Dans L’Homme qui marchait avec moi, Claude Margat nous livre, sous forme de récit initiatique, la quête d’unité existentielle qu’il recherche dans la peinture et le Tao. Un homme se souvient, au vu d’un cliché quelques années avant sa mort, de l’ami qui l’accompagnait dans ses déambulations à travers le marais poitevin. Comment était née cette amitié ? Qu’est-ce qui s’était noué, au fil de marches dans les bois, à l’écoute des oiseaux, dans le silence, entre ce prof... >Voir plus