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EAN : 9782266223003
600 pages
Pocket (11/10/2012)
3.74/5   59 notes
Résumé :
Agressée par un vagabond, Alice, prof sans histoire, croit devenir folle : son assaillant ressemblait trait pour trait à son défunt mari. Elle s'engage alors dans une enquête où réalité et délire paranoïaque se mêlent, jusqu'à se confondre.
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Critiques, Analyses et Avis (14) Voir plus Ajouter une critique
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Thriller absolument haletant, qui tient quasiment son lecteur de bout en bout. Mais avant de développer ce thème, j'aimerais faire ici état de mes quelques réserves sur le contenant :

- d'abord, le bandeau "gagnant prix VSD du polar 2011" qui peut faire vendre -qui moi personnellement aurait tendance à m'agacer surtout lorsqu'on sait que les éditions Les Nouveaux auteurs sont liées aux éditions Prisma qui éditent ... VSD. J'imagine qu'il a eu droit à un bel article dans le magazine !

- ensuite, le nombre incalculable de coquilles et de fautes " il s'en rappelle" (p.256), "je [...] me débattus" (p.393), "si cette deuxième hypothèse s'avère exacte" (p.404) et il y en a d'autres, et le nombre impressionnant de tirets de fin de ligne pour couper un mot, placés n'importe comment sans tenir compte de la règle (j'en ai compté une quinzaine mais j'en ai sans doute oublié !).

Pas rédhibitoire, mais le travail de correction et de mise en pages est très perfectible chez Prisma !

Venons-en maintenant au contenu. Heureusement, lui est de qualité : 562 pages qui passionnent -bon, j'ai bien eu un petit moment de vide vers le milieu, comme souvent lorsque je m'attèle à des pavés, mais rien qui empêche d'aller au bout. Néanmoins, pour moi, on pourrait faire une petite coupe, supprimer quelques détails pour alléger le volumineux bouquin.

Maintenant, une petite explication sur le titre, ce mot qui est très très laid existe vraiment : le psychopompe, en grec ancien -ça le fait, non ? Citer du grec ancien pour une simple blogueur, c'est quand même assez classe !- le psychopompe, disais-je, est le conducteur des âmes des morts.

C'est pourquoi, Dominique Maisons base son thriller sur le vaudou, ou plutôt sur l'ancêtre du vaudou "connu", le vodun. Né au Dahomey (le Bénin actuel), le vodun vénère un seul dieu, le dieu serpent. Évidemment, il est l'objet de beaucoup de fantasmes de notre part à nous Occidentaux prosaïques. Dominique Maisons est soit un spécialiste, soit il s'est documenté parce qu'il explique en long en large et en travers cette religion -on peut même parfois avoir l'impression d'être à un cours magistral. Pour donner un peu plus de fantastique, de surnaturel à son roman, et pour coller parfaitement au titre du livre, le vodun est là mâtiné d'Expérience de Mort Imminente (EMI). Si vous êtes totalement allergique à tout ce qui n'est pas scientifique, prouvé et absolument imparable, passez votre chemin, ce livre n'est pas pour vous ! Mais si vous aimez les ambiances ésotériques, surnaturelles, extra-ordinaires et sidérantes, restez-là et prenez le temps -il en faut, le livre est gros- d'ouvrir le psychopompe.
Très efficace donc ce premier roman, en plus d'être instructif et dépaysant. Bien construit également, pas linéaire il tient en haleine le lecteur avec de courts chapitres qui alternent les actions des uns et des autres et la lettre testament de la maman d'Alice qui explique ses recherches concernant le passage des âmes. Ces chapitres, en italique sont très forts : ils expliquent la totalité de l'intrigue, bribes par bribes. Ce sont eux qui donnent l'armature du roman, qui nous plongent dans des mondes parallèles excitants et totalement irrationnels. Bien écrit, la lecture est plaisante, sauf pour mes remarques de début de billet. Son efficacité dramatique empêche par contre un développement plus large des personnages. Ils pâtissent d'une action constante et d'une description quasi exhaustive du vodun. Je me dois de dire cependant que les méchants eux, sont très glauques -quelques scènes sont dures et violentes !

Franchement, je me suis laissé embarquer dans l'histoire dont je n'ai pas beaucoup parlé parce qu'elle est très difficile à résumer sans trop en dire, je vous laisse les surprises et notamment la plus grosse, celle de la fin, totalement imprévisible. Très bon moment de lecture, avec un auteur qui signe là une entrée fracassante dans le thriller ; pour les amateurs du genre, écrivain à suivre !

