Marie est reconnue irresponsable du meurtre de Patrick. Elle est internée dans un établissement psychiatrique de haute sécurité où sont maintenus à vie les malades les plus dangereux pour eux-mêmes et la société, où les camisoles chimiques les abrutissent, brisent leur volonté, obscurcissent leur esprit, et les transforment en patients pleurnicheurs.


Wiebke Lorenz s'est documentée et restitue méticuleusement l'enfer quotidien vécu par les personnes souffrantes, ainsi que les conditions d'accueil dans un établissement spécialisé. Malheureusement, au fil du roman, l'auteure s'essouffle un peu et perd le rythme trépidant des premiers chapitres. le thriller technique, la mécanique bien huilée se grippent pour se transformer en une sombre histoire d'amour et de haine, de confiance et de trahison, d'espoir et de désespoir avant un épilogue auquel j'ai eu beaucoup de mal à adhérer. Ce n'est que mon avis !
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J'ai totalement choisi ce livre grâce à sa quatrième de couverture et ce que m'en a dit la vendeuse de chez France Loisirs. Et je suis très contente d'y être allée au pif !

L'histoire est super originale. le thème abordé est très intriguant, dur et pourtant bien réel.

Nous sommes aux côtés de Marie, jeune femme qui se retrouve internée en psychiatrie parce qu'elle s'est retrouvée un matin aux côtés de son petit copain poignardé à de multiples reprises. le scénario était évident, ses empreintes étaient partout : Marie était coupable.

Or, il se trouve que Marie souffre de pensées obsessionnelles agressives. Elle ne peut s'empêcher d'imaginer les pires scénarios quand elle est entourée de gens, proches ou inconnus. Elle s'imagine en train de les frapper, les mutiler, les tuer… Inutile de dire qu'elle se pense donc capable d'avoir tué Patrick, son ami, même si elle n'en a AUCUN souvenir…

L'histoire se passe donc dans l'hôpital. Marie est en thérapie avec le docteur Falkenhagen, à qui elle raconte son histoire dans les moindres détails pour essayer de se souvenir… Et savoir si elle est coupable ou non. Parce qu'en effet, le doute plane, bien qu'elle ait été condamnée.

J'ai adoré ce roman. Une réelle surprise ! Un thème des plus originaux, une mise en scène géniale, un contexte bien trouvé… Autant sur le fond que la forme, c'est très réussi. On est happé par l'histoire, on ne peut pas décrocher du livre tant qu'on ne sait pas si oui ou non Marie a bien commis ce meurtre sanglant.

Le contexte mis en place, le récit que Marie fait de sa vie, de son mariage avec Christopher, son ex-mari, le décès de leur petite fille Célia, sa rencontre avec Elli, Patrick, Vera & Felix, tout ici a son importance !

L'histoire qui nous est présentée en parallèle est géniale ! Marie, désespérée et au fond du trou, cherche du réconfort sur un forum sur le net, un forum fréquenté par des gens atteints de la même maladie qu'elle. Elle y rencontre Elli, qui deviendra son amie et sa confidente, qui l'aidera à mieux vivre sa maladie.

Jusqu'au bout je me suis demandée si elle était coupable ou non, et à aucun moment je ne m'attendais au retournement de situation auquel on a droit vers la fin du livre. Parce que ce qu'on attend le plus et qu'on estime être la fin du livre ne l'est en fait pas du tout. Et la dernière partie est juste parfaite. Pardonnez-moi l'expression mais j'étais sur le cul ! J'ai douté d'un personnage tout au long du roman, je ne vous dirai pas lequel mais il y en a un que je ne sentais pas du tout… Hé bien je me suis plantée ! Et c'est aussi ce que j'ai aimé.

En résumé, une histoire passionnante sur fond de maladie mentale, maladie grave et sérieuse qui, si elle n'est pas considérée comme étant foncièrement dangereuse, rend les gens dangereux de par le ressenti qu'ils en ont. J'ai aimé qu'on suive Marie dans sa thérapie, ça change des enquêtes policières.

Un roman qui m'a vraiment surprise, et ce très agréablement. Ma maman me l'a déjà piqué, elle aussi séduite par la quatrième de couverture.
Lien : http://www.chroniques-livres..
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Citations et extraits (5) Ajouter une citation
- Tu devrais voir ses bras, elle s'y est fait de jolis dessins. Canule, ciseaux à ongles, elle trouve toujours quelque chose pour se découper la peau. C'est pour ça qu'on la fouille sans arrêt. L'automutilation, tu sais bien. Moi, à leur place, je la laisserais faire, tant pis pour elle!
- Pourquoi est-ce qu'elle est là?
- Elle a zigouillé son vieux. Il la baisait depuis qu'elle était bébé.
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Le claquement. Au début, il surprend à chaque fois, on sursaute quand on l'entend toutes les deux minutes. Mais avec le temps, il finit par devenir un bruit de fond jusqu'à presque disparaitre. Force de l'habitude, adaptation, l'individu s'accoutume vite à ce qui est constamment présent et, ici, c'est le claquement permanent - clac clac clac -, le bruit des clés, le déclic des serrures.
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Le pire c'est de ne pas savoir. De ne pas pouvoir dire avec une certitude absolue, irréfutable, si elle l'a vraiment fait ou pas. Car il n'y a pas des souvenirs dans sa mémoire, pas le plus petit vestige de la nuit où cela s'est passé. Juste des preuves. Des preuves et des indices accablants, qui tous affirment que c'est elle, qu'il n'y a pas le moindre doute sur sa culpabilité.
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Marie a de la chance. Elle ne prend de calmants que lorsque le chagrin et la douleur deviennent trop envahissants. Elle est juste sous antidépresseurs, des produits inoffensifs mais fortement dosés, le triple de la posologie habituelle.
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Ce qu'on ignore ne peut pas faire de mal.
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