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Marie-Claire Bancquart (Éditeur scientifique)
EAN : 9782070423552
378 pages
Gallimard (30/04/2002)
3.8/5   329 notes
Résumé :
Comment à force de bluff, de supposés miracles et de faux certificats délivrés par des médecins complaisants on parvient à fabriquer une ville d'eaux et à lotir au plus haut prix un paysage entier en exploitant la crédulité des uns et en s'appuyant sur la malhonnêteté des autres.
Le conflit de la bourgeoisie locale, du propriétaire paysan âpre et rusé et de la banque, de l'affairisme parisien. Un des plus cruels portraits du corps médical que l'on ait jamais ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (40) Voir plus Ajouter une critique
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Quelle puissance dans l'évocation des moeurs, des tourments, des envies, des amours ! Quelle beauté dans la description de cette station thermale perchée au coeur de l'Auvergne ! Quelle ironie dans la savoureuse peinture des médecins épinglés par l'auteur ! Que j'aime Maupassant ! Il y avait bien longtemps que je ne m'étais pas penchée sur l'oeuvre de mon cher auteur et c'est un grand bonheur d'avoir retrouvé sa compagnie.

Prendre les eaux : occupation mondaine pour se soigner, pour trouver l'âme soeur ou des amours passagères, pour investir. La station thermale sert de décor à ce roman où tout est analysé : les curistes, les médecins, les remèdes, les repas, les personnels de casino, les musiciens, sans oublier les paysans qui vendent leurs terres et leurs sources.

William Andermatt, riche banquier, et sa jeune femme Christiane sont venus prendre les eaux à Enval (station auvergnate) car cette dernière désespère d'avoir un enfant et le couple compte sur le pouvoir des eaux thermales pour résoudre ce problème de stérilité. Christiane a épousé son mari non pas par amour mais pour plaire à son père le marquis de Ravenel, subjugué par le patrimoine conséquent de son gendre, et pour aider son frère Gontran à éponger ses dettes.
Le père Oriol, le paysan le plus riche de la région, promet depuis 10 ans qu'il va faire sauter le grand morne, une énorme pierre qui gêne les cultures et fait de l'ombre à ses champs. L'événement tant attendu arrive enfin et de nombreux spectateurs sont au rendez-vous. C'est alors qu'est faite une découverte importante : une source d'eau chaude se trouve à l'endroit même où gisait le rocher.
Immédiatement William Andermatt saisit l'aubaine et décide de construire une station thermale avec tous les aménagements nécessaires au confort et à l'amusement des nouveaux curistes. Et tant pis pour la concurrence !

Il y a du docteur Knock chez Andermatt, une idéologie commune, même si chez lui ce n'est pas la médecine qu'il promeut mais la vie mondaine avec ses casinos, théâtres, restaurants, pour attirer la clientèle et engranger des bénéfices : c'est que cet investisseur sait sentir de loin les bonnes affaires et ne s'embarrasse pas de scrupules pour les faire avancer vite et bien.

Il y a des remèdes dignes du clystère de monsieur Purgon (le malade imaginaire) : la description des lavages d'estomac du pauvre curiste Riquier est un tableau d'un autre siècle. Il y a aussi beaucoup d'ironie dans la description de la salle de sport et des outils passifs pour soigner les curistes.

Il y a encore beaucoup de rouerie chez les différents personnages pour arriver à leurs fins : quand ce n'est pas l'argent qui est en jeu, ce sont les femmes qui servent de monnaie d'échange.
Et de cruauté aussi envers elles. Les pages concernant la grossesse de Christiane et le dégoût qu'elle inspire à son amant sont terribles. Celles concernant le retournement de veste de son frère Gontran envers les filles Oriol sont bouleversantes.

Et bien sûr il y a des pages très picturales qui décrivent si bien les beaux paysages de cette terre volcanique qu'est la Limagne.

C'est encore en fin observateur de son temps, que Maupassant dénonce les travers de son époque. La station thermale est un microcosme où s'exacerbent les passions en tous genres, sans filet, sans les convenances imposées à Paris. du grand, du beau Maupassant !

