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Critique de Mesptiiteslectures
C'est le second roman que je lis de Laure Manel et j'ai eu plaisir à retrouver sa douce plume. A nouveau, l'histoire prend le temps de se dérouler. Cela m'avait déjà marqué dans "La délicatesse du homard", mais cette fois je m'y attendais. Et en effet, jusqu'au dernier moment on se demande ce qu'il va se passer. A contrario, dès les premières pages on entre dans le vif de l'histoire, ici le décès de Raphaëlle, épouse d'Antoine et maman de Lou.
Voici encore un roman qui aborde le sujet de la résilience... Comment se reconstruire après avoir vécu un drame ? Malheureusement il n'y a pas de mode d'emploi pour cela et seul le temps fait partie du remède.
Tout au long de l'histoire, on observe Antoine qui se débat dans ce cauchemar qu'est devenu sa réalité. Entre joie et peine.. il est perdu, absent de lui-même. Il est son ombre. Il refuse les mains tendues, ne fait pas toujours les bons choix et évite sa propre fille qui a tant besoin de lui. Il lui faudra un déclic pour comprendre que sa présence au coté de Lou est importante.
J'ai dévoré ces presque 400 pages en une journée et j'ai passé un agréable moment de lecture.
Voici encore un roman qui aborde le sujet de la résilience... Comment se reconstruire après avoir vécu un drame ? Malheureusement il n'y a pas de mode d'emploi pour cela et seul le temps fait partie du remède.
Tout au long de l'histoire, on observe Antoine qui se débat dans ce cauchemar qu'est devenu sa réalité. Entre joie et peine.. il est perdu, absent de lui-même. Il est son ombre. Il refuse les mains tendues, ne fait pas toujours les bons choix et évite sa propre fille qui a tant besoin de lui. Il lui faudra un déclic pour comprendre que sa présence au coté de Lou est importante.
J'ai dévoré ces presque 400 pages en une journée et j'ai passé un agréable moment de lecture.
