>
Critique de lespiapiasdeseverine
Il y a des livres et des personnages qui garderont une place particulière dans nos coeurs : ce sera le cas de Rose, Antoine et Lou, pour moi ! J'avais adoré "La mélancolie du kangourou" alors c'est avec beaucoup d'impatience, et un peu de peur aussi je l'avoue - car les suites me déçoivent souvent - que je me suis offert le sourire des fées de Laure Manel.
Pour tout vous dire, au début de ma lecture, j'étais un peu déçue (et j'étais dégoûtée d'être déçue...). Bien entendu, j'étais heureuse de revoir ces personnages que j'avais tant aimés, mais je trouvais que l'histoire était gentillette, trop gentillette... des bonheurs simples, une vie simple, de l'amour simple, tout ça me plaisait, mais je me disais qu'effectivement il est bien difficile d'écrire un roman sur le bonheur. Je pensais donc que ce serait un bon moment de lecture, de jolies retrouvailles... et je m'étais presque résignée à ce que cela n'atteigne pas la force émotionnelle du roman d'avant, comme je m'en doutais et comme je le craignais avant de tourner les pages de celui-là...
Et bien, je ne vais pas vous spoiler, mais je m'étais complètement trompée ! Mon dieu, quelle claque émotionnelle je me suis prise. Car comme dans toute vie, il y a des hauts et des bas, et ce moment de bascule est arrivé dans le roman. A partir de là, tout s'est accéléré : le temps qui passe, les événements vécus par les personnages, mais aussi nos émotions de lecteur. La gorge nouée s'est installée... et j'ai fini ce roman en larmes ! Attention, pas que sur la dernière page, mais sur les 10 derniers chapitres que j'ai lus avec des larmes qui roulaient en continu. C'est fort, c'est intense, ça remue, ça bouleverse et ça fait réfléchir ! Et ce début qui m'avait déçue m'est alors apparu comme le début parfait, celui qu'il fallait à cette histoire !
Maintenant, il faut que je leur dise « au revoir » ! Mais sachez, Rose, Antoine et Lou que je ne vous oublierai pas. Et merci à Laure Manel de les avoir fait entrer dans ma vie.
Pour tout vous dire, au début de ma lecture, j'étais un peu déçue (et j'étais dégoûtée d'être déçue...). Bien entendu, j'étais heureuse de revoir ces personnages que j'avais tant aimés, mais je trouvais que l'histoire était gentillette, trop gentillette... des bonheurs simples, une vie simple, de l'amour simple, tout ça me plaisait, mais je me disais qu'effectivement il est bien difficile d'écrire un roman sur le bonheur. Je pensais donc que ce serait un bon moment de lecture, de jolies retrouvailles... et je m'étais presque résignée à ce que cela n'atteigne pas la force émotionnelle du roman d'avant, comme je m'en doutais et comme je le craignais avant de tourner les pages de celui-là...
Et bien, je ne vais pas vous spoiler, mais je m'étais complètement trompée ! Mon dieu, quelle claque émotionnelle je me suis prise. Car comme dans toute vie, il y a des hauts et des bas, et ce moment de bascule est arrivé dans le roman. A partir de là, tout s'est accéléré : le temps qui passe, les événements vécus par les personnages, mais aussi nos émotions de lecteur. La gorge nouée s'est installée... et j'ai fini ce roman en larmes ! Attention, pas que sur la dernière page, mais sur les 10 derniers chapitres que j'ai lus avec des larmes qui roulaient en continu. C'est fort, c'est intense, ça remue, ça bouleverse et ça fait réfléchir ! Et ce début qui m'avait déçue m'est alors apparu comme le début parfait, celui qu'il fallait à cette histoire !
Maintenant, il faut que je leur dise « au revoir » ! Mais sachez, Rose, Antoine et Lou que je ne vous oublierai pas. Et merci à Laure Manel de les avoir fait entrer dans ma vie.
