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Le Miroir des limbes tome 1 sur 2
EAN : 9782070241354
612 pages
Gallimard (18/09/1967)
3.76/5   88 notes
Résumé :
Un sous-officier me fit signe de sortir; la cour était pleine de soldats. Je pouvais faire quelques pas. Il me tourna vers le mur, les mains appuyées sur les pierres au-dessus de ma tête. J'entendis un commandement : " Achtung ", je me retournai j'étais en face d'un peloton d'exécution.

Source : Folio, Gallimard
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Critiques, Analyses et Avis (10) Voir plus Ajouter une critique
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Malraux a commencé l'écriture des Antimémoires en 1965, lors d'un voyage qui devait le mener en Chine pour rencontrer Mao. Un voyage diplomatique (il était ministre à l'époque), mais fait d'une étrange manière, par bateau. Mais Malraux est dans un état dépressif profond, et le but du voyage, dont la partie officielle sera définie tardivement, est aussi de lui permettre de reprendre pied.

En 1965 Malraux a depuis un bon moment terminé sa carrière de romancier. Il s'est tourné à la suite vers des écrits sur l'art, et il pensait d'ailleurs profiter du voyage qui s'offrait à lui pour travailler sur une nouvelle version du Musée imaginaire. Mais au Caire, il se lance dans l'écriture des Antimémoires, qui vont initier une nouvelle époque dans sa création, celle du mémorialiste. D'autres textes autobiographiques suivront, Malraux va les intégrer dans un cadre commun sous le titre le miroir des limbes, dont les Antimémoires sont une première partie. Bien plus célèbre que les ouvrages suivants, et qui dès sa parution a rencontré un grand succès, à la fois auprès du public et de la critique.

Le genre des mémoires à l'époque où Malraux s'est lancé dans son entreprise, a une acception plus large qu'aujourd'hui :

« Les Mémoires du XXe siècle sont de deux natures. D'une part, le témoignage sur des événements : c'est parfois, dans les Mémoires de guerre du général De Gaulle, dans Les Sept Piliers de la sagesse, le récit de l'exécution d'un grand dessein. D'autre part, l'introspection dont Gide est le dernier représentant illustre, conçue comme étude de l'homme. » ( Antimémoires)

C'est donc à la fois les Mémoires, mais aussi les autobiographies, ou comme le dit Malraux les Confessions. Il pense ce dernier genre obsolète, à cause de la psychanalyse, bien plus efficace pour décortiquer les profondeurs humaines. L'évolution actuelle de la littérature lui donnera complètement tort sur ce point. Mais cela indique la direction qu'il compte donner à son texte : en aucun cas il ne s'agit d'essayer de comprendre comment sa personnalité s'est construite, ni encore moins d'évoquer des souvenirs attendris du passé. Malraux dit d'ailleurs :

«  Réfléchir sur la vie — sur la vie en face de la mort — sans doute n'est-ce qu'approfondir son
interrogation. [...] En face de cette question, que m'importe ce qui n'importe qu'à moi ? Presque tous les écrivains que je connais aiment leur enfance, je déteste la mienne. J'ai peu ou mal appris à me créer moi-même, si se créer, c'est s'accommoder de cette auberge sans routes qui s'appelle la vie. J'ai su quelquefois agir, mais l'intérêt de l'action, sauf lorsqu'elle s'élève à l'histoire, est dans ce qu'on fait et non dans ce qu'on dit. Je ne m'intéresse guère. (Antimémoires).

Malraux revendique donc pour son texte le genre des Mémoire, qu'il considère en prise avec l'action, avec l'histoire en train de se faire. Il a l'ambition de mener une réflexion sur la condition humaine, et non pas une introspection, qui rechercherait une vie dans sa singularité. La connaissance de soi est impossible et inutile, la question pertinente est non pas « qui je suis » mais « qu'est-ce qu'une vie ».

Mais s'il se voit mémorialiste, il questionne, voire déconstruit le genre des mémoires. Il réfute l'effacement trompeur de l'auteur au profit de l'observateur, prétendant à l'objectivité, il est présent en permanence et vit les événements qu'il décrit.

Il met aussi en cause la linéarité du récit. Comme le roman, les Mémoires doivent dépasser le récit, au-delà des faits, chercher le sens, toucher l'éternel au-delà de l'instant. L'auteur doit trouver une sorte de troisième dimension. D'où une dramatisation de la narration, il s'agit de mettre en scène, rendre présent. de très nombreux dialogues sont un outil utilisé abondamment par Malraux pour arriver à ce résultats. Comme les mises en abîmes, la mise en lien de moments différents qui se répondent : les différentes parties du texte entremêlent presque systématiquement deux-trois moments temporels parfois séparés par des décennies. L'unité du récit est un artifice, qui empêche la recherche des enjeux existentiels.

