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Abymes tome 3 sur 3
EAN : 9782800154466
56 pages
Dupuis (22/03/2013)
3.66/5   64 notes
Résumé :
Le troisième volet d'une trilogie qui joue habilement avec le réel comme avec la fiction, en passant par le vraisemblable...
Quand Valérie, étudiante dans le Quartier latin dans les années 90, découvre par hasard un album de bande dessinée réalisé par son homonyme dans la collection Aire Libre, la coïncidence l'amuse. Mais lorsqu'elle cherche à racheter l'album, vraisemblablement dérobé par une de ses coreligionnaires au foyer de jeunes filles qu'elle habite,... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (15) Voir plus Ajouter une critique
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Ce tome est le troisième d'une trilogie qui forme une histoire complète et indépendante de tout autre. Il est initialement paru en 2013, un mois après le deuxième tome qu'il faut avoir lu avant. le scénario est de Valérie Mangin, les dessins, l'encrage et la mise en couleurs de Denis Bajram.

En 1993, Valérie Mangin découvre chez un libraire le tome 1 d'une série appelée "Abymes", dessiné par Griffo et écrite par une homonyme. Elle rentre dans sa chambre de pensionnat et la lit. Avec son ami Sylvio, elle envisage d'entrer à l'École Nationale des Chartes. Puis elle va assister à une conférence sur a bande dessinée à la Sorbonne, passant à coté de Xavier Dorison, et d'un monsieur portant un bandana bleu/noir, orné de têtes de mort blanches (sans les voir).

La même année, elle va voir le film (fictif) "Le mystère Balzac" d'Henri-Georges Clouzot, elle soutient et obtient sa thèse. Elle se met à la recherche d'un autre exemplaire de "Abymes, première partie" parce qu'elle a perdu le sien, en vain cette BD n'a jamais existé. Elle se rend à une séance de dédicaces où le dessinateur s'appelle Denis Bajram. Ensemble ils vont mettre la main sur ce troisième tome déjà fini, dès années avant sa parution en 2013, ce tome même que le lecteur est train de lire.

Dès la quatrième de couverture du premier tome de la trilogie, le lecteur savait que le troisième tome est consacré à Valérie Mangin elle-même, la scénariste de la série, avec des dessins de Denis Bajram, son mari dans la vie civile. Ce qu'il ne pouvait pas imaginer, c'est que les époux Bajram effectuent une reconstitution fidèle de leur vie entre 1993 et 2013.

Bajram reproduit avec application et minutie les quartiers de Paris fréquentés par lui-même et sa future épouse. Il travaille à l'infographie en dessinant à partir de photographies des rues du quartier Latin avec leurs façades. Pour des lecteurs ayant fréquenté ces pâtés de maison, le résultat est magique car il a l'impression de les arpenter de nouveau. Comme Griffo et Loïc Malnati, Bajram a pris grand soin d'effectuer une reconstitution historique. Certes il s'agit d'un passé moins lointain, mais le lecteur peut constater que le libraire fume dans sa librairie (chose impensable de nos jours).

Bajram ne se contente pas de piocher des photographies sur un site internet offrant des vues de la rue en situation réelle. Il les retravaille pour établir une homogénéité visuelle entre les scènes d'extérieur et les scènes d'intérieur. Les monuments sont superbes, le lecteur peut ainsi faire un peu de tourisme. Il doit aussi rétablir les commerces qui ont depuis disparu ou changé d'enseigne, comme la librairie "Fantasmagories" (et même les albums BD importants de l'époque, Benoît Peeters et François Schuiten étant évoqués par exemple). Sur ce point il faut vraiment être attentif pour déceler un anachronisme (un seul : la station vélib', mal retouchée page 3, et peut-être la flamme devant Beaubourg).

La qualité de cette reproduction devient troublante et presque gênante pour les scènes d'intérieur. En effet le scénario se focalise sur l'histoire personnelle du couple, et le lecteur peut ainsi découvrir l'intimité de leurs lieux de résidence successifs, jusqu'au moindre détail de leur aménagement intérieur (y compris la table à dessin). Denis Bajram utilise les capacités de l'infographie pour réaliser des planches pouvant contenir jusqu'à 11 cases par page, avec un degré de netteté exceptionnel dans le détail. Les possibilités offertes en termes de couleurs permettent de conserver une lisibilité optimale à chaque case, et à chaque détail ou accessoire sans qu'aucun ne se perde. Les individus sont dessinés avec un degré de simplification du visage, en léger décalage avec le rendu presque photographique des décors. Ce parti pris graphique les fait mieux ressortir de leur environnement et les rapproche du lecteur.