Merci à l'éditeur et à Les agents littéraires
Lien : http://lyvres.over-blog.com
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Je ne sais pas du tout par où commencer cet avis. Je voulais ce livre depuis pas mal de temps et j'avais été ravie de le trouver d'occasion à Paris pour un prix dérisoire dans un état parfait. du coup j'avais vraiment hâte de le lire, et ma première impression sur le livre est plutôt positive. le début commence très fort, Alice se fait agresser par un vagabond qu'elle reconnait comme étant son mari. Bien entendu personne ne la croit, sauf Victor, un flic qui m'a vraiment fait flipper au début mais qui malheureusement au fur à mesure de l'histoire va devenir un type mielleux – même si un peu bourru. Je trouvais donc que ça commençait bien, des trucs de ouf se passaient, de l'action, du gore et même un côté inquiétant, s'installait, c'était vachement bien. Mais au fur à mesure de l'histoire j'ai commencé à m'ennuyer. Plusieurs raisons à cela : le texte est entrecoupé par le testament de la mère d'Alice, et… Je dois dire que j'ai trouvé ces passages vraiment très longuet, la plupart du temps il se passait que dalle, et j'aurais apprécié que l'histoire soit raccourcit, j'ai trouvé certains détails franchement inutiles. Je n'ai pas aimé Virginie, elle était casse pied je l'avoue et sa curiosité me paraissait vraiment trop saoulante. Deuxièmement, l'histoire d'amour qui se profile entre Alice et Victor. Ça m'a gavé. Totalement. Victor qui était super flippant devient un bon gros rondoudou. Troisièmement, le texte est écrit au présent, et je déteste ça. C'était très ennuyant à lire, dès le début l'écriture m'a rebuté. J'aurais pu passer au dessus si l'histoire m'avait plus accroché et si le texte n'était pas parsemé de nombreuses fautes, mots qui manquent ou rajoutés, et de phrases qui ne voulaient plus rien dire. Finalement, et je crois que c'est ce qui m'a le plus énervé dans ce livre, c'est le côté « surnaturel » qui va s'en dégager. J'aime bien les thrillers surnaturels, quand ils sont vendus comme telle. Mais là j'avoue que j'étais « mais c'est quoi ce bordel? N'importe quoi ! » Alors oui, on peut y trouver une explication logique et vers la fin on nous laisse le choix d'y croire ou non mais franchement j'ai failli abandonné le livre à ce passage de fou, tellement ça m'a gonflé. En soit je ne pense pas que ce soit un mauvais livre, mais il est par moment trop longs, on aurait certainement pu se passer de quelques trucs (surtout les élucubrations de Virginie, s'il n'y avait eut que l'essentiel ça m'aurait moins gavé). L'idée reste néanmoins originale, le message un peu morale sur l'écologie est passé, et j'ai beaucoup apprécié un des sujets traités. La fin m'a un peu réconciliée avec l'histoire, puisqu'elle laisse le choix. Néanmoins je ressors de cette lecture plutôt déçue et c'est bien dommage, parce que je pense qu'il y avait du potentiel.
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la préface laisse à penser que l'histoire semble commune entre un flic et une jeune veuve mais oh !!!! Grande surprise !!! Rien de cela croyez-moi !
Et le titre ? le Psychopompe, quel mot intriguant mais qui colle tellement bien quand on y pense. La signification officielle du psychopompe dans la mythologie signifie : celui qui guide les âmes vers l'enfer. Dans ma version à moi cela signifie : l'auteur nous guide dans une histoire qui vous pompe tous vos sens, vous tient comme une sangsue aux pages, et vous aspire dans le noir, l'insoutenable et l'époustouflant !

Il y a Alice Jourdan, jeune veuve séduisante qui se remet à peine du décès de son mari malgré qu'elle était trompée, bafouée dans son rôle d'épouse. Victor bellanger, "mis au placard" par son supérieur, ancien flic de l'antigang, marginale qui rencontre cette jeune femme suite à son agression. Tout démarre de là. Cette agression dont cette femme est victime déclenche un rythme implaccable dans la suite des choses. L'époux semble revenir du monde des morts et tous deux que l'on croît fous, mènent l'enquête, celle-ci s'épaissit quand le frère d'Alice disparaît à son tour, puis ses soeurs avec en parallèle des secrets de famille qui nous embarque dans la forêt si bien décrite de l'Afrique, peuplée de rituels intriguants, mystérieux...

