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Louis Forestier (Éditeur scientifique)
EAN : 9782253030171
186 pages
Le Livre de Poche (16/05/1972)
4.04/5   343 notes
Résumé :
Ce recueil de Guy de Maupassant contient "La petite Roque" et 9 autres histoires :
L'épave - L'ermite - Mademoiselle Perle - Rosalie Prudent - Sur les chats - Sauvée - Madame Parisse - Julie Romain - Le père Amable.
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Critiques, Analyses et Avis (41) Voir plus Ajouter une critique
4,04

sur 343 notes
La Petite Roque devait être, je crois, le seizième ou dix-septième recueil de nouvelles de Guy de Maupassant que j'abordais, et pourtant je puis vous dire qu'il me fit forte et bonne impression. Neuf nouvelles seulement, mais pas moins de trois joyaux (selon mes critères de désignation du " joyau ").

La nouvelle titre est une nouvelle en deux temps (donc en théorie, plus une nouvelle stricto sensu, mais on s'en fiche de la théorie), qui débute comme un polar et qui bascule dans le thriller psychologique. Particulièrement bien écrite, on sent que son auteur a cherché à la peaufiner plus que d'autres. La première partie pourrait, à l'extrême, se résumer par " Qui donc a bien pu assassiner la petite Roque ? " La seconde ne doit absolument pas être dévoilée sous peine de nuire gravement à sa lecture. En tout cas, un chef-d'oeuvre.

L'Épave raconte un instant, un bref instant, même pas une nuit complète — un bout d'après-midi et une portion de nuit — où deux êtres se sont croisés, se sont émus et se sont dit adieu. Comme écrivait Baudelaire, une manière de " Ô toi que j'eusse aimée, ô toi qui le savais ". Maupassant excelle dans ce périlleux exercice de la capture d'un instant et des émotions qui l'accompagnent.

L'Ermite nous pose indirectement une question : " Quel drame, quel événement inavouable, quelle peine de corps ou de coeur peut bien expliquer qu'un humain choisisse spontanément la réclusion hors du monde ? " Cette nouvelle me rappelle un peu le Port dans le recueil La Main Gauche.

Mademoiselle Perle est, quant à elle, l'un de ces inappréciables petits trésors nés sous la plume de l'auteur, qu'il nous a légué en guise d'héritage et que nous devons chérir. Un drame sublime, sans violence, en douceur, tout en doigté et en subtilité. Un velours, une façon quant à elle de " Ô toi que j'eusse aimée, ô toi qui NE le savais PAS ". Probablement l'une des toutes meilleures nouvelles de Guy de Maupassant, tous recueils confondus, vraisemblablement du calibre de Madame Baptiste.

Rosalie Prudent, ce n'est presque rien (c'est ironique, bien sûr), juste le conte d'un infanticide ordinaire perpétré par une pauvre fille sans le sou. L'une des fables horribles du quotidien dont il savait si bien se faire l'écho.

Sur Les Chats est un vague éloge de la condition féline.

Madame Parisse est une x ième nouvelle sur l'adultère et la passion contrariée.

En revanche, Julie Romain est plus intéressante. Elle aussi évoque un thème de prédilection de son auteur, à savoir, l'outrage du temps qui passe, les abîmes qu'il crée, et autres effets de la nostalgie. Ici, Julie Romain est une ancienne actrice, ancienne convoitée, ancienne égérie tant d'un peintre en vue que d'un poète de renom, tous deux aujourd'hui disparus. Ne reste qu'elle, elle que son public a oublié, elle, flétrie, amoindrie, méconnaissable, elle dont seuls les souvenirs ont le lustre d'antan. Quelle sensibilité Monsieur de Maupassant. Chapeau bas l'artiste.

Enfin, cerise sur le gâteau, la somptueuse Père Amable, qui nous dépeint l'archétype du vieux paysan normand, vieillard taiseux, avare mais fier, à l'instar du Père Milon. Encore l'une de ces scènes de rien de la vie paysanne normande, qu'on pourrait vulgairement classer dans la catégorie " faits divers ", mais racontée avec tellement de force et de conviction qu'elles en deviennent célestes, éblouissantes... maupassantesques si j'ose dire !

