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EAN : 9782210755611
96 pages
Magnard (27/06/2011)
3.59/5   65 notes
Résumé :
La Rempailleuse - Aux champs - Mon oncle Jules - Le Parapluie - La Parure

Une misérable rempailleuse se prive sa vie entière pour laisser un héritage au pharmacien qu'elle aime en secret ; un couple de bourgeois « achète » le fils d'une famille de paysans ; une famille attend le retour d'un oncle parti faire fortune en Amérique ; un couple de citadins se déchire autour d'un parapluie ; un autre vit dans la misère pendant dix ans pour rembourser une pa... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (30) Voir plus Ajouter une critique
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Voici un petit livre qui fait un effort d'attrait visuel pour attirer à lui les jeunes lecteurs du XXIème siècle à sauter par dessus le vingtième pour rejoindre le talent vivace d'un orfèvre du XIXème.
Vous êtes en de bonnes mains, jeunes gens, car Guy de Maupassant, c'est quelqu'un. Pour sûr, vous ne trouverez certes pas beaucoup de zombies, d'elfes ou chevaliers héroïques d'une galaxie éloignée, mais des portraits poignants, des manières de penser et d'agir qui sont ceux de vos ancêtre d'il y a quatre ou cinq générations.
Vous êtes tous faits de cette argile-là et l'auteur sait la malaxer, la modeler, la faire vivre et palpiter sous vos doigts comme si vous y étiez. Enfilez vos costumes populaires du dix-neuvième siècle, asseyez-vous sur une mauvaise chaise en paille, à la lumière vacillante d'une bougie coulante, auprès d'un vilain café dont on aura pris soin de dissimuler l'amertume avec une bonne rasade de calvados version " terroir ", c'est-à-dire, un peu plus puissant que les 45° d'alcool réglementaires de celui qu'on trouve de nos jours dans les rayons rectilignes des supermarchés, baignés de la lumière sans vie d'un tube au néon.
La première nouvelle, La Rempailleuse, issue du recueil Les Contes de la Bécasse, est absolument sublime et bouleversante.
On y découvre le destin peu enviable d'une humble femme qui vit faiblement de son artisanat et qui s'est entichée très jeune d'un fils de bourgeois, Chouquet. Elle ne vit que pour lui, toute l'année à battre le pavé dans sa vie d'errance à se faire mépriser par les gens qui lui confient dédaigneusement leurs chaises à rempailler. Lui est devenu pharmacien et tâche chaque jour d'oublier qu'il a pu un jour connaître et embrasser cette gueuse. Maupassant a l'art de nous le rendre détestable en aiguisant son snobisme, son mépris et son égoïsme criant, tout en élevant la fidélité amoureuse de la rempailleuse à un degré tellement poignant que cela en devient maladif. La mesquinerie finale du pharmacien vaut également le détour.
Aux Champs, elle aussi issue du recueil des Contes de la Bécasse, aborde un autre thème, cher à l'auteur, celui de la parentalité non assumée, dans un cadre un peu particulier. La question de la pauvreté et de l'argent y jouent un rôle prépondérant. Deux familles paysannes normandes tirent le diable par la queue pour élever leurs ribambelles de marmots. Un jour, le carrosse cossu d'un couple riche de la ville s'arrête chez eux et à une proposition indécente à faire : acheter un gosse, puisque la femme ne peut en avoir elle-même. Chez les Tuvache, on s'indigne de ce commerce et même pour vingt mille francs (somme énorme pour des campagnards) on refuse de vendre son enfant. Par contre, chez les Vallin, on ne tergiverse pas autant. Une poignée de main est échangée et un enfant grimpe dans le carrosse. Qu'adviendra-t-il lorsque les deux enfants, ayant atteint la vingtaine se rencontreront ?... À vous arracher les tripes !
Mon Oncle Jules, issu du recueil Miss Harriet est lui aussi un conte particulièrement réussi. Maupassant y aiguise le couteau infâme du regard familial sur la réussite sociale...
Le Parapluie, issu du recueil Les Soeurs Rondoli est elle-aussi particulièrement plaisante. C'est un portrait aux petits oignons d'une vraie radine maladive ; une nouvelle caustique et sentant fort le vitriol, un peu à la façon de Gogol dans le Manteau ou de Zola dans nombre de portraits sans concession qu'il nous a légué des vieilles femmes cupides.
Enfin, La Parure, issue du recueil Contes du Jour Et de la Nuit, nous narre cette sorte de descente aux enfers d'une brave et belle jeune femme par péché d'orgueil et de paraître...
Bref, cinq nouvelles absolument superbes et de grande qualité, la tout agrémenté d'explications, de dossiers et d'illustrations très bien faits. Je recommande l'ouvrage à 100 % pour ceux qui souhaitent découvrir Maupassant, qu'ils soient jeunes ou moins jeunes.