Il y a le personnage : le nécrophage, hors-normes dont l'auteur ne nous épargne aucun détails :
" Il plonge son visage dans l'ouverture de la boîte cranienne de la morte et dévore à pleines dents le cerveau de la morte, la matière organique de la jeune femme se répand sur son visage dans un clapotis obscène..."

Les âmes sensibles n'ont qu'à bien se tenir mais personnellement, c'est fort, c'est brut et hallucinant !
J'ai découvert l'auteur et son écriture, j'ai découvert ce que j'attend d'un bon thiller magistral qui m'a surprise jusqu'à la fin... Et quelle fin !
Dévoré en deux jours, Dominique m'a psyché le cerveau par sa belle plume et son histoire et ce prix VSD du polar est grandement mérité !
Lien : http://lesromansdechris.blog..
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Pris au hasard d'une boîte à livres sans connaître l'auteur, je me suis laissé tenter par le résumé.
Un polar comme un autre qui démarre par une jeune femme qui est suivie, un flic qui est border line, un agresseur censé être mort et une histoire qui part dans tous les sens.
Je ne sais pas s'il a voulu partir dans un livre de fiction en mêlant les codes du polar, mais au final rien ne va.
On trouve du Vaudou, une forêt sacrée, de la jalousie, de la science, des services secrets ... et comme si ça ne suffisait pas une histoire d'amour improbable servie par une écriture affligeante, voire un brin machiste. L'héroïne est forcément belle et blonde et quand elle fait l'amour avec passion elle secoue sa crinière de lionne (si si c'est possible de trouver ça dans un livre qui a reçu un prix VSD) parce que le sexe, c'est trop bien quand on est jeune et beau.
Et ça continue dans le même genre, des soeurs jumelles encore plus belles, un méchant nécrophage mangeur de cervelle qui veut les dévorer et une mère qui fait son témoignage entre deux actions tantôt glauques tantôt ennuyeuses on fini par arriver à la fin essoufflée par tant de facilité pour un premier roman !
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Paris, hiver 2011. La vie d'Alice Jourdan tourne inexorablement au cauchemar. Tout a commencé par le décès de son mari deux mois auparavant, puis par la révélation de ses infidélités avec une de ses collègues. Maintenant, la folie la menace, car elle vient de se faire agresser par un mort !

Son assaillant a le visage identique, trait pour trait, à celui de son défunt mari. Une ressemblance telle, qu'elle ne peut pas être qu'une ressemblance.

«Ce qu'elle vient de voir à la lueur des réverbères, l'arrache à sa torpeur, bouscule les limites de son deuil, de son renoncement et la fait vaciller jusqu'aux fondements de sa raison »

C'est vers Victor Bellanger, flic borderline qu'elle va se tourner afin de se confier. Il voit en cette affaire, une enquête aux promesses cicatrisantes, susceptible de lui faire oublier, pour un temps tout au moins, ses démons. Mis à pied pour une durée de 15 jours, c'est hors du cadre légal, qu'il va mener sa propre enquête.

C'est ensemble, qu'ils vont tenter de démêler cette affaire qui va dévoiler peu à peu un passé torturé, au sujet de la famille d'Alice.


LE PSYCHOPOMPE, était dans les mythes de la Grèce antique, le guide des âmes qui passaient vers l'au-delà. Ces personnages, souvent divins assuraient le passage vers la nuit et ses mystères. Ils étaient les passeurs bienveillants des âmes humaines.

« Mon âme a quitté mon corps comme un mouchoir de soie quitte votre poche » Hemingway

Avec un titre énigmatique comme celui-là, je pressentais que ce thriller ne renfermait pas une histoire traditionnelle, tout du moins je l'espérais. Eh bien j'ai été totalement comblée !

Une entrée en matière ahurissante, avec l'agression d'Alice par un mort qui attise l'intérêt mais qui inquiète également. Car démarrer fort c'est bien, mais faut-il encore que ça suive derrière, et dans le cas présent sur presque 600 pages. Il fallait donc du costaud derrière, eh bien nous l'avons !
Une histoire qui prend ses racines en Afrique, et qui nous fait remonter le temps jusqu'au printemps 1966, date à laquelle les parents d'Alice, tous deux chercheurs au CNRS, s'y installent pour leurs recherches.

Le récit se fait donc en alternance, avec d'une part l'enquête en 2011 et, d'autre part la remontée à travers le temps grâce à une lettre testament, que Virginie Montserray, la mère d'Alice, lui a laissé. Car pour comprendre la situation dans laquelle se trouve Alice aujourd'hui, il faut remonter aux origines de cette incroyable histoire.

