Une très jolie BD sans parole qui nous emmène au Cambodge assister à la rencontre de deux enfants aux parcours bien différents : Lilou dont le papa, médecin européen soigne au dispensaire et un jeune enfant Cambodgien, cornac pour buffles qui vit sans parents et rêve souvent la nuit d'une grand-mère absente. C'est une jolie histoire d'amitié et de rencontre avec un dessin intéressant et une mise en page très réussie. Par contre, pour moi la couverture est complètement ratée et ne reflète ni le sérieux de l'histoire, ni le message d'amitié, ni combien les différences nous rapprochent. Dommage et personnellement j'ai bien failli passer à côté !
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Un troisième titre est d’ores et déjà annoncé : il semblerait que Charles Masson ait envie de remettre ça ! Et je parierais que Lilou... ne sera pas contre non plus !!!
Lire la critique sur le site : Sceneario
Dans le 170e épisode du podcast Le bulleur, on vous présente le parcours de Missak Manouchian, récemment entré au Panthéon, à travers deux bandes dessinées sorties récemment chez Les Arènes BD et Dupuis. Cette semaine aussi, on revient sur l’actualité de la bande dessinée et des sorties avec :
- La sortie de l’album Copenhague que l’on doit au duo Anne-Caroline Pandolfo et Terkel Rijsberg, publié aux éditions Dargaud
- La sortie de l’album Le champ des possibles que l’on doit au scénario de Véro Cazot, au dessin d’Anaïs Bernabé et c’est édité chez Dupuis
- La sortie de l’album L’homme miroir que l’on doit à Simon Lamouret et aux éditions Sarbacane
- La sortie de l’album The Velvet underground, dans l’effervescence de la Warhol factory que l’on doit à Koren Shadmi et aux éditions La boite à bulles
- La sortie de l’album Sept vies à vivre que l’on doit à Charles Masson et aux éditions Delcourt dans la collection Mirages
- La réédition de l’album Mauvaises herbes que l’on doit à Keum Suk Gendry-Kim et aux éditions Futuropolis
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