Un grand merci à Kez pour avoir été à l'origine de cette lecture.
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Intriguée par les bonnes critiques des romans ou nouvelles De Maupassant, j'ai passé outre mon à priori concernant cet écrivain, classé, à tort dans la catégorie "scolaire"...
Mon choix s'est porté sur ce court roman de 200 et quelques pages, Mont-Oriol ,un peu au hasard pour m'apercevoir qu'il y avait très peu de critiques: peu importe ma lecture a été plaisante.
Caricature du milieu bourgeois séjournant dans une ville thermale de l'Auvergne avec une jolie description de la Limagne qui m'a donnée envie d'aller visiter ce coin d'Auvergne que je ne connais pas.
Plus que la plongée dans le milieu des curistes en soi, c'est une critique d'une part du microcosme des médecins souvent directeurs de la station thermale, en proie aux jalousies, à la concurrence et aux mesquineries entre confrères : ridicules , suffisants et incompétents: Les ordonnances du Docteur Bonnefille sont hilarantes et la description des appareils de gymnastique auto-motrice font sourire .
Et surtout Maupassant décrit avec acuité, les combines et coups bas des hommes d'affaires qu'ils soient banquiers juifs profitant d'un séjour dans l'hotel de la station ou riche paysan propriétaire des terrains voisins, filou et roublard à souhait .
On y trouve également le portrait peu flatteur de jeunes hommes de bonne famille, désoeuvrés ou désargentés à la recherche d'une maitresse facile ou d'un mariage juteux.

Les grandes perdantes sont, comme souvent à ce siècle, les femmes , d'abord les jeunes filles traitées par leur père comme marchandise, et par leurs prétendants comme valeur rajoutée et lorsque par hasard elles découvrent la passion amoureuse comme Christiane, c'est pour également connaitre la souffrance de l'abandon !

Je pense que je vais continuer mon incursion dans l'oeuvre De Maupassant: Merci aux amis de Babelio de m'avoir donné envie de redécouvrir ce grand écrivain.

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Il y a beaucoup dans ce roman sur le thème de l'argent et de la spéculation. C'est une satire sur d'une part la médecine et d'autre part la bourgeoisie. C'est aussi une histoire d'amour.
Christiane a épousé sur les instances de son père et de son frère, le banquier Andermatt, « un juif faiseur d'affaires. Il en faisait de toutes sortes et s'entendait à toutes choses avec une souplesse d'esprit, une rapidité de pénétration, une sûreté de jugement tout à fait merveilleuses. ». Quoiqu'amoureux de son épouse, il n'a, là encore, pas oublié ses intérêts. « Il avait épousé, par adresse, la fille du marquis de Ravenel pour étendre ses spéculations dans un monde qui n'était point le sien.». Après deux ans de mariage, pas d'enfant, la famille se retrouve donc à la station thermale d'Enval où la jeune femme pourra soigner les vagues maux dont elle souffre. Elle est accompagnée de son père le marquis de Ravenel, de son frère le comte Gontran qui lui-même a amené un ami Paul Brétigny. Toute l'action se situe d'ailleurs dans cette région d'Auvergne, la Limagne même si un retour à Paris entre deux séjours est évoqué. Cette station a été fondée par le docteur Bonnefille qui a découvert une source. Deux autres médecins l'ont rejoint cependant la station vivote. Mais voilà qu'un riche paysan, le père Oriol en faisant sauter un morne a fait jaillir une nouvelle source. Tout de suite le banquier voit tout le parti qu'il y aurait à créer une station rivale.
Il faut attirer une riche clientèle et comment mieux le faire qu'en attirant des médecins parisiens. « Nous mettrons gratuitement ces demeures aussi élégantes que confortables à la disposition de nos médecins. S'ils s'y plaisent, ils achèteront seulement la maison de la Société Bernoise ; quant au terrain, nous le leur donnons… et ils nous le payeront… en malades. Donc, Messieurs, nous obtenons ces avantages multiples de couvrir notre territoire de villas charmantes qui ne nous coûtent rien, d'attirer les premiers médecins du monde et la légion de leurs clients, et surtout de convaincre de l'efficacité de nos eaux les docteurs éminents qui deviendront bien vite propriétaires dans le pays. »
Tandis que son époux réussit tous ces projets : acheter les terres du vieux paysan, marier Gontran qui lui doit beaucoup d'argent à l'une des filles Oriol, qui apportera en dot d'autres terres, Christiane qui a vécu une très belle histoire d'amour avec Paul Brétigny, se voit repousser. « Elle ne comprenait pas qu'il était, cet homme, de la race des amants, et non point de la race des pères. Depuis qu'il la savait enceinte, il s'éloignait d'elle et se dégoûtait d'elle, malgré lui. Il avait souvent répété, jadis, qu'une femme n'est plus digne d'amour qui a fait fonction de reproductrice. ».
Vaut-il mieux tabler sur l'argent que sur l'amour pour réussir sa vie ?
C'est aussi une satire sur les médecins. Les médecins, Maupassant les connaissait, lui qui était atteint de syphilis. Il s'en moque particulièrement dans une pseudo ordonnance. « Attendu que M. X… est atteint d'une maladie chronique, incurable et mortelle ;
« Il prendra : 1º du sulfate de quinine qui le rendra sourd, et lui fera perdre la mémoire ;
« 2º du bromure de potassium qui lui détruira l'estomac, affaiblira toutes ses facultés, le couvrira de boutons, et fera fétide son haleine ;
« 3º de l'iodure de potassium aussi, qui, desséchant toutes les glandes sécrétantes de son individu, celles du cerveau comme les autres, le laissera, en peu de temps, aussi impuissant qu'imbécile ;
« 4º du salicylate de soude, dont les effets curatifs ne sont pas encore prouvés, mais qui semble conduire à une mort foudroyante et prompte les malades traités par ce remède ;
« Et concurremment :
« du chloral qui rend fou, de la belladone qui attaque les yeux, de toutes les solutions végétales, de toutes les compositions minérales qui corrompent le sang, rongent les organes, mangent les os, et font périr par le médicament ceux que la maladie épargne. »
Les portraits sont très vivants. Celui du paysan, forcément madré chez Maupassant, est assez amusant, et sa ruse concernant le vagabond dans le but de vendre mieux ses terres est savoureuse. La malice du vagabond n'est d'ailleurs pas moindre. Il y a des traits d'humour tout au long du roman.
Il serait dommage de limiter Maupassant à ses nouvelles, même si elles sont généralement excellentes.

