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Critique de Cababip
J'ai eu beaucoup de mal à me plonger dans l'univers. A m'imprégner de cette écriture si particulière. A m'adapter aux différents personnages, qui, d'un premier abord, me paraissaient clichés.
Le début est long à se mettre en place. Je n'arrivais pas à saisir le sens que prenait le scénario, où voulait nous mener l'auteure, et si seulement elle-même le savait. J'étais totalement perdue, et je n'arrivais pas à m'attacher totalement à Juliette.
Et puis, est arrivé Adam, et là mon coeur a commencé à rater quelques battement. Je ne savais même plus ce que cela faisait de ressentir autant d'émotions vives pour un simple personnage.
J'ai trouvé le couple tellement beau, puissant, intime. Parfois, j'avais l'impression de m'immiscer dans leur bulle, d'être une intruse, tant leur relation est fusionnelle.
La deuxième partie du roman est pour moi la plus réussie. Une fois que nous retrouvons nos deux personnages seuls à seuls, alors tout s'accélère, et on se retrouver propulser dans un remous de rebondissements, à n'en plus finir. On fait la connaissance de James, tellement mignon, et tellement drôle à la fois. Il apporte, par sa petite personne, de la légèreté, dans un monde qui, parfois, se rapproche de la dystopie.
Kenji est lui aussi amusant, par son charisme et ses tentatives de blague, souvent vaines.
Mais outre Adam, mon réel coup de coeur va pour Warner. Je suis consciente que c'est un réel anti-héros, mais mon dieu qu'il semble beau, et que son côté ténébreux est juste.. Rahh juste dingue.
L'écriture de Tahereh Mafi est très belle, mais parfois elle s'égare elle-même dans ses multiples métaphores, qui n'en finissent plus. Les ratures sont au début déroutantes, et à tous ceux qui commencent leur lecture, ne vous laissez pas destabiliser par la plume de l'auteure, car, à la fin, on en tombe presque amoureux. Elle nous donne toujours les descriptifs qui nous fait vibrer du plus profond de notre être.
D'une certaine façon je suis déçue d'être partie sur une si mauvaise base, car la fin m'a dévorée, m'a transportée et j'attends juste de prendre Ne m'échappe pas, et de me plonger tête baissée dans ce tome 2.
Le début est long à se mettre en place. Je n'arrivais pas à saisir le sens que prenait le scénario, où voulait nous mener l'auteure, et si seulement elle-même le savait. J'étais totalement perdue, et je n'arrivais pas à m'attacher totalement à Juliette.
Et puis, est arrivé Adam, et là mon coeur a commencé à rater quelques battement. Je ne savais même plus ce que cela faisait de ressentir autant d'émotions vives pour un simple personnage.
J'ai trouvé le couple tellement beau, puissant, intime. Parfois, j'avais l'impression de m'immiscer dans leur bulle, d'être une intruse, tant leur relation est fusionnelle.
La deuxième partie du roman est pour moi la plus réussie. Une fois que nous retrouvons nos deux personnages seuls à seuls, alors tout s'accélère, et on se retrouver propulser dans un remous de rebondissements, à n'en plus finir. On fait la connaissance de James, tellement mignon, et tellement drôle à la fois. Il apporte, par sa petite personne, de la légèreté, dans un monde qui, parfois, se rapproche de la dystopie.
Kenji est lui aussi amusant, par son charisme et ses tentatives de blague, souvent vaines.
Mais outre Adam, mon réel coup de coeur va pour Warner. Je suis consciente que c'est un réel anti-héros, mais mon dieu qu'il semble beau, et que son côté ténébreux est juste.. Rahh juste dingue.
L'écriture de Tahereh Mafi est très belle, mais parfois elle s'égare elle-même dans ses multiples métaphores, qui n'en finissent plus. Les ratures sont au début déroutantes, et à tous ceux qui commencent leur lecture, ne vous laissez pas destabiliser par la plume de l'auteure, car, à la fin, on en tombe presque amoureux. Elle nous donne toujours les descriptifs qui nous fait vibrer du plus profond de notre être.
D'une certaine façon je suis déçue d'être partie sur une si mauvaise base, car la fin m'a dévorée, m'a transportée et j'attends juste de prendre Ne m'échappe pas, et de me plonger tête baissée dans ce tome 2.
