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Critique de JillValentine
Il y a quelque chose de réconfortant à la Datcha.
C'est un lieu plein de vie, d'émotions, de rires d'enfants. On s'imagine aisément les beaux jours, les cigales, une légère brise, des oliviers à perte de vue.
Y entrer c'est prendre le risque d'avoir envie d'y rester. C'est ce qui arrive un jour à Hermine. Sans domicile, sans attache, quand Jo lui propose de venir passer la saison dans son hôtel, elle accepte. Ce qui ne devait durer qu'un été, s'est transformé en deux décennies.
Les propriétaires, Jo & Macha, sont l'âme même de la Datcha. Ils transmettent tout leur amour du métier et des lieux à Hermine.
Pourtant dans l'euphorie du quotidien, on oublie parfois que les choses ne sont pas toujours faites pour durer ...
La Datcha vous ouvre ses portes. On s'y sent comme chez soi. On y est en famille. On oublie le temps. On profite du moment.
Parce que tout ce qu'on veut, c'est être à la maison.
Agnes Martin-Lugand n'a pas son pareil pour conter les belles histoires.
C'est un lieu plein de vie, d'émotions, de rires d'enfants. On s'imagine aisément les beaux jours, les cigales, une légère brise, des oliviers à perte de vue.
Y entrer c'est prendre le risque d'avoir envie d'y rester. C'est ce qui arrive un jour à Hermine. Sans domicile, sans attache, quand Jo lui propose de venir passer la saison dans son hôtel, elle accepte. Ce qui ne devait durer qu'un été, s'est transformé en deux décennies.
Les propriétaires, Jo & Macha, sont l'âme même de la Datcha. Ils transmettent tout leur amour du métier et des lieux à Hermine.
Pourtant dans l'euphorie du quotidien, on oublie parfois que les choses ne sont pas toujours faites pour durer ...
La Datcha vous ouvre ses portes. On s'y sent comme chez soi. On y est en famille. On oublie le temps. On profite du moment.
Parce que tout ce qu'on veut, c'est être à la maison.
Agnes Martin-Lugand n'a pas son pareil pour conter les belles histoires.