Enfin, il s'agit pour Malraux de mettre à nu les mécanisme de la mémoire, dans laquelle différents moments cohabitent, les périodes s'entremêlent, se répondent, ce qui va ensemble, non pas par la chronologie mais par le sens, s'agrège. Il s'agit de redonner la première place à une mémoire personnelle, en action, qui se met en scène. C'est par cela que le titre d'Antimémoires prend son sens : il ne s'agit pas d'une description d'événements où le moi de l'écrivain s'efface, ou fait semblant de le faire, mais où au contraire il est mis en avant, théâtralisé.

Evidemment cela peut agacer, car le personnage Malraux, avec ses excès, son emphase, est présent de bout en bout. Lorsqu'il fait parler Nehru, c'est lui qu'on entend parler, jusque dans ses tics de langage, ses partis pris. Mais en allant jusqu'au bout de sa démarche, il finit par faire apparaître son dessein, une réflexion sur l'histoire, sur les ressorts des actions, sur ce qu'il considère comme essentiel au-delà de l'écume des événements. Et il garde de son expérience de romancier un talent certain à construire, à tenir en haleine, à relever un détail, à caractériser. Si on arrive à trouver le rythme, cela devient très prenant, passionnant par moments. Et le livre continue à questionner une fois la dernière page tournée.
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J'aurai dû lire quelques articles sur l'Internet avant d'entreprendre la lecture des "Antimémoires" d'André Malraux car j'étais beaucoup trop lent à comprendre que le livre était bourré de mensonges extravagantes. J'ai manqué les indices du premier chapitre où Malraux annonce qu'il est né en Alsace, que son nom famille est Berger et que son grand-père avait fréquenté Nietzsche. Je pensais que Malraux aurait abandonné son vrai nom plus tard parce qu'il était trop boche. J'ai décidé de faire des recherches à la page 380 où dans un passage qui relate ses activités comme membre de la Résistance francais en 1944, l'auteur décrit "Malraux" comme son nom de guerre.
J'ai appris du "Wikipedia" (1) que le nom de Malraux a toujours été Malraux; (2) qu'il est né à Paris; (3) que son grand-père a été n'avait jamais côtoyé Nietzsche; et (4) que Malraux est généralement reconnu comme un mythomane (à la limite un menteur pathologique). J'ai trouvé aussi à la page web des "Amitiés internationales d'André Malraux" un article très pertinent de Moncef Khemri de la faculté de lettres de Tunis qui a pour titre "Les antimémoires: entre autobiographie et autofiction" où Khemri présente la thèse que le livre est une oeuvre de métafiction postmoderne. D'après Khemri, Malraux a décrit sa vie comme il aurait souhaité qu'elle avait été. Khemri ajoute que le passage où Malraux décrit sa participation dans une bataille contre les allemands en 1940 est une fiction pure. Khemri nous rappelle que le Baron de Clappique avec lequel Malraux discute de la guerre de Viet Nam est un personnage de la "Condition humaine" qui n' a jamais existé. Finalement, Khemri nous informe qu'il y a beaucoup de longues passages dans les "Antimémoires" que Malraux a tiré de ses romans.
La thèse de Khemri est ingénieuse mais elle ne me redonne pas confiance dans le livre qui n'est pas à mes yeux postmoderne mais simplement mensonger. Pourtant, la manque de véracité n'est pas forcément une mauvaise chose. Malraux explique dans son introduction qu'il donne le titre "Antimémoires" à son livre parce qu'il ne contient pas de "mémoires" traditionnelles dont il y a deux catégories: (1) des confessions (Saint-Augustin, Rousseaux) ou (2) des oeuvres où l'écrivain raconte sa vie avec introspection (Chateaubriand, T.E. Lawrence.) Selon Malraux ses "Antimémoires" offre plutôt le récit des moments dans son parcours qui lui ont posé la question: "Quel est le sens de la vie."
Un incident majeur a été un simulacre d'exécution auquel les allemands l'ont fait participer en 1944. Malheureusement à cause des nombreux mensonges dans le livre, le lecteur ne peut pas être certain que ce simulacre d'exécution ait bel et bien eu lieu.
Malraux croit aussi que l'art fait réfléchir au sens de la vie et les idées qu'il présente au sujet de l'art constituent le meilleur élément de son livre. Il écrit beaucoup sur l'art des tombeaux (les pyramides, les grands mausolées, etc.) que l'on a crée selon Malraux non pour honorer les ancêtres mais pour contrôler l'avenir.
