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4,03

sur 3351 notes
Il faudra que j'affine ma façon de choisir mes lectures. Ce livre n'était pas pour moi. En fait, l'auteure, Agnès Martin-Legrand, avait attiré mon attention par son parcours personnel et son succès rapide. Et comme j'évite de lire à l'avance les critiques d'un livre – je ne le fais qu'après avoir écrit la mienne –, il peut m'arriver de faire des choix que je regrette.

Désolée je suis attendue raconte la vie quotidienne de Yaël, une espèce caricaturale de working girl, obsédée jour et nuit par l'image qu'elle donne d'elle-même à son patron – c'est ce qu'elle appelle « réussir » ! – dans un métier supposé passionnant, ce qu'on a du mal à percevoir, le livre n'en présentant que des aspects superficiels, secondaires et répétitifs.

Retrouvant Marc, un ami de jeunesse perdu de vue depuis dix ans, Yaël engage une relation amoureuse fondée sur une extase physique qui finit par s'exalter dans une passion fusionnelle... incompatible avec sa carrière ! L'impasse est véritable, la rupture consommée...

Le ton est glaçant. Normal, c'est Yaël la narratrice. Quelques passages à l'eau de rose... Yaël et Marc auront ils un avenir commun ? L'auteur ne nous donne sa réponse qu'à la dernière ligne de la dernière page... Quel suspens !...

Mais que je ne t'y prenne pas, lectrice ou lecteur, à aller subrepticement jeter un coup d'oeil à la fin du livre ! Tu dois auparavant te colleter les presque quatre cents pages du roman, où tu auras l'impression de relire plusieurs fois les mêmes épisodes, en te faisant resservir les mêmes clichés...

Et là, ça devient dur à supporter !...
Lien : http://cavamieuxenlecrivant...
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Yaël, vient de terminer des études de commerce.
On la rencontre au début du livre, amusante, pas du tout accro au boulot, faisant partie d'une joyeuse bande d'amis.
Très rapidement, on fait un bond de 10 ans en avant dans le temps et c'est une Yaël transformée qui nous apparaît, complètement absorbée par son travail, insensible à tout ce qui arrive à sa soeur, à ses amis.
A petites doses, on apprend ce qui lui est arrivé.
On va suivre cette jeune femme blessée, bien attachante jusque la fin où l'auteure nous amène très habilement.
Ce n'est pas un roman de midinette, c'est un roman féminin, humain, à l'image de la vraie vie, jeune de par son langage et l'âge des protagonistes.
L'auteure a l'art de décrire les scènes intimes qui semblent extrêmement réalistes, sensuelles et pas crues du tout. Elles font partie de l'essence de l'histoire. Elles ne sont pas là pour appâter le lecteur.
Le titre est employé dans les deux sens : lorsque Yaël veut échapper à ses entrevues familiales mais aussi à ses obligations professionnelles. A la fin, un être cher lui renvoie l'expression à ses dépens.
J'ai aussi apprécié le rôle des parents dans l'histoire. Yaël les aime et ils ne sont pas envahissants du tout. Ce n'était pas toujours le cas dans ses autres romans où elle les fuyait.
"Désolée, je suis attendue" est le roman d'Agnès Martin Lugand que j'apprécie le plus.

Challenge plumes féminines
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LECONS DE VIE
4ème roman d'Agnès MARTIN-LUGAND et toujours un réel plaisir à lire cette auteure sensible avec une écriture simple, limpide sans fioritures mais au combien efficace.
On découvre notamment le personnage principal (Yaël) encore étudiante et son parcours professionnel sans faute ou presque… parce que le passé est toujours là et arrive sans crier garde dans un quotidien que l'on croyait inébranlable.
Je n'en dirais pas plus ; je vous laisse découvrir….
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Pourquoi j'ai choisi ce livre ?
Pour donner une deuxième chance à Agnès Martin-Lugand.
Les gens heureux lisent et boivent du café ne m'avait pas convaincue.
Pourquoi avoir abandonné celui-ci à la page 100 ?
Parce que c'est déjà pas mal d'avoir été si loin.
Mêmes reproches que pour le précédent. Des personnages caricaturaux, une héroïne antipathique des dialogues médiocres, une histoire qui tient à peine la route.
Alors pourquoi ce succès ? C'est du Musso féminin, c'est tout dire.
Alors qu'il y a tellement de bonne littérature qui ne bénéficie pas d'une bonne campagne publicitaire, tellement de bons auteurs qui m'attendent.
Je ne saurai jamais ce qu'il advient de Yaël et sa bande, ce n'est pas grave, ils ne m'intéressent pas.
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J'ai été déçu par cette lecture et pourtant j'avais bien aimé Les gens heureux lisent et boivent du café.