La succession des chapitres, présent - passé, donne une dynamique incroyable au récit et fait du livre LE PSYCHOPOMPE un véritable page-turner.

Dominique Maisons nous entraîne avec adresse et brio dans une histoire démente et dans un univers qui captive de bout en bout. Une généreuse documentation vient enrichir le récit, avec la découverte d'une région, d'un peuple, de leurs pratiques religieuses, de leurs us et coutumes.

LE PSYCHOPOMPE s'est révélé au-delà de mes espérances, j'ai été envoûtée par cette lecture, alliant détente et enrichissement culturel.

L'excellente nouvelle pour terminer est que LE PSYCHOPOMPE vient de paraître en format poche aux Editions POCKET sous le titre « Les violeurs d'âme » autant dire qu'il n'y a aucune raison pour ne pas succomber à la tentation !

Lien : http://lenoiremoi.overblog.c..
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Citations et extraits (7) Voir plus Ajouter une citation
Le culte vaudou répandu de par le globe, avec ses oripeaux et ses diableries empruntées au catholicisme spectaculaire des missionnaires, était à l'origine un culte rendu au principe essentiel de la vie, à l'étincelle de conscience qui anime la chair et la rend humaine, et dont la présence différencie l'homme de la matière. En traversant les plaines et les océans, ce culte s'était travesti, édulcoré, oublié, perdu pour n'en garder que le nom et une partie des rituels. Cette dégénérescence s'était produite d'autant plus inéluctablement que ses sectateurs originels gardaient leur culte secret et que son expansion s'est faite contre leur gré, sous le joug des luttes ethniques et de l'esclavage transatlantique qui ont bouleversé la région d'Allada. (p.347/348)
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Au cinéma, il n’a eu que des miettes, de la figuration et des rôles d’une ligne. Sa seule activité notable vient de la pub, comme voix radio principalement, et du doublage, à 31 ans, il reste un anonyme, galérien de la profession.
Pourtant, il continue de croire en son destin, il a la chance d’avoir eu cet héritage de ses parents, qui lui permet d’insister dans cette voie sans trop se soucier de gagner sa vie. Son confort est relatif, mais bien suffisant. Il le serait bien davantage s’il n’avait pas flambé pendant des années, dilapidant la majeure partie du pécule. Mais, hormis quelques débordements, il ne regrette rien, il a bien vécu sa jeunesse, et il espère avoir aujourd’hui la maturité nécessaire pour se faire enfin un nom dans le métier d’acteur.
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« Sois vrai, sois convaincu, sois énergique. Tu as les fondamentaux du rôle, il faut que tu les vives et que tu les dépasses ». Romain, le frère d’Alice, se remémore les consignes de son agent, il se les répète pour se convaincre d’en avoir saisi l’essence. Il ne veut pas, cette fois-ci, échouer à quelques centimètres de son objectif. Ses derniers castings pour des rôles de cinéma se sont joués à des détails, des susceptibilités et des sensibilités de directeurs de casting. Il n’a jamais été aussi proche de décrocher la timbale, mais il ne faut pas que la pression l’inhibe et le fasse une fois de plus retomber dans des excès d’une théâtralité maladroite qui lui ferme toutes les portes du cinéma depuis des années.
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C’est difficile pour un apprenti caïd comme lui de baisser pavillon et de s’avouer vaincu par un flic ; plus difficile encore de sceller un pacte avec son tortionnaire et de poser les bases d’une collaboration. Mais Victor a placé la barre très haut, trop haut pour un gamin de dix-huit ans à peine et sa décision ne fait aucun doute. Il finit par lâcher d’une voix faible, comme s’il avait peur d’être entendu en dehors de la voiture.
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Il parait que je suis devenu incontrôlable, plus assez fiable, dangereux pour l’équipe. « Un franc-tireur incapable de respecter des consignes précises et mettant le travail de la brigade en danger par des initiatives hasardeuses ». Tu vois, j’ai bonne mémoire, je me rappelle de ce qu’ils ont écrit dans mon dossier. Après quinze piges, des centaines d’interpellations, deux balles dans la peau…
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Un événement @livreshebdo_ organisé en partenariat avec @SofiActionCulturelle, @societe2dcom571, @adliber, Asler, Ammareal, @bookconseilformation3122 et Editis x Interforum. Avec le soutien du SLF, de @CanalBDvideos, @leslibrairesdenhaut3879 et de @alcanouvelleaquitaine.
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