Lu dans le cadre du challenge XIXè siècle 2015

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Voilà un Maupassant un peu déroutant à première vue. Il m'a fallu un petit moment pour retrouver mon ami Guy dans ce roman qui débute sur deux jambes, l'une vaudeville champêtre autour de jeunes gens fortunés, l'autre chronique sociétale de l'affairisme grand siècle avec un banquier affamé de fortune devant une petite station thermale prometteuse du Puy de Dôme.
Mais il apparait rapidement que ces deux jambes marchent bien de concert, et le trait de plume acéré de mon peintre de moeurs préféré apparait vite derrière ces débuts rieurs : les bourgeois sont fats, immoraux et vulgaires, les amours cachés de l'épouse du banquier se retrouvent au coeur des intérêts financiers du mari, seuls qui comptent au final, les désillusions de l'amour l'emportent sur les passions naïves des jeunes années ; et pendant tout ce temps, les paysans se gaussent.
Si ce n'est pas Maupassant, ça ! sa lucidité, son humour, son amertume, son amour immodéré de la nature aussi, porté cette fois-ci non sur sa Normandie mais sur les merveilles de cette région de volcans que l'argent vient défigurer tout aussi férocement qu'il dénature le coeur des hommes.
Une promenade pour laquelle je ne suis pas fâchée d'avoir fait le détour, même s'il m'a semblé qu'il lui manquait un peu de la teneur parfaite de « Une vie » ou de « Bel ami ».
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"_ C"est incroyable ces villes d'eau.Ce sont les seuls pays de féerie qui subsistent sur la terre! En deux mois il s'y passe plus de choses que dans le reste de l'univers durant le reste de l'année. On dirait vraiment que les sources ne sont pas minéralisées, mais ensorcelées. Et c'est partout la même chose........Les femmes y font des farces avec une facilité et une promptitude exquises. A Paris, on résiste, aux eaux on tombe, vlan! Les hommes y trouvent la fortune, comme Andermatt, d'autres y trouvent la mort comme Aubry-Pasteur,,d'autres y trouvent pis que ça..... et s'y marient .....comme moi ...... et comme Paul " ( p 216 )
Voilà le décor est planté! Enval, petite station thermale, nichée dans les monts d'Auvergne, accueille comme chaque année ses curistes. Parmi eux nous trouvons le marquis de Ravenel venu aux eaux accompagné de sa fille Christiane jeune épouse de William Andermatt, banquier prospère, de son fils le comte Gontran, toujours à court d'argent et pas innocent dans le choix comme époux pour sa soeur d'un homme d'affaires riche et avisé .Les accompagne aussi Paul Brétigny, jeune homme passionné toujours prêt à s'enflammer , fervent admirateur de Baudelaire et très vite de Christiane Andermatt ....
Maupassant nous offre avec Mont-Oriol un court roman où l'on retrouve ses sujets de prédilection . Pour lui il ne peut y avoir d'amour heureux , les hommes ne peuvent pas vraiment fusionner , ils ne font que marcher côte à côte,avec au bout du compte la solitude pour seule compagne! Et puis on retrouve son regard fasciné par ces hommes capables de transformer en or tout ce qu'ils touchent , ces hommes d'affaire , juifs pour la plupart, qui font des affaires par passion, par plaisir, par orgueil. A son habitude Maupassant dresse un fidèle tableau de ses contemporains, ici nous sommes hors Paris et sous sa plume vivent des gens plus simples, des paysans , et toute une ribambelle de médecins , Maupassant déjà très malade commence à beaucoup les fréquenter et croyez moi il brosse des portraits jubilatoires.
Séduite une fois de plus par Maupassant, je ne peux que me réjouir d'avoir à le découvrir encore et encore !
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Citations et extraits (50) Voir plus Ajouter une citation