Ici c'est certainement dû au personnage imbuvable qu'est Yaël tout au long du récit celle-ci fait passer son travail avant tout sa famille, ses amis, elle a des aventures sans lendemain, travaille 7/7 jours et quasiment/ heures elle ne dort plus qu'avec des somnifères, ne mange que des salades bref la fille vraiment détestable de bout en bout

Un jour au détour d'une rue elle entre dans une boutique et elle retrouve Marc qu'elle n'a pas vu et qui n'a pas donné de nouvelle depuis ans. Yaël va donc se trouver devant un choix inédit pour elle laisser entrer l'amour dans sa vie.

Je ne me suis attaché à aucun des personnages et ce récit m'a du coup paru très très long. On se doute évidement de la fin de l'histoire.

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Dernier roman en date d'Agnès Martin-Lugand et, de nouveau, un portrait de femme…

Qu'est-ce qui a provoqué la transformation de Yael?

D'une pimpante étudiante, gaie, boute-en-train et fêtarde, si peu concernée par le monde du travail, Yael est devenue en dix ans une machine de guerre, froide, dure et disciplinée au possible, une carriériste aux dents longues et au coeur de glace.

De son groupe d'amis si soudé, chacun a suivi sa voie pour s'épanouir dans un couple, un mariage, la parentalité, la famille et l'amitié, la joie et la convivialité. Yael, elle, ne vit que pour son travail: pas le temps pour la famille, les amis, l'amour, les enfants. Travail, travail, travail. Une existence minutée au service de son ambition démesurée l'a exclue peu à peu de son entourage!

Mais cette quête obsessionnelle de reconnaissance et d'ascension professionnelles et sociales ne cache-t-elle pas une blessure intime, une volonté de se barricader contre la souffrance?

Je dois bien avouer qu'au début, j'ai détesté cordialement cette Yael froide, insensible, calculatrice, rembarrant avec mépris les tentatives de ses amis et de sa famille pour lui ouvrir les yeux sur la vie, la vraie vie. Elle est aspirée aveuglément dans cette spirale infernale du toujours plus, toujours plus haut vers le sommet! Mais au sommet, on est seule. Et quand on trébuche, on tombe de haut. Et il n'y a plus personne pour vous rattraper!

Yael est une femme de tête, une femme forte, une femme qui a conditionné son quotidien aseptisé dans la discipline, l'ordre et le contrôle. C'est le choix de vie choisi pour échapper au passé.
Ses amis sont toujours là, malgré son rejet, mais peut-être plus pour longtemps car Yael use toutes les bonnes volontés. Yael est butée. Jusqu'à la réapparition de Marc, de la résurgence de souvenirs qu'elle a obstinément occultés depuis dix ans…
Et à fuir le passé, ça marche un temps. Et plus longtemps tu fuis avec aveuglement, plus la blessure est violente quand le passé te rattrape. Parce que le passé te rattrape toujours. Et que tout soldat, aussi vaillant soit-il, a besoin de souffler… et parfois de tout remettre à plat sur la table, de tout remettre en question et avant tout, soi-même.

Mon empathie pour cette femme a grandi au fil de la chute de Yael, au fur et à mesure que ses fragilités profondes sont apparues au travers des fissures de son armure, au rythme de ses sursauts de rébellion devant une vérité toute nue: se déconnecter de son humanité pour échapper à la souffrance et éloigner la peur de l'autre, le risque d'aimer… ce n'est pas la solution…

Le sujet de ce roman m'a fortement interpellée et profondément touchée pour des raisons personnelles. C'est un roman sensible et pudique sur la vie, l'orientation qu'on lui donne. le ton est juste, authentique, percutant.
J'ai coutume de dire qu'on est l'artisan de son propre bonheur ou de son propre malheur et ce roman est le témoignage que rien n'est gravé dans le marbre, qu'une rencontre peut tout changer si on on accepte de fracasser un peu les hautes murailles édifiées au fil du temps, pour s'ouvrir à nouveau aux autres…

C'est un roman touchant sur la recherche de l'équilibre et de l'épanouissement de soi, sur les microcosmes relationnels qui nourrissent notre évolution, sur la manière de gérer les casseroles qui s'amoncellent au fil des ans. C'est aussi un message d'espoir sur l'amour qui perdure malgré le temps, les accidents de parcours, les silences et les malentendus… Sur cette force qui nous anime, nous fait trébucher, tomber mais aussi nous relever…

Désolée, je suis attendue est le dernier roman de cet auteur… Et cet auteur, découvert à cause d'une couv' en noir et blanc et d'un titre à rallonge, évoquant tous deux la lecture, le café, une jeune femme attablée devant sa tasse, cigarette à la main, le regard perdu au loin, est un très très gros coup de coeur pour moi! Un auteur qui parle à votre coeur avant tout…