En fonction de sa familiarité avec les lieux évoqués (le quartier Latin, Bayeux, Bruxelles) ou les créateurs et éditeurs mis en scène (Xavier Dorison, Éric Verhoest, Arleston, etc.), le lecteur ressentira une sensation d'immersion allant de très grande, à totale. Il devient même gênant d'assister aux premiers ébats entre Valérie et Denis, un tel degré d'intimité que le lecteur éprouve la sensation d'être avec eux, à un moment où il est de trop. Cette sensation de voyeurisme est accentuée par la réalité des autres anecdotes. Lorsque Bajram (le personnage) indique qu'il ne fait plus signature avec dessin lors des conventions ou salon de BD, le lecteur se rappelle cette même déclaration dans la vie réelle qui est de notoriété publique, avec son argumentaire très convaincant du point de vue de cet auteur.

Valérie Mangin (peut-être avec l'aide de son époux pour quelques aspects du scénario) a donc décidé de se mettre en scène avec lui et de raconter leur vie commune depuis leur première rencontre (et même un peu avant), jusqu'à la parution du présent album (et même très longtemps après). le lecteur commence par apprécier la qualité de la reconstitution historique, puis de par apprécier de disposer d'informations de l'intérieur sur la genèse de l'album, sur l'histoire de ses auteurs. Il apprécie la composition rigoureuse de la trilogie avec une structure sous-jacente de contrepoints, effectués par les rappels du sort d'Honoré de Balzac dans le premier album (et les époux Bajram qui achètent sa maison pour y loger), et les rappels du film "Le mystère Balzac" d'Henri Georges Clouzot (que Valérie va voir au cinéma).

Mais au bout d'une quinzaine de pages, le lecteur s'impatiente. Ce que découvrent Valérie Mangin et Denis Bajram, il le sait déjà puisqu'il est en train de lire l'album en question. Les rappels sur les 2 premiers tomes finissent par lasser puisqu'il les a déjà lus. Arrivé à 5 pages de la fin, il se rend compte que tout le reste de l'album est conçu pour arriver à un effet de mise en abyme à l'infini, certes parfait dans sa réalisation (grâce aux capacités infinies de l'infographie) et dans sa narration (puisqu'il est l'aboutissement des 3 tomes), mais un peu artificiel. Certes il s'agit d'une mise en abyme parfaite, mais fallait-il vraiment que les époux Bajram réalisent un album complet sur leur propre vie, juste pour le plaisir de faire s'incarner une figure de style à la perfection ?

La coda de 4 pages est sympathique, mais insiste aussi fortement sur la nature nombriliste du récit. le lecteur a l'impression que Valérie Mangin réchauffe la structure très intelligente de [[ASIN:2849465356 Universal War One]] de Denis Bajram. Mais voilà que cette coda contient une citation de Clouzot et une De Balzac. le lecteur est alors tiré son immersion dans la vie privée de ce couple et se rappelle qu'il lit une fiction. Certes ce n'était pas très passionnant de lire les phylactères de Valérie et Denis expliquant ce qu'ils étaient en train de vivre dans cette mise en abyme vertigineuse, mais ce n'était pas eux. Il s'agit de personnages de fiction, d'une recréation, d'une autofiction, ou peut-être même d'autre chose.

Valérie Mangin a souvent exprimé son admiration pour le scénariste anglais Alan Moore, entre autres pour la construction rigoureuse, enchâssée dans un réseau de liens et de références internes omniprésentes de Watchmen. Or ces 2 citations finales montrent au lecteur que cette trilogie est d'un seul tenant et qu'elle a été conçue comme un tout dès le départ. Elles rappellent également qu'il s'agit plus d'une fiction que d'un journal intime puisque dans cet environnement, Balzac est mort décapité, et Clouzot est mort en 1946 (au lieu de 1977 en réalité).

Le lecteur se rappelle alors que les 2 premiers tomes proposaient plusieurs niveaux de lecture, avec l'emploi de la figure de style de la mise en abyme, et un thème sur la création de fiction. En regardant ce troisième de ce point de vue, le lecteur constate que Valérie Mangin a abordé la création dans un troisième média : la bande dessinée. de ce point de vue, cette bande dessinée développe les modalités concrètes de la réalisation d'une BD, mais aussi les liens que sa création entretien avec la vie des auteurs.