Nonobstant, ce que j'exprime ici n'est qu'un avis, le mieux sera toujours que vous vous fassiez le vôtre.
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Quelle meilleure façon de commencer avec Guy de Maupassant que ces quatre nouvelles normandes ?
Cette édition, qui semble plus spécialement destinée aux collégiens et lycéens, a de nombreux mérites : un format intéressant et une couverture attrayante. Il en est de même à l'intérieur où l'on sent un effort véritable de l'éditeur pour rendre le XIXème siècle attrayant à nos jeunes en devenir.
Ensuite, une présentation et des explications parfaites qui lèvent toute ambiguïté ou incertitude qui pourrait se faire jour à de jeunes lecteurs du XXIème siècle, pas forcément très au fait de la vie rurale et des contingences historiques de cette époque.
Et bien évidemment, le choix de nouvelles est au-dessus de tout soupçon. À la fois ciblé et diversifié, accrochant quatre des toutes meilleures nouvelles De Maupassant, bref, une réussite complète.
Tout d'abord, Histoire D'Une Fille de Ferme (issue du recueil La Maison Tellier), représente un format de nouvelle un peu plus long que la moyenne chez Maupassant. La narration retrace le destin, malheureusement assez commun pour l'époque, des filles mises enceintes par des gaillards incapables d'assumer leurs ébats, quitte à faire payer à vie durant le prix de la passade à l'infortunée qui a eu la faiblesse de s'abandonner quelques instants.
Ici, l'auteur nous offre un dénouement plutôt inattendu et, une fois n'est pas coutume (c'est surtout la marque du Maupassant jeune, pas encore complètement pessimiste), une fin heureuse, ce qui est à noter d'une pierre blanche.
Ensuite, nous basculons dans la terrible nouvelle intitulée le Père Milon, qui nous relate les " exploits " d'un vieux paysan normand, dur en affaire, lors de la brève occupation de la Normandie par les soldats prussiens à l'occasion de la guerre de 1870-71.
C'est un taiseux, un discret, ce père Milon, une tête dure comme du coeur de chêne ce père Milon, mais un estomac à faire pâlir certains. Il est émouvant au possible et vous laisse un pincement au coeur, voire une petite larme si vous êtes sensible. Il me rappelle beaucoup le Père Amable dans le recueil La Petite Roque.
La nouvelle suivante, intitulée La Ficelle et issue du recueil Miss Harriet est elle-aussi absolument terrible. Elle explore d'autres pans de la nature humaine, à savoir la roublardise (proche de la malhonnêteté) paysanne, la cruauté et l'acharnement d'une assemblée villageoise ainsi que la puissance négative de la vox populi. Une nouvelle vraiment impressionnante à tous égards.
Enfin, le Rosier de Madame Husson est une nouvelle plus légère, quoique, qui sillonne deux directions distinctes.
Tout d'abord le sujet principal, à savoir, selon l'auteur, le ridicule des « prix de vertu » (je n'ose même pas imaginer ce que Maupassant aurait pu écrire des concours de Miss...) et du côté labile que peut prendre la vertu, surtout lorsqu'elle est exposée sous les projecteurs (voir à ce propos la fameuse chanson de Brassens, « Trompettes de la Renommée, vous êtes bien mal embouchées »).
Et puisque je suis dans la comparaison avec l'ami Brassens, l'autre axe majeur de cette nouvelle est la dénonciation du chauvinisme exacerbé du narrateur qui s'admire dans Gisors, modeste ville de l'Eure, comme dans la plus grande mégapole de tous les temps et qui ne peut que me faire songer à cette autre chanson « Les Imbéciles Heureux Qui Sont Nés Quelque Part ».
Bref, une très belle introduction à l'oeuvre De Maupassant et, si le coeur vous en dit, et si vous avez été conquis par ces nouvelles normandes, je vous recommande chaleureusement également le recueil intitulé Contes Normands paru dans la collection Pochotèque du Livre de Poche, sous la direction de Marie-Claire Bancquart et qui totalise l'essentiel des superbes nouvelles normandes que nous a légué Maupassant.
Vous aurez senti comme un parti pris chez Nastasia aujourd'hui, c'est que je suis normande, de sang, de naissance, d'âme et de coeur, et donc, plus que jamais, ceci n'est que mon avis, celui d'une imbécile heureuse née quelque part, c'est-à-dire, pas grand-chose.
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En faisant le tri dans les bouquins qui encombrent la chambre de mon fils, je suis tombée sur ce petit recueil qu'il avait dû lire pour le collège l'année dernière. Je me suis dit que ça faisait bien longtemps que je n'avais pas lu De Maupassant et j'ai donc eu envie de le lire.

