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Critique de Montitiouistiti
J'ai beaucoup aimé la plume d'Agnès Martin-Lugand, que je découvre à travers cette lecture car c'est le premier roman de l'autrice que je lis. C'est fluide, simple, percutant, ce qui rend la lecture très agréable.
Concernant l'histoire, bien qu'en ouvrant un roman intitulé Les gens heureux lisent et boivent du café je ne m'attendais pas à ce que les personnages meurent dès le premier chapitre, j'ai bien aimé toute la première partie du roman. le sujet est dur, on parle du deuil d'un mari et d'une fille, d'une famille qui n'en est plus une puisque Diane se retrouve seule, et de toutes les conséquences que cette perte peu engendrée. Mais j'ai trouvé cette partie très profonde et très intéressante, et je trouve que le sujet est abordé d'une belle façon par l'autrice.
J'ai également adoré le fait que Diane parte en Irlande pour réaliser, sans lui, le rêve de son mari. En réalité surtout dans le but de rester seule et de ne pas se voir dans l'obligation de se reconstruire. Mais que finalement sa reconstruction se passe malgré elle.
Par contre, j'ai finalement moins apprécié la deuxième partie du roman. Digne d'un téléfilm à l'eau de rose. La jeune veuve qui déménage, qui rencontre son voisin super sexy, mais qu'elle déteste car il est exécrable. Qui finalement tombe amoureuse de lui, quand tout à coup son ex débarque de nulle part pour lui dire qu'elle l'aime encore. Pour qu'au final, il doive choisir avec laquelle des deux il veut faire sa vie... C'est vu, revu, et cul-cul.
Je suis donc plutôt mitigée sur ce roman, parce que pour moi il possède vraiment deux parties opposées : Une partie au sujet très dur, mais très profond, que j'ai trouvé très intéressante et qui m'a donné envie de tourner chaque page pour connaître la suite. Et une partie beaucoup plus légère, mais du coup prévisible, sans profondeur, comme un téléfilm, sans prise de tête certes mais sans grande saveur.
Je pense tout de même lire la suite, par curiosité, mais du coup je ne mettrais pas trop d'espoir dans cette lecture...
En bref : Un roman avec une bonne première partie, mais une deuxième partie beaucoup moins intense, ce qui donne une lecture mitigée.
Concernant l'histoire, bien qu'en ouvrant un roman intitulé Les gens heureux lisent et boivent du café je ne m'attendais pas à ce que les personnages meurent dès le premier chapitre, j'ai bien aimé toute la première partie du roman. le sujet est dur, on parle du deuil d'un mari et d'une fille, d'une famille qui n'en est plus une puisque Diane se retrouve seule, et de toutes les conséquences que cette perte peu engendrée. Mais j'ai trouvé cette partie très profonde et très intéressante, et je trouve que le sujet est abordé d'une belle façon par l'autrice.
J'ai également adoré le fait que Diane parte en Irlande pour réaliser, sans lui, le rêve de son mari. En réalité surtout dans le but de rester seule et de ne pas se voir dans l'obligation de se reconstruire. Mais que finalement sa reconstruction se passe malgré elle.
Par contre, j'ai finalement moins apprécié la deuxième partie du roman. Digne d'un téléfilm à l'eau de rose. La jeune veuve qui déménage, qui rencontre son voisin super sexy, mais qu'elle déteste car il est exécrable. Qui finalement tombe amoureuse de lui, quand tout à coup son ex débarque de nulle part pour lui dire qu'elle l'aime encore. Pour qu'au final, il doive choisir avec laquelle des deux il veut faire sa vie... C'est vu, revu, et cul-cul.
Je suis donc plutôt mitigée sur ce roman, parce que pour moi il possède vraiment deux parties opposées : Une partie au sujet très dur, mais très profond, que j'ai trouvé très intéressante et qui m'a donné envie de tourner chaque page pour connaître la suite. Et une partie beaucoup plus légère, mais du coup prévisible, sans profondeur, comme un téléfilm, sans prise de tête certes mais sans grande saveur.
Je pense tout de même lire la suite, par curiosité, mais du coup je ne mettrais pas trop d'espoir dans cette lecture...
En bref : Un roman avec une bonne première partie, mais une deuxième partie beaucoup moins intense, ce qui donne une lecture mitigée.
