Alix, tome 14 : Les Proies du volcan

Quatorzième tome de la série BD Alix de Jacques Martin.
Alix et Enak ont été abandonnés, suite à une mutinerie, par les révoltés d'un navire sur les rives d'un territoire inconnu, vraisemblablement en Afrique. Alors qu'ils s'efforcent de construire un radeau, ils se retrouvent à défendre une jeune fille poursuivie par les hommes de sa tribu. Elle parle un peu le phénicien et leur explique que sa tribu veut rendre hommage à leur Dieu : le terrible volcan qui surplombe la région. La jeune fille était destinée en sacrifice à apaiser le volcan. Alix et Enak décident malgré tout les risques de se rendre dans le village pour comprendre ce qui s'y passe.

Ce tome part loin du Mare Nostrum romain. La forêt, la plage et le volcan constituent les seuls décors de l'histoire. Pas de Romains, de Grecs, ou d'autres peuples antiques à l'horizon (enfin au début du récit…). Dévoiler le seul lien avec le monde antique habituellement visité par Alix reviendrait à livrer toute l'intrigue, bien limitée, et franchement décevante, de cet album qui constitue un des plus faibles de la série.
Pour l'anecdote, la jeune indigène se prend de passion pour Alix, ce qui ne plaît apparemment pas du tout à Enak. Quel duo...

Bon, soyons honnêtes, je me suis passablement ennuyée lors de la lecture de cet album des aventures d'Alix.
Ici, il se retrouve avec son compagnon Enak, naufragé sur une ile qui va se révéler non pas déserte, mais habitée.
Des indigènes aux habitudes un peu particulières vont faire la connaissance des deux amis. Enfin, au début, surtout une indigène....
L'intrigue est simple, presque simpliste et pleine de bons sentiments, un peu prêchi-prêcha il faut le dire....
Mouaif.....

Cette 14ème aventure d'Alix est très différente des autres. Alix et Enak sont abandonnés sur une île volcanique (sûrement de l'océan Indien puisqu'ils devaient aller en Inde) par des mutins. La première partie de l'histoire consiste pour eux à survivre (chasse, feu...), à se protéger (palissade) et à envisager leur départ (radeau). Soudain, ils s'aperçoivent que l'île est habitée et une indigène vient se réfugier auprès d'eux.
Pas de complot contre Rome, pas de méchant, ici, une simple histoire d'esclavagistes et de sacrifices humains dans une île paradisiaque. Enak n'est pas pour une fois le suiveur, le boulet mais agit (instructeur des indigènes) et sauve même Alix du danger. Alix, lui, a un coup de mou au début puis tombe véritablement amoureux (à noter que Jacques Martin a évité de dessiner les poitrines féminines pendant les 3/4 de la BD tandis qu'à la fin les seins de Malua sont presque en gros plan).
Pour moi, un album à part de la série, à l'intrigue simple, mais aux décors très différents.

Dans ce quatorzième tome des aventures de Alix et de son ami Enak on l'est retrouvent échouer sur une plage dans une île avec des habitants aux coutumes pour le moins étranges. Ils sacrifient des jeunes personnes au volcan de l'île mais Alix va s'en rendre compte que cette coutume barbare n'est pas vraiment ce que le chef du village raconte à ces villageois.
Comme toujours cette bd d'Alix qu'en j'ai lu et relu est toujours aussi bien malgré que j'en trouve l'ontrigie un poil moins fouillé que dans les autres tomes que j'ai lu elle reste passionnante.

Alix et Enak sont abandonnés sur une île déserte, après une révolte à bord de l'Amphitryon où des marins ont voulu les tuer. Sur l'île, ils s'empressent de construire un refuge pour la nuit, et les jours passent , au fur et à mesure, ils construisent un radeau pour pouvoir fuir cette île mystérieuse. Une nuit, ils entendent des hurlements terribles et soudain une jeune fille se précipite dans leur abri. Elle leur dit s'appeler Malua et doit être donner en offrande au volcan de l'île.