Une très bonne conclusion à la trilogie de Glasgow. Toujours la même recette : des phrases courtes et ciselées qui permettent, malgré le peu d'actions, de créer du rythme. de plus, Mackay, de par la "profession" de ses protagonistes aurait pu tomber dans la facilité d'un final avec surenchère d'actions et de rebondissements ; il a parfaitement su éviter cela et servir un épilogue dans la droite ligne de l'ensemble de sa trilogie.
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