Cette chronique est divisée en trois parties. Dans la 1ère "L'Anglais à l'oeil nu" et la 3ème "L'Anglais au Paradis ou l'art de devenir anglais",
Malaparte égrène des souvenirs personnels qui l'entraînent à des réflexions amusantes et mordantes sur l'insularisme britannique. Pour lui, le
s Anglais ne sont pas de
s Angles mais de
s anges, êtres célestes aussi bien qu'animaux qui marchent au bord de nuages imprégnés d'une enivrante odeur de cuir neuf ou de whisky.
La 2ème partie "Jésus ne connaît pas l'archevêque de Canterbury" est une fantaisie pleine de verve satirique dans laquelle l'auteur renouvelle l'histoire de Jésus dans la Palestine sous protectorat britannique.
Malheureusement, il semble que l'oeuvre ne soit pas complète.