En cent trente petites pages, andreï
Makine arrive à nous dépeindre l'absurdité du régime stalinien. On peut malgré tout, lui reprocher la brièveté de son roman.J'aurai aimé qu'il s'attarde davantage sur certains passages. Qu'il empreinte des chemins de traverses... Là, c'est plutôt l'autoroute, le raccourci. Il se rattrape par une écriture fluide, agréable à lire.
Commenter  J’apprécie         100