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Les Enquêtes d'Annika Bengtzon tome 6 sur 6
EAN : 9782298073652
588 pages
France loisirs (30/11/-1)
3.09/5   28 notes
Résumé :
Résumé:
Lors du banquet organisé à la remise du prix Nobel, la directrice du prestigieux institut est abattue par une tueuse à gages. Principale témoin de la scène, Annika, journaliste. Malgré la menace qui plane sur sa vie, la jeune femme décide de mener sa propre enquête. Entre l'implacable tueuse et la journaliste, le duel s'annonce sanglant... et sans merci.

En Suède et dans le monde, la série de Liza Marklund est un carton, déjà adapté à la t... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (11) Voir plus Ajouter une critique
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Le testament de Nobel de Liza Marklund paru en 2006 en Suède a été publié en 2013 en France (traduction de Catherine Renaud). C'est le sixième volet de la série mettant en scène la journaliste Annika Bengtzon et il a été adapté pour la télévision en 2012 par Peter Flinth.


10 décembre : un meurtre à l'hôtel de ville lors du banquet Nobel, après la remise des prix, Carolina von Behring, présidente du Comité Nobel et deux autres, dont un professeur récompensé pour ses travaux.
Mai- Juin  : une succession de meurtres dans l'Institut Karolinska
10 décembre 1895 : mort d'Alfred Bernhard Nobel dans la solitude la plus complète

Deux temps de narration, décembre et mai-juin, (l'action peut-être située entre 1995 et 2005) intercalés de lettres d'Alfred Nobel éclairant sa vie et sa personnalité au fur et à mesure des progrès de l'investigation.
Deux indices : la tableau de Béatrice Cenci peint par Guido Reni (ou sa fille Elisabetta Sirani) et le drame écrit par Nobel, Némésis la vengeance.
Une investigatrice : Annika Bengstom, témoin privilégié du meurtre de la Présidente au banquet, journaliste, borderline, mère de deux enfants et un compagnon promu au Ministère de la justice, des tracas professionnels, conjugaux et familiaux.
Une meurtrière : une américaine connue sous le nom de code « le chaton », une fantômette machiavélique, dont le sobriquet au cours de l'enquête deviendra la Cendrillon de la mort.
Un groupe terroriste qui revendique le meurtre : le Neue Jihad.
Le décor : l'Institut Karolinska (Université médicale de Stockholm), les coulisses des laboratoires , les dessous des recherches et leurs financements privés.
Le défi : retrouver le ou les commanditaires du « chaton »
Le contexte : une Suède en proie aux démons contemporains et aux problématiques nouvelles : le terrorisme et la lutte anti-terroriste (les extraditions, l'ingérence de la CIA), les nouvelles lois pour la sécurité des citoyens (la mise sur écoute des téléphones) et les menaces sur la liberté privée qui en découlent, les enjeux et les dérives de la recherche scientifique internationale et ses intérêts liés aux compagnies pharmaceutiques, l'évolution de la presse avec l'arrivée d'Internet.

Une lecture distrayante mais qui ne m'a pas transporté.
Un style simple où l'on ressent très bien l' expérience journalistique de Liza Marklund mais qui, à mon goût manque de profondeur.
Une multitude de personnages secondaires : les collègues d'Annika de « La presse du soir », ceux de son mari au Ministère de la Justice, les professeurs et doctorants de l'Institut, le personnel de la SAPO , les amis, les voisins… et j'en oublie !
Un polar où on apprend entre autres l'origine et les modalités d'attribution du Prix Nobel.

Si vous aimez les jeux de piste, ce polar suédois est pour vous.
Pour ma part, je ne sais pas si je vais renouveler l'expérience et continuer la série.