Vivement sa prochaine histoire de femme! A moins que ce ne soit un parcours masculin, allez savoir!
Lien : http://livrenvieblackkatsblo..
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Dans ce roman, Agnès-Martin lugand nous relate l'histoire de Yaël une femme qui excelle merveilleusement bien dans son travail, est perfectionniste, mais d'une froideur et indifférence relationnelle et sentimentale indéchiffrable. Aucun de ses amies/is de jeunesse ne la reconnait, Elle qui était débordante de joie de vivre, spontanée et assez bordélique…Lorsque Marc ressurgi t du passé, tous les sens de Yaël s'enflamment, ses pensées deviennent confuses, et elle commence à remonter la pente et à cicatriser ces blessures du passé, encore enfouis et refoulés .Pourtant, tout bascule de nouveau son travail l'accapare et son amour pour Marc la tyrannise…Saura t-elle faire le bon choix ?
Ce roman est très agréable à lire d'une fluidité permanente cependant le personnage de Yaël est assez ambivalent dans ces émotions contradictoires et s'en ressentent au lecteur dû au choc affectif provoqué intentionnellement.

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Qu'on se le dise : cette histoire n'est pas spécialement originale et comporte plusieurs facilités en plus d'être souvent prévisible… mais j'en ai été satisfaite ! En effet, après avoir lu plusieurs romans assez moyens voire décevants, j'étais ravie de découvrir un titre sans prise de tête avec un scénario, certes téléphoné, mais qui fait du bien au moral ! On va suivre le quotidien de Yaël, une jeune interprète d'une trentaine d'années qui s'enferme dans son travail. Plutôt froide, ambitieuse, déterminée volontaire, exigeante, observatrice et perfectionniste, elle ne laisse rien au hasard et n'hésite pas à jouer les tyrans avec son assistante ou ses collègues. Il faut dire que son patron exige l'excellence : il n'y a pas d'erreur possible, la pression ou l'impression d'être en période de rush sont constantes et on peut être appelé n'importe quand, même en pleine nuit ou durant les jours de congés… Ainsi, Yaël ne fait que travailler, néglige sa famille, dort ou mange peu et écourte ses rares moments de vie privée à cause d'appels en urgence. À la manière de l'oeuvre « le Diable s'habille en Prada », on assiste à un véritable changement de vie et à une scission de plus en plus grande entre le personnage principal et ses proches… La jeune femme perd progressivement pied en se dévouant totalement à son emploi qui lui sert de refuge, notamment depuis la disparition de son meilleur ami Marc… Au début, il n'est pas évident de s'attacher à cette héroïne qui fait vraiment table rase de tout ce qui l'entoure et oublie qui elle est vraiment. de plus, certaines de ses réactions ou de ses répliques hérissent les poils… J'ai personnellement eu envie de lui donner quelques claques. Puis, on finit par s'attacher à elle malgré son côté maladroit et, lentement, on va la voir changer, puis retrouver son équilibre entre sa vie professionnelle et sa vie personnelle… Cette lente reconstruction est intéressante à suivre même si, évidemment, il y aura quelques rechutes…

Comme souvent avec l'auteure, les personnages comportent des fêlures. C'est le cas de l'entourage de la jolie Yaël, de cette dernière ainsi que du fameux Marc, qu'elle va retrouver par hasard dix ans plus tard… Dès lors, leur quotidien et leurs certitudes vont voler en éclats ! J'ai plutôt apprécié ce tandem, notamment durant les chapitres dédiés aux congés. Les voir s'apprivoiser de nouveau m'a bien plu ! J'ai également été conquise par leurs amis qui m'ont rappelé l'ambiance familiale que je vivais durant ma jeunesse, lorsque l'on descendait en vacances dans le sud de la France… Cela a ravivé de bons souvenirs ! En revanche, je dois avouer que j'ai quelques regrets concernant ces personnages secondaires : j'aurais souhaité qu'ils soient plus approfondis ! Malheureusement, ils semblent assez caricaturaux et, hormis la soeur de Yaël, on ne sait pas grand-chose d'eux… Or, il aurait été tellement plus agréable de creuser un peu leur passé, pousser leurs traits de personnalité ou leur offrir un meilleur rôle dans le récit… Il est à noter que l'on va retrouver Gabriel et Iris, le couple d' « Entre mes mains le bonheur se faufile », un autre ouvrage d'Agnès Martin-Lugand que je n'ai pas lu… le clin d'oeil semble avoir séduit la plupart des lecteurs néanmoins, quand on ne connaît pas ce duo, on regrette qu'il soit aussi peu développé ! (Même si leur amour, leur jovialité et leurs piques éveillent notre curiosité…)