Dans les "Antimémoires" Malraux présente aussi une exposé bien réussi de son concept de "Musée imaginaire" selon lequel les oeuvres d'art dans le monde contemporain se trouvent délivrés de leur fonction. Un crucifix n'est plus un crucifix. Un portrait n'est plus la représentation d'une vraie personne. Dans le musée imaginaire, il n'y a ni vénération ni ressemblance. Les objets d'art diffèrent des choses et se trouvent confrontées les uns contre les autres. Dieu n'y est pour rien et t l'homme a le champs libre pour définir l'univers à sa guise. Malraux constate que partout au tiers monde (l'Afrique, l'Asie, l'Amérique du Sud) on construit des musées.
Dans sa vie, Malraux a rencontré dans sa vie bien des chefs politiques importants du 20e siècle. Dans les "Antimémoires"on trouve des longues conversations que Malraux a eu avec Chou En-lai, Charles de Gaulle, Mao Tsé-toung et Jawaharlal Nehru . Malraux semble croire aussi que ces entretiens s avec les grands politiciens de son époque lui ont mise en face-à -face avec l'énigme de la vie. La qualité de ces discussions, telles que rapportées par Malraux est très inégale.
La pire est celle avec Mao. Malraux accepte trop volontiers la version de Mao sur le la Grande Marche. Il reproche à Mao les persécutions des Tibétains mais il ne dit pas un mot au sujet de la famine de 1958-1962. Malraux est aussi très élogieux au sujet de Ho Chi Minh. La conversation avec Nehru qu'il présente est par contre superbe.
Il y a des bons moments dans les "Antimémoires" de Malraux mais dans l'ensemble elles sont affreuses.
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En 1965, Malraux se remémore des évènements de sa vie, sans suite chronologique ; le fil conducteur est la vie face à la mort. Il raconte quelques expériences personnelles, avec tout son talent de romancier et l'exaltation de son goût pour l'aventure : la traversée d'une tempête dans un vieux coucou des années 1930, une attaque au char d'assaut en 1940, un interrogatoire par la gestapo, un simulacre d'exécution, toujours des scènes où il se trouve en danger. Mais il ne raconte presque rien de sa vie intime. Dès les premières lignes il montre une forme de mépris pour le quotidien et l'intime : « Que m'importe ce qui n'importe qu'à moi ? » ; dans le dernier, et terrible, chapitre consacré aux camps nazis, il en exprime son dégoût : « A la grande dérision sinistre qu'apporte la mort s'est substituée la dérision quotidienne de la vie ». le quotidien c'est l'oubli de la mort et Malraux est obsédé par la mort. On apprend quasiment rien de sa vie personnelle à part le suicide de son grand-père et de son père.
La grande majorité de ce livre analyse les grands mouvements de la politique internationale avec un tropisme pour l'Asie (il s'attarde finalement peu sur le cas de la France, peut-être la réserve du ministre d'Etat). Au cours de ses voyages, il se remémore ce qu'était l'Inde, l'Indochine, la Chine, le Japon dans sa jeunesse et leurs métamorphoses. Il le fait sous la forme de conversations qu'il aurait eues avec diverses personnes : « Comme l'Asie retrouvée après trente ans dialoguait avec celle d'autrefois, tous mes souvenirs survivants dialoguent », évidemment ce sont des dialogues remodelés, sans trahir les idées de ses interlocuteurs, ils ne font que refléter ses propres préoccupations. Parmi les personnalités les plus célèbres : De Gaulle, Mao, Nehru. J'imagine que les gaullistes seront plus intéressés par sa conversation avec De Gaulle et les maoïstes avec Mao, mais à mon avis c'est avec Nehru que la discussion est la plus dense et la plus ample, toute sa visite en Inde contient la quintessence du livre qui mélange de graves réflexions sur le sens de la vie et de la mort, la religion, l'art, la culture.
Peut-être que Gandhi était la personnalité du vingtième siècle pour laquelle il avait le plus d'admiration. Malraux n'était pas un agnostique indifférent, la spiritualité était fondamentale pour lui ; si elle restait un mystère, elle donnait un sens. Il l'aborde de loin et par les voies obliques de l'art et de la culture, mais les relations qu'entretiennent les différentes civilisations avec la mort occupaient une grande part de sa réflexion et sur ce point l'hindouisme l'attirait particulièrement, plus que le christianisme ou le bouddhisme.
