Émile Delcourt est dans la merde.
L'usine de fabrication d'ancres marines, située en banlieue de Valenciennes, dont il est le patron et que l'on se transmet de génération en génération dans la famille, est au bord de la faillite.
À un point tel que même un
plan social n'est pas envisageable car trop coûteux.
Pourtant, il suffirait qu'un quart des employés quitte l'entreprise pour qu'elle soit viable.
Ça démarre fort, dès les premières pages.
Ce Delcourt est irrévérencieux, goujat, prêt à tout.
On savoure l'humour grinçant de l'auteur, ses nombreuses piques lancées contre les Parisiens, les consultants, le département du Nord, etc. Tout le monde en prend pour son grade.
C'est une lecture jouissive et il y a des passages très drôles qui décapent sec !
Très vite, Delcourt trouve la solution à son problème, un moyen très étonnant et pas très catholique de faire disparaître ce quart de salariés en trop, aidé par un syndicaliste CGT de la boîte, avec qui il s'est trouvé des intérêts communs.
suite sur mon blog, merci
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