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EAN : 9782749116600
132 pages
Le Cherche midi (26/08/2010)
2.92/5   18 notes
Résumé :
Émile Delcourt, patron d'une usine de fabrication d'ancres de marine située à Valenciennes, est aux abois : les affaires sont si mauvaises qu'il n'a même pas les moyens de mettre en place, à l'instar des grandes entreprises du CAC 40, un « plan social ». Pourtant, il suffirait que le quart de ses salariés quitte l'entreprise pour que celle-ci survive. Comment se débarrasser du personnel superflu ?Poser la question, c'est y répondre : voici Delcourt embarqué, sous l'... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (7) Voir plus Ajouter une critique
François Marchand aborde ce sujet sur un angle totalement décalé. A partir d'une situation vraisemblable, celle d'une usine du Nord de la France devant mettre en oeuvre un plan social, l'auteur utilise toutes les ficelles pour que l'humour s'impose dans son ouvrage. le patron réalise ce projet délirant qui fera mourir les ouvriers de manière aléatoire. Mais il n'est pas le seul à faire l'objet des sarcasmes de l'auteur : le syndicaliste et la consultant sont également les cibles des piques humoristiques de l'auteur.

Le roman est court, et heureusement, car le jeu de massacre devient au fil des pages quelque peu lassant. S'il est plaisant de lire un texte décalé, il me semble que François Marchand n'utilise que cette ficelle pour faire tenir son roman, ce que je trouve personnellement un peu court. Maintenant, si vous souhaitez passer un moment de détente avec un roman drôle, c'est exactement ce qu'il vous faut !
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Émile Delcourt est dans la merde.
L'usine de fabrication d'ancres marines, située en banlieue de Valenciennes, dont il est le patron et que l'on se transmet de génération en génération dans la famille, est au bord de la faillite.
À un point tel que même un plan social n'est pas envisageable car trop coûteux.
Pourtant, il suffirait qu'un quart des employés quitte l'entreprise pour qu'elle soit viable.

Ça démarre fort, dès les premières pages.
Ce Delcourt est irrévérencieux, goujat, prêt à tout.
On savoure l'humour grinçant de l'auteur, ses nombreuses piques lancées contre les Parisiens, les consultants, le département du Nord, etc. Tout le monde en prend pour son grade.
C'est une lecture jouissive et il y a des passages très drôles qui décapent sec !

Très vite, Delcourt trouve la solution à son problème, un moyen très étonnant et pas très catholique de faire disparaître ce quart de salariés en trop, aidé par un syndicaliste CGT de la boîte, avec qui il s'est trouvé des intérêts communs.

suite sur mon blog, merci
Lien : http://linecesurinternet.blo..
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La société d'Emile Delcourt installée à Valenciennes va mal, très mal. L'entreprise familiale d'ancres de marine court à la liquidation judiciaire si rien n'est mis en oeuvre. Un consultant parisien Walfard imposé par les actionnaires vient sur place avec ses belles théories. Mais, Emile Delcourt a une solution ! Pour relancer sa petite entreprise, rien de plus efficace que de faire une coupe large dans le personnel mais sans que ça se sache…

Humour noir, ironie, plume méchamment vitriolée font bon ménage dans ce livre ! le personnage de Walfart est le consultant qui par définition gagne un très bon salaire sur le dos des entreprises qui sont au bord de la faillite. Pédant, arrogant, il s'exprime par des phrases où les mots anglais sont de bons tons. Il ne voit aucun intérêt à cette mission et n'a qu'une seule envie, la terminer au plus tôt. de plus, cette mission dans le nord de la France n'est guère valorisante pour son CV…
La suite sur : http://fibromaman.blogspot.com/2010/10/francois-marchand-plan-social.html
Lien : http://fibromaman.blogspot.c..
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Émile Delcourt est dans la merde.
L'usine de fabrication d'ancres marines, située en banlieue de Valenciennes, dont il est le patron et que l'on se transmet de génération en génération dans la famille, est au bord de la faillite.
À un point tel que même un plan social n'est pas envisageable car trop coûteux.
Pourtant, il suffirait qu'un quart des employés quitte l'entreprise pour qu'elle soit viable.

Ça démarre fort, dès les premières pages.
Ce Delcourt est irrévérencieux, goujat, prêt à tout.
On savoure l'humour grinçant de l'auteur, ses nombreuses piques lancées contre les Parisiens, les consultants, le département du Nord, etc. Tout le monde en prend pour son grade.
C'est une lecture jouissive et il y a des passages très drôles qui décapent sec !

Très vite, Delcourt trouve la solution à son problème, un moyen très étonnant et pas très catholique de faire disparaître ce quart de salariés en trop, aidé par un syndicaliste CGT de la boîte, avec qui il s'est trouvé des intérêts communs.

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Vite lu, amusant mais un peu tiré par les cheveux...
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Citations et extraits (1) Ajouter une citation
Ce n’est pas tout à fait du baratin, le « stress » d’un patron. D’un vrai patron qui a des usines, pas d’un connard au vingt-cinquième étage d’un tour, qui se croit PDG parce que ses potes de l’inspection des Finances ou de l’X-Mines l’ont pistonné là. Ces patrons-là, le seul stress qu’ils ont, c’est de comparer dans le magazine Capital leurs rémunérations respectives.
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Video de François Marchand (2) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de François Marchand
Les enfants du néant d'Olivier Descosse .Ce sont des ados. Ils ne vivent pas au même endroit et ne se connaissent pas. Leur seul point commun : une mort atroce, aux confins de la barbarie. Pour le commissaire François Marchand, ces crimes ont forcément un lien. Aidé par le lieutenant Julia Drouot, il va s'engouffrer dans le monde déroutant de l'adolescence pour tenter de saisir les raisons cachées derrière la mort de ces jeunes victimes.
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