Allez pour me consoler en ses temps de frimât je vais aller me boire un glögg.
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Annika, l'héroïne de la saga. Je me suis vraiment attachée à elle, et je me demandais, après tout ce qui lui était arrivé le tome précédent, ce qu'elle pouvait bien devenir.
Soyons clair : c'est une catastrophe. Elle fait n'importe quoi dans sa vie personnelle, mais alors là, n'importe quoi. Je ne parviens même pas à trouver des arguments pour la sauver. Un exemple, parmi d'autres : elle et son mari sont invités à manger chez ses beaux-parents, avec d'autres convives. Ils viennent avec les enfants - normal - sauf que rien ne convient aux enfants, donc Annika s'en va et les emmène dîner au MacDo le plus proche. Spontanément, je me dis que ce n'est pas le meilleur moyen d'être appréciée par ses beaux-parents (qui n'ont jamais pu l'encadrer) et qu'il devait bien exister d'autres moyens de nourrir ses enfants, non ? Ce n'est rien de dire que le couple bat de l'aile. Thomas ne se sent pas assez soutenu par sa femme, il ne supporte pas sa profession, elle ne se remet pas de l'adultère de son mari, elle lui a soigneusement dissimulé qu'elle sait, et ce "secret" qui en est à peine un pourrit leur relation. Quant à Anne, meilleure amie d'Annika, elle se laisse furieusement aller - je ne donne pas cher de leur amitié, surtout qu'Anne a emprunté de l'argent à Annika, et que celle-ci manque d'énergie pour à peu près tout.
Surtout, il y a son métier, et là, ce n'est pas terrible non plus. Elle a assisté, lors de la remise du prix Nobel, à un assassinat, elle ne peut même pas écrire un papier là-dessus, secret de l'instruction oblige. Son chef, qu'elle a mis dans une position délicate dans le tome précédent, ne l'apprécie plus vraiment, et voudrait même, lui qui avait pourtant fondé de grands espoirs sur elle, la voir quitter le journal.
Et pendant que chacun a ses soucis personnels, il ne faut pas oublier que la directrice du prestigieux institut Nobel a été assassinée, après que le titulaire du prix Nobel de médecine a reçu une balle dans la jambe (et Annika et ses confrères feront plus de commentaires sur leur apparence que sur le meurtre). Tout de suite, c'est la piste terroriste qui est privilégiée, et l'on nous montre, incidemment, les dérives que la lutte contre le terrorisme peut engendrer. Ne me faites pas écrire ce que je n'écris pas : oui, le terrorisme existe, et ses conséquences sont terribles (26 juillet 2016, la date qui m'a le plus touchée à titre personnel) mais la peur, aveugle, le fait de frapper "préventivement", de traquer pour une phrase de trop, une opinion jetée aux quatre vents, me terrifient tout autant. Et c'est ce qui est au coeur du couple Thomas/Annika : l'opposition entre deux visions du problème et de la manière de le régler.
Leur couple. On en revient toujours là. On tourne en rond. On en revient aussi à la parentalité, parce qu'Annika se pose maintenant des questions qu'elle aurait dû se poser avant. Ai-je le droit de mettre au monde des enfants dans le monde où nous vivons ? Et bien, tu en as mis deux au monde, il est trop tard pour revenir en arrière. Ne puis-je laisser couper mon portable pendant quatre heures sans qu'un problème ne surgisse ? Logiquement, oui, sauf que mes proches qui ont des enfants le savent, le portable ne doit pas être "complètement" éteint - je trouve même étonnant qu'une journalise prenne ainsi quatre heures d'injoignabilité (si ce mot n'existe pas, je l'invente) à peine a-t-elle reprit le travail. Pour le coup, Annika m'a fait penser à une gamine qui chouine parce que sa sortie ne s'est pas déroulée comme prévue. Même, j'ai trouvé assez indécent le comportement de son mari. Qu'il quitte une réunion importante parce que la crèche l'appelle, son enfant s'est blessé est pour moi normal : la mère n'a pas seule la charge des enfants. Mais qu'il fasse téléphoner son fils pour que les messages culpabilisent sa mère me paraît plus que moyen. Thomas et Annika ne communiquent plus réellement, les désirs de chacun sont différents, et Annika interprète mal les désirs de son mari, quand (et c'est traditionnel) elle n'est pas la seule à assumer la charge mentale. Pour ma part, puisque son mari tient à ce que des légumes soient servis tous les soirs, pourquoi ne les cuisine-t-il pas ? Je m'étonne aussi de la violence du voisin, devant témoin, et que personne ne réagisse, surtout pas les collègues de Thomas qui travaillent au ministère de la justice.
Je parle, je parle, et j'en oublie presque le sujet du livre : le prix Nobel de médecine, et la manière dont il est attribué. Nous découvrons le petit monde des chercheurs, la manière dont il est facile de "magouiller", de s'approprier les recherches d'autrui, à croire que c'est une matière comme une autre dans la recherche. En conséquence, à moins d'être un véritable chercheur, les hommes et les femmes pourraient oublier la finalité de leur travail : oeuvrer pour le bien commun, non pour sa renommée personnelle. Oui, cela n'occupe qu'une toute petite partie du roman. Ce n'est pas dommage, pourtant, parce qu'il brasse des thèmes riches, comme l'évolution de la presse - pour avoir jeté un coup d'oeil aux cinq tomes suivants, pas encore traduits en français, la saga suit l'évolution du monde de la presse sur une quinzaine d'années, quinze ans qui ont tout changé pour la presse écrite.
Il est question aussi, j'ai presque failli l'oublier, de tueuse à gage. Un métier rare pour une femme. Nous avons le rare privilège d'être dans la tête de la tueuse, qui fait son métier avec un grand professionnalisme - voir le sort qu'elle réserve aux amateurs. Oui, dès le début, nous connaissons son identité, nous ignorons simplement le nom de son (ou sa) commanditaire.
Je n'ai pas envie de dire au revoir à Annika ainsi, non, j'ai envie de lui dire au revoir comme a choisi de le faire son autrice. Alors, je lis la suite en italien ou en anglais, seules traductions disponibles à ce jour ?
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La suédoise Liza Marklund livre une nouvelle aventure policière de la journaliste d'investigation Annika Bengtzon dans le Testament de Nobel (MA Éditions). Liza Marklund met en scène une jeune femme trentenaire indépendante et active, mariée et maman de deux enfants qui réussit à concilier tant bien que mal sa vie professionnelle et personnelle. Cette nouvelle enquête l'entraîne dans l'univers fermé de la recherche.