Le lecteur prend aussi conscience que le thème principal est celui du libre arbitre. Les atermoiements répétitifs et dramatisées de Valérie (le personnage) prennent une autre dimension dans le cadre élargi du libre arbitre. Les auteurs mettent en scène bien plus qu'une simple mise en abyme (parfaitement exécutée) de leur propre vie. Ils mettent cette figure de style au service de leur ambition philosophique. Les personnages constatent que leur réalité se conforme au futur décrit dans ce troisième album qu'ils ont lu avant même d'avoir l'idée de le réaliser. Ils présentent donc une vision de la vie où tout est écrit à l'avance de manière immuable. S'il existe un être suprême capable de tout calculer (une sorte de Dieu horloger), alors il peut dire avec exactitude de quoi sera fait chaque seconde de chaque individu, en utilisant ce modèle mathématique capable de gérer toutes les variables et tout l'historique de chacune de ces variables. Mais pour l'individu fini (chaque être humain), même si tout est écrit (et ici même connu à l'avance), la vie n'en perd rien en saveur, tant que chacun instant n'a pas été vécu, générant les sensations et les états d'esprit correspondants.

L'appréciation de ce troisième dépend fortement de ce que le lecteur en attend. En surface il s'agit de parfaire la mise en oeuvre d'une figure de style (la mise en abyme) sur la base d'une autofiction qui peut sembler parfois trop nombriliste et trop proche de la réalité intime des auteurs, 4 étoiles. En acceptant le questionnement philosophique du récit, il s'agit d'une aventure littéraire peu commune où la mise en abyme est un outil parfaitement maitrisé, au service d'une interrogation majeure sur la nature de la vie.

Avec ce point de vue, le lecteur se rend compte que le scénario de Valérie Mangin est pensé et conçu au millimètre près, que le choix De Balzac, puis Clouzot n'a rien de fortuit ou d'arbitraire. À l'instar de Watchmen (dans un récit d'une moindre ampleur en termes de pagination), les éléments de la narration se répondent d'une séquence à une autre, d'un tome à l'autre, pour former un réseau narratif très riche d'une grande beauté. Indispensable.
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Avec ce tome, Valérie Mangin clôt son ambitieux triptyque édité chez Aire Libre. Rappelons que la prestigieuse (Sic) collection Aire Libre créée par Van Hamme chez DUPUIS rassemble des histoires publiées en 1 à 3 volumes maximum. Elle résulte de la volonté de l'éditeur de se distinguer de sa production habituelle orientée plus jeunesse et humour par des albums plus matures.
Le processus de mise en abyme a été plusieurs fois traité dans l'art. Ici Mangin (avec son compagnon Denis Barjam) essaie d'explorer plusieurs dimensions. le premier volume nous montrait un Balzac victime du feuilleton anonyme racontant sa propre vie et le poussant peu à peu à la folie. Dans le second Tome, Clouzot réalisait un film à partir de cette histoire De Balzac et était lui-même la proie d'une nouvelle mise en abyme avec des scènes qu'il n'a jamais tourné.
Pour aller au bout du procédé, Valérie Mangin et Denis Barjam se devaient donc de se mettre en scène eux-même pour clore le triptyque avec le média BD. Ils nous racontent donc leur rencontre, leur vie de couple et sont à leur tour, victimes d'une mise en abyme dans un album qui est précisément celui que le lecteur est en train de lire.
C'est l'histoire du tableau dans le tableau dans le tableau…. Les vignettes s'emboitent alors l'une dans l'autre telles des poupées russes.
Le procédé fonctionne bien, et le lecteur curieux, suit, comme nos deux héros, la suite des évènement avec un sentiment de destin inéluctable, mais avec aussi l'anxiété de la chute. Comment Mangin va-t-elle retomber sur ses pattes ??
Le final est plutôt décevant, même si bien réalisé avec un clin d'eil appuyé à la Science fiction qu'affectionnent Mangin et Bajram (voir le succès de UW1 pour ce dernier).
Une petite remarque sur la qualité moyenne des dialogues, que je trouve un peu plats.
Du côté graphique, Bajram fait le choix de travailler sur des retouches infographiques. Ca change mais il le fait très bien et ce style colle bien à l'idée de mettre en scène son propre cadre de vie. Les connaisseurs de BD apprécieront dans ce volume d'y voir figurer des kadors du 9eme arts. Outre Mangin et Bajram, on peut voir Griffo (qui signe le tome 1), Arleston (de Lanfeust) ou Mourad Boudjellah ( fondateur de Soleil reconverti dans le rugby).

