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Philippe Bonnet (Traducteur)Arthur Greenspan (Traducteur)
EAN : 9782253173175
441 pages
Le Livre de Poche (05/11/2003)
3.29/5   14 notes
Résumé :

Moyennant un séjour paradisiaque au Kenya avec la belle Cara, Ben, étudiant à Oxford, a accepté de servir de cobaye pour une recherche scientifique révolutionnaire la mesure des émotions grâce à un minuscule boîtier fixé à la base du crâne. Mais le paradis va se transformer en enfer. Trahi, emprisonné, Ben va connaître toutes les affres de la solitude, du chagrin et de la terreur. Lorsq... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (3) Ajouter une critique
L'idée de départ est excellente, inédite même. Ben se fait implanter un boîtier fixé sur son crâne qui sert à mesurer ses émotions moyennent un beau voyage. Sauf que ça tourne très mal pour lui et c'est là que ça devient moins intéressant selon moi, la suite redevient intéressante quand il part à la recherche de ceux qui ont eu l'idée de ce boîtier, c'est assez inégal mais dans l'ensemble ça fonctionne bien. Je préfère toutefois le syndrome Copernic d'Henri Loevenbruck, avec une histoire qui présente des similitudes.

Ben est un peu trop cliché au départ et le thriller le transforme en un type qui arrive à démasquer un grand ponte de la Silicon Valley sans trop de soucis. Ca manque de crédibilité selon moi, ces facilités qu'il a pour arriver au bout de son enquête sans avoir la moindre idée au départ de comment une enquête se mène, lui simple étudient.
Le rythme est bon, les chapitres plutôt courts, j'apprécie et ça évite les longueurs inutiles. Je vous recommande quand même de le lire, à l'occasion, rien que pour le sujet de base car bien qu'écrit en 2000, il semble de plus en plus réel.
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Superbe polar ici par un auteur talentueux ce livre vous ravira par la richesse de ses sources et son rythme constant !
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même si parfois tiré par les cheveux , on est surpris jusqu'à la fin , etonnant et prenant.
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Citations et extraits (2) Ajouter une citation
La lueur provenant du judas était juste assez forte pour révéler la forme de la cellule. Il n'y avait aucune fenêtre et le ciment des murs se désagrégeait. Elle mesurait environ un mètre cinquante de large, sur une longueur à peine suffisante pour mettre le matelas. Des années d'odeur corporelle avaient imprégné la mousse. Un seau était posé dans un coin. Dieu merci, il était vide. Je m'assis sur le matelas et attendis Jackson.
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Nous leur enverrons des sensations de malaise et de peur le soir et la nuit en réservant le bien-être pour le lieu de travail. Nous les persuaderons qu'ils sont dépendants d'émotion artificielles.
(Page 369)
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