Annika Bengtzon travaille pour le quotidien La Presse du Soir à Stockholm. le soir de la cérémonie des Nobel, elle couvre l'événement pour son journal. Mais voilà, en pleine effervescence, au cours du bal l'impensable se produit et elle assiste aux premières loges aux assassinats de Caroline von Behring la Présidente du Comité Nobel et de Aaron Wiesel, lauréat du Nobel de médecine. Témoin n°1 de l'affaire, elle est contrainte par la police de taire ce qu'elle sait et de renoncer au scoop que cela représente.
Dès lors, la journaliste est mise sur la touche pour six mois par sa direction. Pour s'évader de son mariage qui bat de l'aile, ses enfants en bas âges qui requièrent toute son attention et son congé forcé, Annika décide de mener l'enquête de son côté.

Annika Bengtzon reprend du service pour une sixième enquête journalistique qui l'entraine cette fois-ci dans les méandres de la recherche scientifique. Derrière la face bienveillante et tournée vers une action au profit de l'humanité, Annika va découvrir un univers beaucoup plus machiavélique dirigé par une seule loi, celle de l'argent. A mesure que la journaliste va mener son enquête elle va apprendre. le lecteur suit la même progression s'enrichissant des découvertes de la jeune femme.
Annika est une équilibriste qui jongle en permanence entre sa vie de femme, de mère et sa vie professionnelle. Sa vie professionnelle mise entre parenthèses forcées par son implication malencontreuse dans le meurtre de la Présidente de la Cérémonie du Nobel la contraint à ralentir. Sa détresse est parfaitement retranscrite lorsque l'auteur semble maintenir son personnage principal dans une spirale descendante limitant la vie d'Annika à sa vie de mère dans sa toute nouvelle maison de banlieue chic. La psychologie du personnage est bien développée et particulièrement intéressante. Elle ne doute de son mari depuis son adultère et ne supporte pas ni la profession ni les collègues de son époux dont il est fier. Lui reproche à sa femme de le repousser, son métier dont le seul objectif semble être d'écrire un tissus de balivernes sur des sujets non maîtrisés et d'oublier de le soutenir quand il réussit enfin à obtenir le poste qu'il brigue depuis longtemps. La tension dans le couple n'est en rien arrangée par la richesse soudaine d'Annika.