Mise à part « la parure » dont je me souvenais parfaitement, l'ayant lu un nombre incalculable de fois, je n'avais aucun souvenir des 4 autres nouvelles. Elles sont pourtant toutes excellentes.
Qu'elles sont cruelles ces histoires ! Et le portrait des Hommes que dessine Maupassant n'est guère flatteur. Qu'ils soient pourris par l'avarice ou obsédés par les apparences, ils sont tous assez détestables. La nouvelle que j'ai préféré, « Aux champs », est sans doute celle qui propose la peinture humaine la plus acide et la plus cruelle du recueil.

C'est toujours un plaisir de lire Maupassant. Chaque nouvelle est parfaitement construite. En quelques lignes l'auteur sait poser un contexte et brosser des personnages. Malgré leur brièveté, chaque nouvelle est d'une grande richesse et d'une grande finesse. Maupassant est bien le maître de la forme courte. Un régal !
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Pour la bonne cause ( Challenge solidarité ) et pour mon bon plaisir aussi, me voici plongée très brièvement dans l'oeuvre De Maupassant, dont j'ai déjà pu apprécier le talent dans Bel-ami et Boule de suif il y a fort longtemps, mais aussi dans une série télévisée des années 70 et 80 réalisée par Claude Santelli.

Ici, un recueil de cinq nouvelles particulièrement acerbes, destiné aux adolescents, où l'auteur égratigne et ridiculise la "bonne société" de l'époque.
Excellent !
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Quand un livre est un recueil de nouvelles, je m'accroche à celle qui me parle le plus. Guy de Maupassant est normand, comme moi. Il raconte "Cinq nouvelles réalistes".
« Mon oncles Jules », la 3è nouvelle, m'intéresse. D'abord parce que mon père, souvent, dans les discussions, évoquait l'oncle d'Amérique, et a dû connaitre l'histoire, --
2 ) parce que ça se passe dans ma ville natale, Le Havre, et
-- 3 ) aussi parce que moi aussi, j'ai eu un onc'Jules à Gonfreville, et enfin
-- 4 ) parce que l'histoire est belle.
.
Un ami du narrateur raconte que son père, "juste" financièrement, espérait des nouvelles d'un frère parti faire fortune aux Amériques : Jules. Celui-ci avait grignoté l'héritage, et espérait le rétablir en partant là-bas….
La morale de cette histoire, eh bien…. C'est qu'il faut surtout compter sur soi-même ;
... et quand les gens se gaussaient de connaître quelqu'un qui a soi-disant réussi, mon père s'exclamait : » C'est l'oncle d'Amérique ! »
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Citations et extraits (12) Voir plus Ajouter une citation
Simon entra sans être vu et alla tout doucement tirer son ami par la manche. Celui-ci se retourna. Soudain le travail s’interrompit, et tous les hommes regardèrent, très attentifs. Alors, au milieu de ce silence inaccoutumé, monta la petite voix frêle de Simon.
— Dis donc, Philippe, le gars à la Michaude qui m’a conté tout à l’heure que tu n’étais pas mon papa tout à fait.
— Pourquoi ça ? demanda l’ouvrier.
L’enfant répondit avec toute sa naïveté :
— Parce que tu n’es pas le mari de maman.
Personne ne rit. Philippe resta debout, appuyant son front sur le dos de ses grosses mains que supportait le manche de son marteau dressé sur l’enclume. Il rêvait. Ses quatre compagnons le regardaient et, tout petit entre ces géants, Simon, anxieux, attendait. Tout à coup, un des forgerons, répondant à la pensée de tous, dit à Philippe :
— C’est tout de même une bonne et brave fille que la Blanchotte, et vaillante et rangée malgré son malheur, et qui serait une digne femme pour un honnête homme.
— Ça, c’est vrai, dirent les trois autres.
L’ouvrier continua :
— Est-ce sa faute, à cette fille, si elle a failli ? On lui avait promis mariage, et j’en connais plus d’une qu’on respecte bien aujourd’hui et qui en a fait tout autant.
— Ça, c’est vrai, répondirent en chœur les trois hommes.
Il reprit : — « Ce qu’elle a peiné, la pauvre, pour élever son gars toute seule, et ce qu’elle a pleuré depuis qu’elle ne sort plus que pour aller à l’église, il n’y a que le bon Dieu qui le sait. »
— C’est encore vrai, dirent les autres.
Alors on n’entendit plus que le soufflet qui activait le feu du foyer. Philippe, brusquement, se pencha vers Simon :
— « Va dire à ta maman que j’irai lui parler ce soir. »
Puis il poussa l’enfant dehors par les épaules.
Il revint à son travail et, d’un seul coup, les cinq marteaux retombèrent ensemble sur les enclumes. Ils battirent ainsi le fer jusqu’à la nuit, forts, puissants, joyeux comme des marteaux satisfaits.
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Elle avait été élevée dans une de ces familles qui vivent enfermées en elles-mêmes, et qui semblent toujours loin de tout. [...] Les enfants ne se doutent de rien, et ils arrivent à l'âge de vivre à leur tour, avec un bandeau sur les yeux et sur l'esprit, sans soupçonner les dessous de l'existence, sans savoir qu'on ne pense pas comme on parle, et qu'on ne parle point comme on agit ; sans savoir qu'il faut vivre en guerre avec tout le monde, ou du moins en paix armée, sans deviner qu'on est sans cesse trompé quand on est naïf, joué quand on est sincère, maltraité quand on est bon. Les uns vont jusqu'à la mort dans cet aveuglement de probité, de loyauté, d'honneur ; tellement intègres que rien ne leur ouvre les yeux. Les autres, désabusés sans bien comprendre, trébuchent éperdus, désespérés, et meurent en se croyant les jouets d'une fatalité exceptionnelle, les victimes misérables d'événements funestes et d'hommes particulièrement criminels.