Elle ne comprenait pas qu’il était, cet homme, de la race des amants, et non point de la race des pères. Depuis qu’il la savait enceinte, il s’éloignait d’elle et se dégoûtait d’elle, malgré lui. Il avait souvent répété, jadis, qu’une femme n’est plus digne d’amour qui a fait fonction de reproductrice. Ce qui l’exaltait
dans la tendresse, c’était cet envolement de deux cœurs vers un idéal inaccessible, cet enlacement de deux âmes qui sont immatérielles, c’était tout le factice et l’irréalisable mis par les poètes dans la passion. Dans la femme physique, il adorait la Vénus dont le flanc sacré devait conserver toujours la forme pure de la stérilité. L’idée d’un petit être né de lui, larve humaine
agitée dans ce corps souillé par elle et enlaidi déjà, lui inspirait une répulsion presque invincible. La maternité faisait une bête de cette femme. Elle n’était plus la créature d’exception, adorée et rêvée, mais l’animal qui reproduit sa race. Et même un dégoût matériel se mêlait en lui à ces répugnances de l’esprit. 
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Quand un bourgeois me parle musique, j’ai envie de le tuer. Et quand c’est à l’Opéra, je lui demande : “Êtes-vous capable de me dire si le troisième violon a fait une fausse note à l’ouverture du troisième acte ? – Non. – Alors taisez-vous. Vous n’avez pas d’oreille.” L’homme qui, dans un orchestre, n’entend pas en même temps l’ensemble, et séparément tous les instruments, n’a pas
d’oreille et n’est pas musicien. Voilà ! Bonsoir !
Il pivota sur un talon, et reprit :
– Pour un artiste toute la musique est dans un accord. Ah ! mon cher, certains accords m’affolent, me font entrer dans toute la chair un flot de bonheur inexprimable. J’ai aujourd’hui l’oreille tellement exercée, tellement faite, tellement mûre, que je finis par aimer même certains accords faux, comme un amateur dont la maturité de goût arrive à la dépravation. Je commence à être un corrompu qui cherche les extrêmes sensations d’ouïe. Oui, mes amis, certaines fausses notes ! Quelles délices ! Quelles délices perverses et profondes ! Comme ça remue, comme ça ébranle les nerfs, comme ça gratte l’oreille, comme ça gratte… ! comme ça gratte… ! 
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je la connais, leur intelligence, à tous ces brasseurs d’affaires. Ils n’ont qu’une chose en tête : l’argent ! Toutes les pensées que nous donnons aux belles choses, tous les actes que nous perdons pour nos caprices, toutes les heures que nous jetons à nos distractions, toute la force que nous gaspillons pour nos plaisirs, toute l’ardeur et toute la puissance que nous prend l’amour, l’amour divin, ils les emploient à chercher de l’or, à songer à l’or, à amasser de l’or !
L’homme, l’homme intelligent, vit pour toutes les grandes tendresses désintéressées, les arts, l’amour, la science, les voyages, les livres ; et s’il cherche l’argent, c’est parce que cela facilite les joies réelles de l’esprit et même le bonheur du cœur ! Mais eux, ils n’ont rien dans l’esprit et dans le cœur que ce goût ignoble du trafic ! Ils ressemblent aux hommes de valeur, ces écumeurs de la vie, comme le marchand de tableaux ressemble au peintre, comme l’éditeur ressemble à l’écrivain, comme le directeur de théâtre ressemble au poète. 
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Et elle comprit soudain comment on appartient à quelqu’un, comment on n’est plus rien sous l’amour qui vous possède, comment un être vous prend, corps et âme, chair, pensée, volonté, sang, nerfs, tout, tout, tout ce qui est en vous, ainsi que fait un grand oiseau de proie aux larges ailes en s’abattant sur un roitelet. 
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Quoi de plus triste que de se lever sans espérance ardente, d'accomplir avec calme les mêmes besognes, de boire avec modération, de manger avec réserve et de dormir comme une brute, avec tranquillité ?
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