Au final, un triptyque ambitieux, un poil exigeant. Je ne sais pas s'il a trouvé son lectorat.
Pour moi, un bon moment de lecture mais loin d'être un coup de coeur.
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Totalement vertigineux ! La mise en abyme poussé à son paroxysme.
Les auteurs se mettent en scène, ouvrant cette même bande dessinée dans la bande dessinée, le graphisme est presque photographique à tel point qu'on semble se trouver dans la réalité. Cela laisse une étrange impression, presque un malaise, on se perd entre la fiction et la réalité, c'est tout juste si je ne me suis pas vu dans cette bande dessinée en train de la lire. c'est absolument époustouflant, je ne sais pas quoi dire d'autre.
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Dernier tome de cette trilogie. Qui met en abyme les auteurs eux-mêmes de ce tome. Et qui relie les deux premiers tomes. Sans que les histoires en soi soient d'une grande importance, malgré le rappel De Balzac, c'est plutôt les BD en tant qu'objet qui sont utilisés.
Du coup je trouve ce tome plus intéressant. On n'a plus de trame identique avec un récit un peu différent. On suit Valérie Mangin sur plusieurs années. On la voit évoluer, et la mise en abyme prendre de l'ampleur. Beaucoup de boucles bouclées. C'est assez sympathique.
La fin m'a terriblement déçue. Voulant donner une explication à cette mise en abyme, le récit part en cacahuète dans les trois dernières pages avec une histoire d'éternité et de voyage dans l'espace. J'aurai préféré rester avec le mystère. Pourtant j'aime souvent en savoir plus et ne pas être dans le flou à la fin. Mais là c'est pas assez en adéquation avec le reste du récit.
Les dessins sont très sympathiques, réalistes, presque photographiques avec une belle colorisation.
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Suite et fin de cette très très bonne série chez Aire libre. Tous les éléments des 2 tomes précédents s'y retrouvent, par le "plus grand des hasards". Et notre couple (à la BD comme à la ville ?) se met lui-même en scène, avec les tomes 1 et 2. Bref une mise en abyme vraiment poussée, mieux que la Vache qui rit ! Mais ne vous inquiétez pas, tout cela reste parfaitement clair et accessible et passionnant.
J'ai un tout petit peu moins accroché à la fin, très SF, mais cela ne gâche en rien le plaisir de la lecture.
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critiques presse (5)
ActuaBD
22 avril 2013
Mais comment va-t-elle s’en sortir ? Question lancinante arrivé au tome 3 de cette série de mises en abyme qui prend un malin plaisir à tourner le lecteur en bourrique. Un dernier opus jubilatoire, reprenant des éléments des deux précédents, et racontant beaucoup de l’auteure elle-même.
Lire la critique sur le site : ActuaBD
BoDoi
28 mars 2013
Mais l’ensemble est tellement bien conçu, osé et léché (le dessin-peinture de Bajram sur ce dernier tome, tout en nuances et en légèreté, est un pur bonheur), que ces quelques menus défauts passeront pour un simple débordement de sincérité et d’excitation.
Lire la critique sur le site : BoDoi
BDGest
19 mars 2013
Le dessin et les couleurs de Denis Bajram sont plaisants, le virage pris à une dizaine de pages de la fin tente bien de donner une dimension plus ambitieuse au discours, mais il est bien trop tard pour redresser la barre ou créer une sensation de vertige.
Lire la critique sur le site : BDGest
Sceneario
18 mars 2013
Loin d’être une autobiographie d’elle-même, Valérie Mangin grâce à la vraie-fausse biographie de Balzac et une le vrai-faux tournage de l’œuvre ultime de Clouzeau, nous offre un peu de son intimité, une tranche de sa vie, sa rencontre avec Denis Bajram y ajoutant une bonne pointe de fantastique pour nous faire tourner la tête. Ca fait du bien.
Lire la critique sur le site : Sceneario
Auracan
11 mars 2013
Elle nous entraîne dans la genèse fantastique de ces deux épisodes au gré d’un récit dont elle est la principale héroïne mise en abyme et l’auteure. Le dénouement est époustouflant…
Lire la critique sur le site : Auracan
Citations et extraits (4) Ajouter une citation
- Et pourquoi tu m'as caché tout cela pendant toutes ces années ? C'est parce que c'est comme ça que ça devait se passer ? Et dire que je t'ai aimé et que tu me manipules depuis qu'on se connaît,, que tu me manipulais même avant... J'ai cru devenir cent fois folle avec cette histoire ! Denis Barjam, tu n'es qu'un salaud !
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C'est terrifiant... Nous sommes totalement piégés...
-Oui... C'est même marqué ici...
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Ce serait à refaire, ma vie serait à revivre entièrement, je referais exactement les mêmes choix. Clouzot
Il n'y a rien de plus extraordinaire que de pouvoir avoir une confiance absolue en son destin. Balzac
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Oui, nous sommes piégés dans une gigantesque mise en abyme. Mais contrairement à Balzac et Clouzot, notre destin est merveilleux.
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