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Malraux étourdit son lecteur de rencontres imposantes : de Gaule, Nehru, Mao. Il sillonne le monde pour y repenser la condition humaine. Il tisse des liens entres les musées égyptiens et les jardins japonais, il raconte les heures où il frôla la mort, la camaraderie des prisonniers et des tankistes, la fascination de l'Asie, l'héroïsme de la Résistance. Ses mémoires qui en refusent l'étiquette sont écrites comme des romans, comme un retour sur les thèmes d'une écriture, sur L'Espoir, sur La Condition humaine, sur le mythe gaulliste. A la fois analyse politique, réflexion artistique et dialogues métaphysiques, ce livre dévoile la complexité de son auteur à travers celle d'un monde multiple, foisonnant, dangereux et perdu. Chez Malraux, tout est toujours en mouvement. C'est sans doute cela qui nous étourdit.
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Le titre peut paraître intéressant pour une autobiographie mais il faut quand même être un amoureux de Malraux pour ne pas trop s'ennuyer...
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Citations et extraits (28) Voir plus Ajouter une citation
- Vous confessez depuis combien de temps?
-Une quinzaine d'années...
-Qu'est-ce que la confession vous a enseigné des hommes ?
-Vous savez, la confession n'apprend rien, parce que dès que l'on confesse, on est un autre, il y a la Grâce. Et pourtant... D'abord, les gens sont beaucoup plus malheureux qu'on ne croit...et puis...
Il leva ses bras de bûcheron dans la nuit pleine d'étoiles :
"Et puis, le fond de tout, c'est qu'il n'y a pas de grandes personnes..."
Il est mort aux Glières.
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Or, il restait assez d’humanité, même aux prisonniers agonisants, pour deviner que la volonté de vivre n’était pas animale, mais obscurément sacré. Le mystère de la condition humaine apparaissait là, bien plus que dans la houle cosmique qui tôt ou tard roulerait dans la mort torturés et tortionnaires ; l’abjection des détenus qui dénonçaient, avec un sourire de bêtes si les bêtes souriaient, rejoignait celle du S.S. schlagueur à qui un prisonnier avait dit que Schnell (vite) se traduisait par « Vas-y mollo ! » et qui frappait à mort les détenus en leur criant d’aller doucement. Les fantômes misérables qui s’appelaient eux-mêmes des « troncs-à-jambes », parce qu’ils gardaient la tête rentrée entre les épaules devant les coups éternels, n’avaient pas perdu leur mépris. C’est-à-dire l’idée confuse et profonde de l’homme pour laquelle ils avaient combattu, et qui devenait claire : l’homme, c’était ce qu’on voulait leur arracher.
La condition humaine, c’est la condition de créature, qui impose le destin de l’homme comme la maladie mortelle impose le destin de l’individu. Détruire cette condition, c’est détruire la vie : tuer. Mais les camps d’extermination, en tentant de transformer l’homme en bête, ont fait pressentir qu’il n’est pas homme seulement par la vie.
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Et j'entends, une fois de plus : écoute la rumeur d'Ys qui s'engloutit, de Byzance qui s'écroule doucement ; écoute s'éteindre ce qui fut Singapour, en 1965 de l'ère chrétienne...
Je connais depuis longtemps ce sentiment solennel et sinistre. Il ne s'agit pas de la durée qui nous emporte, et que la pensée ou l'oeuvre d'art reconquiert ; il s'agit de l'aigle héraldique dont l'ombre passe sur moi comme le vent tiède de l'Océan ; du Temps meurtrier qui envoie au néant les histoires et l'Histoire. Le souvenir transfiguré reconquiert la jeunesse perdue ? La pensée reconquiert la durée ? J'entends la rumeur déjà lasse : écoute-moi, écoute-moi bien prier pour l'agonie de ce que tu appelais l'Europe ; bientôt, on ne se souviendra plus que de mon chuchotement...
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Car il existe des rêves tombés en poussière, le bon sauvage par exemple ; des paradis invincibles comme la justice, ou séculaires comme la liberté, l'âge d'or, et un monde de rêves passionnés dont la cendre devient poésie comme celle des dieux devient mythologie : la chevalerie, les Mille et Une Nuits...
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Peut-être l'angoisse est-elle toujours la plus forte ; peut-être est-elle empoisonnée dès l'origine, la joie qui fut donnée au seul animal qui sache qu'elle n'est pas éternelle. Mais, ce matin, je n'étais que naissance. Je portais encore en moi l'irruption de la nuit terrestre au sortir de la fosse, cette germination dans l'ombre tout approfondie de constellations dans les trous des nuages en dérive ; et, comme j'avais vu surgir de la fosse cette nuit grondante et pleine, voici que se levait de la nuit la miraculeuse révélation du jour.
Le monde aurait pu être simple comme le ciel et la mer.
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