La peau commence à fondre, les os à rouiller telle une épave, celle d’un naufrage, le naufrage d’un nom à jamais confié à la mer.
On va te brûler, tu entends ? Toi et tes histoires de sorcier !
On va te brûler comme du papier !
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Puis le vent tourne et lui fait prendre les traits creusés d’un vieillard avec des faux airs d’innocence, de nouveau-né.
l’odeur de la mort semble contagieuse. Seul un enfant ose s’approcher.
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je crois que chaque homme, par sa langue, est à lui seul une espèce… en voie de disparition.