Le récit suit en parallèle les deux parcours du Chaton, la tueuse à gage qui a exécutée l'assassinat, et l'enquête menée par Annika. le livre est un policier où l'enquête est aussi importante que la vie de son enquêtrice. La tension monte progressivement après un démarrage dans le vif du sujet. Loin d'une course contre la montre, le Chaton apparait par intermittence au cours d'une enquête qui s'écoule sur plusieurs mois. Annika d'ailleurs cherche davantage le lien entre le comité Nobel et le meurtre de sa Présidente que l'exécutante du contrat. Si les événements se succèdent sans laisser le temps à Annika de se ressaisir au point de que tout se bouscule jusqu'à la laisser quelques temps sur le carreau. Ballottées, elle subit une situation éprouvante avant que son instinct de journaliste reprenne le dessus. On s'attache autant si ce n'est plus à la vie de l'héroïne dont on cherche à connaître le dénouement autant que de connaître le nom du commanditaire de l'assassinat. Ici, Liza Marklund dénonce les dérives de l'industrie scientifique et médicale qui perd de vue ses objectifs premiers et le manque de transparence des liens économiques et financiers entre les laboratoires et les chercheurs.

Malgré un démarrage haletant, le récit perd rapidement en intensité. Certes, même désoeuvrée professionnellement son personnage ne tombe jamais dans l'inaction totale entre ses relations avec ses nouveaux voisins, une amie qui n'hésite pas à lui réclamer de l'argent, … Ici ne cherchez donc pas une enquête à bâtons rompus mais plus une enquête en temps réel avec ses temps forts et ses moments de réflexions et de doutes durant lesquels se dessinent petit à petit les liens entre tous les éléments. le dernier tiers retrouve cependant le dynamisme du début.

Le Testament de Nobel se lit facilement et le personnage d'Annika fort développé vous donnera probablement envie de vous plonger dans ses premières enquêtes pour retracer à votre tour son ascension.

Lien : http://www.adam-et-ender.com..
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Nous sommes le 10 décembre, date de la prestigieuse remise des prix Nobel. Annika Bengtzon, journaliste à La Presse du soir, couvre la soirée pour son journal. Pendant les festivités on tire sur le prix Nobel de mathématiques et sur la présidente du Comité Nobel. La présidente meurt sur le coup. Annika était au premières loges, elle s'est faite bousculer par l'assassin, une femme dont elle a croisé les yeux jaunes. L'assassin, c'est le Chaton une tueuse à gages très réputée. Par qui a-t-elle été engagée. Pourquoi vouloir éliminer la présidente du Comité Nobel? Annika étant témoin principal du meurtre est contrainte par la police de ne rien révéler de l'affaire , elle ne peut donc pas exercer son métier. Incomprise par sa direction qui ne peut accepter qu'elle ne parle de rien, elle se retrouve en congés, elle va en profiter pour mener l'enquête.


Annika est déstabilisée tant sur le plan professionnel que sur le plan familial. Elle est en pleine crise avec son mari, elle ne sait plus comment s'occuper de ses enfants, n'a plus la patience. Elle est tiraillée entre ses devoirs de mère de famille et sa passion pour son métier. Dans cette affaire elle va se retrouver aux prises avec le milieu scientifique. L'auteure explore les relations parfois contre nature entre les chercheurs obnubilés par le résultat, par la découverte de remèdes à des maladies et les laboratoires pharmaceutiques mus par l'appât du gain, le tout sous l'oeil du comité Nobel et de l'ombre tutélaire du grand homme qui est toujours présente.