À noter, et c'est là la substantielle supériorité des nouvelles normandes par rapport aux autres de l'auteur, la vérité du parler. Pour être native de ces contrées normandes, je puis vous affirmer (au travers de ces deux exemples pris au hasard dans le Père Amable) que l'emploi (dans le fil de la narration et non entre guillemets) du mot " colère " en qualité d'adjectif ou celui de " cour " pour désigner un pré ont un parfum de terroir authentique. Pour moi, Maupassant est avant tout l'interprète des réalités régionales, le Pagnol ou le Steinbeck normand, en quelque sorte.

Mais tout ce bavardage, toute cette inutilité n'est que mon avis, fragile, friable, érodable, c'est-à-dire pas grand-chose. le mieux que vous ayez à faire est d'oublier ce commentaire et d'ouvrir La Petite Roque, car ça c'est vraiment du roc.
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Les nouvelles ne font habituellement pas partie de mes lectures, et c'est un tort, car chaque nouvelle abordée vous plonge dans une nouvel univers et vous précipite dans l'action beaucoup plus rapidement que certains romans, chaque nouvelle dévoilant un concentré d'imagination et une grande richesse pour le lecteur.

Je me suis donc plongée dans un recueil De Maupassant, éternel, intemporel et délicieux Maupassant qui s'interdisait les explications psychologiques, ce qui se conçoit, mais qui se montrait à travers ses écrits réalistes, le plus grand des psychologues : admirons combien les descriptions morales de ses personnages et leur évolution dans ces cours textes sont logiques, et combien il fait vibrer ses textes en transmettant si fidèlement les émotions des protagonistes.

Il se fait le confident des lecteurs et livre bien souvent de lourds secrets, présentant dans un premier temps un personnage et son entourage, pour sonder ensuite son esprit et raconter les événements le concernant, ce qui exacerbera la curiosité de l'individu qui est entré dans le récit, sorte de suspens sans en être vraiment.

Dans la petite Roque, la première nouvelle est fort différente : on a l'impression de commencer la lecture d'un thriller policier puis l'écrivain se mettra dans la tête du personnage principal, dont je ne dévoilerai rien, pour expliquer ses actions et le cheminement qui mène aux décisions qu'il prend.

Dans les autres nouvelles, Maupassant introduit un narrateur à la première personne du singulier, toujours témoin d'un fait qu'il vient livrer, toujours un fait qui paraît extraordinaire pour mettre l'auditoire en alerte.

Dans ce recueil, il fait parler délicieusement les personnages, les menant à s'exprimer dans leur parler populaire voire en patois pour la dernière nouvelle.

Cela m'a donné envie de me replonger dans l'univers de cet auteur que je n'avais pas lu depuis de nombreuses années.
Lien : https://1001ptitgateau.blogs..
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Un nuage sombre passe sur l'esprit à la lecture de ce recueil de nouvelles pleines de violence et de mort de Maupassant, que je suis troublée de découvrir dans ce registre.

Viol, assassinat, folie, mort du jour, infanticide, suicide : c'est toute la glauque palette de la face obscure des hommes qui est peinte ici, de manière d'autant plus troublante qu'il la moire comme il a coutume de le faire de cette plume délicatement mélancolique qui le caractérise.

La petite Roque est la première et la plus longue des nouvelles : d'une construction étonnamment moderne et d'un déroulement implacable, elle s'ouvre sur une scène de crime saisissante pour ensuite observer les affres de l'assassin hanté par son crime, jusqu'à la mort. Le génie dans cette nouvelle tient me semble-t-il au rôle joué par la nature qui par tous ses pores, rivière et frondaison bruissantes, lumière crue et nuit noire, accuse le criminel là où ses semblables n'envisagent rien de sa culpabilité.