LE PARDON.
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Son père était rempailleur et sa mère rempailleuse. Elle n’a jamais eu de logis planté en terre. Toute petite, elle errait, haillonneuse, vermineuse, sordide. On s’arrêtait à l’entrée des villages, le long des fossés ; on dételait la voiture ; le cheval broutait ; le chien dormait, le museau sur ses pattes ; et la petite se roulait dans l’herbe pendant que le père et la mère rafistolaient, à l’ombre des ormes du chemin, tous les vieux sièges de la commune. On ne parlait guère dans cette demeure ambulante. Après les quelques mots nécessaires pour décider qui ferait le tour des maisons en poussant le cri bien connu : « Remmmpailleur de chaises ! »

LA REMPAILLEUSE.
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Le chien dormait couché sur le paillasson de la porte d’entrée, sous une brûlante tombée de soleil ; deux chats, qu’on eût crus morts, étaient allongés sur le rebord des deux fenêtres, les yeux fermés, les pattes et la queue tout au long étendues.
Une grosse poule gloussante promenait un bataillon de poussins, vêtus de duvet jaune, léger comme de la ouate, à travers le petit jardin ; et une grande cage accrochée au mur, couverte de mouron, contenait un peuple d’oiseaux qui s’égosillaient dans la lumière de cette chaude matinée de printemps.
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En une nuit, toute la plaine fut ensevelie… On n’entendait rien que le glissement vague et continu de cette poussière tombant toujours. Cela dura huit jours pleins, puis l’avalanche s’arrêta. La terre avait sur le dos un manteau épais de cinq pieds.
Et, pendant trois semaines ensuite, un ciel clair comme un cristal bleu le jour et, la nuit, tout semé d’étoiles, s’étendit sur la nappe unie, dure et luisante des neiges. La plaine, les haies, les ormes des clôtures, tout semblait mort, tué par le froid. Ni hommes ni bêtes ne sortaient plus : seules les cheminées des chaumières en chemise blanche révélaient la vie cachée, par les minces filets de fumée qui montaient droit dans l’air glacial.

Claire de Lune.
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