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Critique de Elodiedaire
J'étais impatient de retrouver la plume fluide et captivante de Laure Manel. Et je n'ai pas boudé mon plaisir. Cependant plusieurs choses m'ont chagriné, rendant ma lecture assez lourde.
Dans un premier temps, le personnage masculin Romain. C'est un père de famille, veuf depuis quatre ans, chef dans son propre restaurant. Et alors que les premières pages annonçaient une histoire déjà vu mais pas moins désagréable, le personnage de Romain a littéralement tout gâché.
Le personnage de Romain s'enlise dans sa lâcheté au point d'en devenir très antipathique. Tout au long du livre, Romain ne cessera de se plaindre à longueur de chapitre et de manière redondant.
On en vient à mon deuxième point, cette redondance a fait disparaître tout forme d'empathie de ma part à l'égard de ce personnage. J'avais espoir qu'il évolue, en vain.
Fort heureusement, le personnage d'Alba à réussi à me toucher un peu plus, bien que je l'ai trouvé un peu trop lisse, trop parfaite.
L'histoire est sympa. J'ai tout de même ressenti une forme de similitude avec "La mélancolie du Kangourou" mais initialement ça ne me dérangeait pas.
En définitif, une lecture en demi-teinte au goût amer.
Dans un premier temps, le personnage masculin Romain. C'est un père de famille, veuf depuis quatre ans, chef dans son propre restaurant. Et alors que les premières pages annonçaient une histoire déjà vu mais pas moins désagréable, le personnage de Romain a littéralement tout gâché.
Le personnage de Romain s'enlise dans sa lâcheté au point d'en devenir très antipathique. Tout au long du livre, Romain ne cessera de se plaindre à longueur de chapitre et de manière redondant.
On en vient à mon deuxième point, cette redondance a fait disparaître tout forme d'empathie de ma part à l'égard de ce personnage. J'avais espoir qu'il évolue, en vain.
Fort heureusement, le personnage d'Alba à réussi à me toucher un peu plus, bien que je l'ai trouvé un peu trop lisse, trop parfaite.
L'histoire est sympa. J'ai tout de même ressenti une forme de similitude avec "La mélancolie du Kangourou" mais initialement ça ne me dérangeait pas.
En définitif, une lecture en demi-teinte au goût amer.