Le dénouement n'apporte pas spécialement de grosse surprise… Ainsi, même si l'auteure attendra la dernière ligne pour dire si ses protagonistes vont retrouver leur stabilité, on se doute de ce qu'il va advenir de la trentenaire… C'est cliché, mais qu'importe ! J'avais personnellement besoin de ce type de lecture « de plage » facile et avec de bons sentiments où, en lisant le début, on devine la fin. de ce fait, je suis donc relativement satisfaite par cet ouvrage ! Au passage, je trouve l'édition limitée avec l'illustration estivale très jolie.
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Agnès Martin-Lugand fait partie de ses auteurs que j'ai toujours eu envie de lire mais je n'avais pas encore eu l'occasion de le faire. C'est chose faite avec son dernier roman sorti aux Editions Michel Lafon que je remercie pour cette opportunité qu'ils m'ont offert de découvrir cette auteure.

La plume de l'auteure est juste sublime, dès le début de ma lecture j'ai su que j'aimerai ce livre, pourquoi ? Il est parfois difficile de définir pourquoi un livre va automatiquement vous plaire, mais dès les premiers mots, on apprécie l'héroïne de l'histoire, Yaël une jeune femme de 25 ans, entourée d'une bande d'amis fidèles, de ceux que l'on aimerait tous s'entourer, avec qui on vit chaque instant important de notre vie. Parmi ses amies : sa soeur d'abord et son petit ami, un autre couple aussi et Marc. Ils forment ensemble un groupe unis et soudés et partagent tous leurs moments ensemble, le tout dans la bonne humeur.

On retrouve très rapidement Yaël, dix ans plus tard, devenue un vrai bourreau de travail, elle est alors une femme totalement différente de ce qu'elle était à 25 ans. On la trouvait sympathique et pleine de vie alors et on la retrouve soudainement distante et si peu encline à être heureuse dix ans plus tard que l'on s'attache encore plus à elle pour comprendre comment elle a pu devenir cette femme si "vide" de tous sentiments et si triste. le retour d'une personne de son passé, sur laquelle elle tombera par hasard un jour de pluie, va raviver bien des choses et tout le groupe va alors s'avérer encore le même qu'il était il y a dix ans, seulement voilà si les autres sont prêts à revivre ces moments de partage et de joie comme dans la passé, Yaël a bel et bien tourné la page et trouvera la situation bien difficile et certaines choses selon elle, ne se pardonnent pas si facilement.

Yaël est touchante, à la fois si forte mais aussi si fragile. A 25 ans, elle était à un point de sa vie où elle rêvait d'évasion, de découverte, de voyage mais surtout pas à un job qui l'aurait alors encré dans une vie sans fantaisie. Que s'est-il passé pour que l'on découvre alors que dix ans plus tard, elle ne vit que pour son boulot, n'a pas pris de vacances depuis des années, bosse sans compter ses heures et soit devenue alors cette personne que tout le monde fuit au travail, si autoritaire et acharnée ? le récit nous le fait découvrir, on vit son quotidien, on vit son mal être profond alors qu'elle devra stopper son travail et se retrouver avec ses amis, mais surtout avec elle-même : elle va se retrouver confronter avec ce qu'est devenue sa vie, avec ce que les autres lui reprochent.

C'est alors un récit assez poignant car elle est malheureuse même si elle affirme le contraire et plus personne ne reconnait la Yaël tant aimée par le passé, elle est devenue un robot. Peu à peu, elle reprendra vie au contact des autres, tout en maintenant une certaine distance, impossible d'oublier ces dix années de solitude alors que son seul compagnon était son job.
On la découvrira alors solitaire avec cette impression d'être comme une étrangère parmi ses amis qui lui sont chers, c'est alors pour elle un long cheminement vers la renaissance qui va s'amorcer mais cela ne va pas se passer sans heurts.

L'un des points importants dans le récit, c'est la fidélité des gens qui l'entourent : l'amitié qui régit ce groupe est très forte et de voir à quel point ils sont là pour s'entraider alors même qu'ils sont tous encrés dans une vie de famille, j'ai trouvé ça formidable. Et ce parfois dans la colère, les mots pouvant être blessants parfois ou encore dans la douceur et la subtilité, les amis ont toujours été présents.

Une lecture formidable que j'ai apprécié découvrir, je n'ai qu'une envie : lire tous les autres romans de l'auteure. L'écriture est très subtile et agréable, on vit à travers le personnage de Yaël ses propres sentiments, ses besoins mais on ressent aisément ce que les autres pensent et essaye de faire pour que tout rentre dans l'ordre, on s'attache aisément à tous les personnages. C'est un récit qui déborde de sentiments, d'attentions et de vie, de celle qu'il faut se donner la chance de vivre !
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