La folie traverse plusieurs des autres nouvelles, sous les yeux cruels d'un chat noir (Misti), celle de l'amant fou de jalousie (Fou ?) ou celle en miroir de la folle devenue folle d'amour (Berthe).
Suicides (lettre d'un candidat à la mort) et La nuit (un homme s'étiole dans un Paris qui ne connaît plus le jour) finissent de rendre le lecteur totalement neurasthénique, avant de réveiller sa compassion horrifiée devant les raisons qui ont poussé Rosalie Prudent à l'infanticide.

Le titre complet du recueil : « La petite Roque et autres contes noirs » dit bien ce qu'il est : un parcours éprouvant, servi par le format redoutablement efficace de la courte nouvelle. Une noire pépite !
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J'aime le regard animé, vivant et poétique que Maupassant pose sur des points de paysages, que ce soit en Normandie, dans le Midi ou sur un petit coin de la côte Atlantique. Parmi tant de belles images offertes aux yeux du lecteur il nous gratifie ici d'une demeure qui « trempe tout un coin de ses murailles dans un petit étang » ou en décrivant Antibes « La haute vague du large venait se briser à son pied, l'entourant d'une fleur d'écume ; et on voyait, au-dessus des remparts, les maisons grimper les unes sur les autres jusqu'aux deux tours dressées dans le ciel comme les deux cornes d'un casque antique. »
Je trouve que les descriptions qu'il fait courir sur le papier sont très souvent assorties de comparaisons subtiles et magnifiques.

Dans ce recueil, on commence par du sordide avec la découverte du corps d'une fillette violée. Une longue nouvelle froide et glaçante qui fait intervenir un châtiment de torture psychologique pour palier à la faiblesse de la justice face à la bourgeoisie.
Suit une histoire sentimentale, née du piège de la marée montante qui se referme autour d'un trois-mâts échoué aux abords de l'île de Ré. Cet amour aussi soudain que fugace, dans un écrin de sable et de mer, est admirablement conté.
D'autres écrits sont très courts et parlent d'une habitude de butiner l'amour qui mène à la solitude, d'un piège pour un divorce bien difficile à obtenir à cette époque, d'une déposition horrible mais bien malheureuse d'un infanticide.
Une nouvelle très bizarre m'a laissée perplexe, c'est celle où un narrateur nous dévoile son rapport bien ambigu avec les chats.
La campagne normande a également sa petite histoire, avec ses filles qui fautent et l'avarice d'un père. L'immersion dans ce monde paysan s'accentue avec le parler du coin.
Mais Mademoiselle Perle restera ma grande, grande préférence de ce recueil : un jeune homme, invité à fêter l'Épiphanie chez un vieil ami, doit choisir sa reine. Il ouvre soudain les yeux et s'interroge sur la place occupée par cette vieille fille d'une quarantaine d'années qui a pourtant toujours été présente dans cette famille bien discrète. C'est une superbe histoire, belle et triste à la fois, d'un amour étouffé par la position sociale.

Certaines fins noires tombent comme un couperet, d'autres laissent planer la mélancolie, la douleur du temps qui passe.

