Archi d'accord avec les critiques précédentes : LA trilogie érotique à lire si vous voulez ne pas mourir idiot(e) ou si vous voulez vous réconcilier avec le genre, déçu(e) que vous avez été par "Cinquante nuances..." ou autres.
J'ai eu quelques peurs avec le tome 1, ayant trouvé des lenteurs dans l'action. C'est pour cette raison que j'ai tardé à ouvrir le deuxième.
Par contre, à partir du moment où je l'ai commencé, je ne l'ai plus lâché et j'ai enchaîné direct avec le 3.
Les scènes érotiques ne sont pas de celles que je qualifierais de croustillantes parce qu'elles ne sont pas là juste histoire de dire qu'on est dans un bouquin érotique et qu'il faut bien faire mouiller la lectrice/le lecteur. Comment vous expliquer... C'est intelligemment écrit et ça tient beaucoup au fait que cette relation hyper sexuelle qui existe entre Annabelle et Louis repose avant tout sur un amour sincère. Donc du sexe, du sexe, du sexe, oui, mais avant tout c'est un partage entre deux êtres, une sublime complicité charnelle et intellectuelle que l'auteur nous fait vivre.
Et mis à part les passages chauds... l'histoire tient terriblement la route. Et ça, on peut dire que c'est fort pour une trilogie de ce genre. Que de rebondissements !
Cerise sur le gâteau... Après avoir refermé le tome 3, je me suis connectée sur la page facebook dédiée à la trilogie et là... Que vois-je ??? Que lis-je ??? Que découvre-je ???
Un truc ÉNORME.
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J'ai ADORE cette trilogie. Il y avait longtemps que je n'avais pas autant aimé lire une trilogie. (c'était nettement mieux que les trilogies américaines).
Mille Bravos à son auteur.
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- J'ai même conseillé à Louis une solution plus radicale, ajouta-t-il. Mais il s'y est catégoriquement opposé.
Plus radicale que la vie l'un sans l'autre ?
Je l'interrogeai du regard, et à nouveau il planta ses yeux durs et inexpressifs dans les miens.
- Etant donné votre relation passée avec David, on peut supposer que plus vous afficherez votre couple, plus il se déchaînera contre vous.
- Et alors, qu'elle est votre recette miracle pour le calmer ? le défiai-je. Supprimer l'un de nous deux ?
Il esquissa un sourire carnassier, visiblement sensible à cette pointe de cynisme et à mon regain de combativité. Cette expression sur son visage le faisait ressembler plus que jamais à un exécuteur des basses œuvres dans un film de mafioso.
- Non, plus simple et moins définitif, conclut-il toutefois avec sérieux. Le divorce.