Liza Marklund nous livre un roman passionnant marqué par l'épaisseur psychologique des personnages principaux. le lecteur est plongé dans ce panier de crabes qu'est le comité Nobel tiraillé entre les personnages fidèles à l'héritage de Nobel, fidèles aux valeurs qu'il souhaitait défendre en créant ses prix et les autres plus sensibles au chant des sirènes des laboratoires pharmaceutiques. Ce roman est le dernier d'une série d'enquêtes d'Annika Bengtzon mais peut se lire indépendamment des autres sans aucun problème de compréhension. Un agréable moment de lecture.

Date prévue de parution : le 4 juin 2014
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Ce roman nous immerge dans le monde fermé de la recherche médicale, loin de l'image lisse qui est habituellement véhiculée. Quand l'ambition personnelle prend le pas sur la science, toutes les dérives sont possibles. de la course au brevet au sabotage de recherches concurrentes en passant par le chantage, la recherche médicale nous apparait ici sous un jour peu reluisant, plaçant les considérations financières au-dessus de toutes les autres.

Outre l'enquête proprement dite, le texte est parsemé de lettres évoquant la vie d'Alfred Nobel, ce qui nous permet d'en savoir plus sur l'illustre personnage qu'il fut, son apport à la médecine et sur l'origine du prix qui porte son nom.

Un roman intéressant, qui se laisse lire sans difficulté malgré quelques passages un peu plus techniques. Et, bien que le testament de Nobel fasse partie d'une série de plusieurs tomes dont l'héroïne est Annika Bengtzon, ce roman peut tout à fait se lire indépendamment des autres sans que cela n'entrave la compréhension.

Un vrai bon policier, qui nous emporte de la première à la dernière page dans un tourbillon d'évènements qui nous laissent à peine le temps de reprendre notre respiration. La tension monte peu à peu, au fil des nombreux conflits que connait l'héroïne, et nous touchent également, nous donnant envie d'aller au bout de cette histoire. Dans le même style que Robin Cook, spécialisé dans le thriller médical, Liza Marklund dénonce une industrie qui a oublié que son premier objectif est de soigner.
Lien : http://carnetdelecture.skyne..
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critiques presse (1)
Actualitte
08 juillet 2014
Les personnages (notamment celui de la tueuse à gages, assez caricatural ou du commanditaire) manquent d'envergure et d'un réalisme nécessaire pour apporter du crédit à l'histoire et pour susciter l'adhésion. Seule Annika attache et incite le lecteur, malgré tout à poursuivre le récit. Par empathie plus que par passion ou réel engouement.
Lire la critique sur le site : Actualitte
Citations et extraits (3) Ajouter une citation
Jemal Ali Ahmed fut violemment tiré de son sommeil et se retrouva sous une lumière aveuglante au milieu d'un bruit assourdissant. Il sut immédiatement ce qui était arrivé, tout son être le lui criait. La guerre était là et sa maison allait exploser. Ou bien était-ce la maison de ses parents, la maison de son enfance dans la montagne au-dessus d'Al Azraq ash Shamali? Il entendait les chèvres crier et les poutres craquer.
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Qu'est-ce qui lui avait pris ? Elle venait de flirter à mort avec un mec du journal concurrent, un type qui était le plus inapproprié qu'on puisse imaginer, sans parler du fait qu'elle était mariée, avec deux mômes, et sur le point d'acheter une maison à Djursholm.
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Elle se mordit pour ne pas crier de douleur, ne voulant pas lui donner la satisfaction de l'entendre dire "aïe". L'homme la poussa à nouveau pour la forcer à entrer dans la bibliothèque. Annika tituba dans la pièce et buta sur quelque chose, s'effondra tête la première sur le sol atterrit devant la cheminée.
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