Même si les différents sujets qu'il aborde dans les dix nouvelles qui nous sont offertes dans ce recueil ne remportent pas tous un intérêt identique, il n'en reste pas moins que Maupassant sait parler des illusions, de l'amour, de la terre, des travers et des émotions avec un réel talent littéraire qui me fascine.
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Première rencontre avec Guy de Maupassant dans ce recueil de nouvelles. Une bouchée apéritive qui nous donne l'envie de goûter le plat consistant. Donc repas à poursuivre...
Certaines nouvelles nous racontent des choses horribles (viol sur enfant, infanticide, inceste,...) avec une tonalité assez légère, je trouve. L'auteur ne fait pas dans la dentelle. La nouvelle "Le Père Amable" m'a particulièrement plu: ce père, pingre à l'excès, passe à côté de l'essentiel, il se pourrit la vie tout seul.
Le format des nouvelles me plaît assez bien mais dans "La petite Roque", on reste sur sa faim et certaines nouvelles auraient mérité d'être développées davantage. Toutefois, j'ai aimé le style De Maupassant et vais prolonger ma découverte de l'auteur.
Petit conseil, si vous vous lancez dans cette lecture, ne lisez pas la quatrième de couverture ni les notes. Lisez-les après avoir lu la nouvelle ainsi pas de divulgation....
Belle lecture!
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Citations et extraits (61) Voir plus Ajouter une citation
L'automne vint, les feuilles tombèrent.....Et le murmure presque insaisissable, le murmure flottant, incessant, doux et triste de cette chute, semblait une plainte, et ces feuilles tombant toujours, semblaient des larmes, de grandes larmes versées par les grands arbres tristes qui pleuraient jour et nuit sur la fin de l'année, sur la fin des aurores tièdes et des doux crépuscules, sur la fin des brises chaudes et des clairs soleils, et aussi peut être sur le crime qu'ils avaient vu commettre sous leur ombre, sur l'enfant violée et tuée à leur pied. Ils pleuraient dans le silence du bois désert et vide, du bois abandonné et redouté, où devait errer, seule, l'âme, la petite âme de la petite morte.
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- Alors tu veux que je lui parle.
- Tout juste. Vous l' dites !
- Et qu'est-ce que je lui raconterai, moi, à ton père ?
- Mais... c' que vous racontez au sermon pour faire donner des sous.
Dans l'esprit du paysan tout l'effort de la religion consistait à desserrer les bourses, à vider les poches des hommes pour emplir le coffre du ciel.
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Le vieux ne travaillait plus. Triste comme tous les sourds, perclus de douleurs, courbé, tortu, il s'en allait par les champs, appuyé sur son bâton, en regardant les bêtes et les hommes d'un œil dur et méfiant. Quelquefois il s'asseyait sur le bord d'un fossé et demeurait là, sans remuer, pendant des heures, pensant vaguement aux choses qui l'avaient préoccupé toute sa vie, au prix des œufs et des grains, au soleil et à la pluie qui gâtent ou font pousser les récoltes. Et, travaillés par les rhumatismes, ses vieux membres buvaient encore l'humidité du sol, comme ils avaient bu depuis soixante-dix ans la vapeur des murs de sa chaumière basse.
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Les chats sont délicieux, pourtant, délicieux surtout, parce qu'en les caressant, alors qu'ils se frottent à notre chair, ronronnent et se roulent sur nous en nous regardant de leurs yeux jaunes qui ne semblent jamais nous voir, on sent bien l'insécurité de leur tendresse, l'égoïsme perfide de leur plaisir. Des femmes aussi nous donnent cette sensation, des femmes charmantes, douces, aux yeux clairs et faux, qui nous ont choisi pour se frotter à l'amour. Près d'elles, quand elles ouvrent les bras, les lèvres tendues, quand on les étreint, le cœur bondissant, quand on goutte la joie sensuelle et savoureuse de leur caresse délicate, on sent bien qu'on tient une chatte, une chatte à griffe et à crocs, une chatte perfide, sournoise, amoureuse ennemie, qui mordra quand elle sera lasse de baisers.
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Dans l'esprit du paysan tout l'effort de la religion consistait à desserrer les bourses, à vider les poches des hommes pour emplir le coffre du ciel. C'était une sorte d'immense maison de commerce dont les curés étaient les commis, commis sournois, rusés, dégourdis comme personne, qui faisaient les affaires du bon Dieu au détriment des campagnards.
Il savait fort bien que les prêtres rendaient des services, de grands services aux plus pauvres, aux malades, aux mourants, assistaient, consolaient, conseillaient, soutenaient, mais tout cela moyennant finances, en échange de pièces blanches, de bel argent luisant dont on payait les sacrements et les messes, les conseils et la protection, le pardon des péchés et les indulgences, le purgatoire et le paradis, suivant les rentes et la générosité du pécheur.
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Vidéo de Guy de Maupassant
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