AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
>

Critique de Ubikson


"Dans notre pays, une loi entend assurer la prospérité de la prospérité de la nation en rappelant à tous à tous la valeur de la vie."

Que va-t-on faire de ses dernières 24 heures ? Voila, en gros, la question que pose ce manga, en proposant à chaque tome, deux histoires de condamnés, en plus de celle d'un porteur d'ikigami qui vit ces évènements de près ou de loin.

La 1ère de ce tome, celle qui ouvre la série, m'a semblé extrêmement violente, mais aussi très addictive. Un souffre-douleur découvre qu'il a reçu l'ikigami et décide alors de se venger de ses anciens tortionnaires...

La 2nde, par opposition, parait presque gnangnan, à savoir deux amis réunis par la musique, qui voient leur relation malmenée par l'apparition du succès, jusqu'au moment où l'un d'entre eux reçoit l'ikigami...

Le gros plus de cette série est qu'elle ne parait pas si irréaliste que ça. le concept de l'ikigami, quelque peu malmené par le héros, Fujimoto, porteur de mauvaises nouvelles, est souvent revu avec une simplicité et une philosophie bien nippones par son supérieur hiérarchique.
Le but de l'ikigami est de se souvenir qu'il ne faut pas gâcher sa vie. Simple, clair, tranchant.

Un manga coup de poing.
Commenter  J’apprécie          70



Ont apprécié cette critique (4)voir plus




{* *}