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Critique de sultanne
J'aime autant le dire tout net : c'est gluant et ça colle... une vie entière faite de faux-semblants et de désillusions, d'alternances entre rêve et réalité, de pleurs et de chagrins, le tout enjolivé de belles parures.
La jolie Jeanne, sous ses airs de sainte nitouche, ses beaux yeux rêveurs et sa naïveté presqu'infantile, a eu le don de m'agacer, de la première à la dernière ligne.
J'aime encore mieux m'acoquiner avec une Emma Bovary tendancieuse et dissimulatrice : elle, a eu, au moins, le mérite de prendre sa vie en main et de se débattre dans la fange qui était la sienne.
La narration, elle, est cousue de fil blanc : on en conçoit la trame, on en devine la suite, et seule la naïve Jeanne ne voit pas les coups venir, ce qui a le don de m'insurger contre les pratiques narratives De Maupassant. Quant aux descriptions, nombreuses et terriblement connotées, elles ont eu le mérite de m'engoncer, soir après soir, dans une torpeur ténébreuse qui a avancé plusieurs fois de suite l'heure de mon rendez-vous avec Morphée... ce fut toujours ça de gagné...
La jolie Jeanne, sous ses airs de sainte nitouche, ses beaux yeux rêveurs et sa naïveté presqu'infantile, a eu le don de m'agacer, de la première à la dernière ligne.
J'aime encore mieux m'acoquiner avec une Emma Bovary tendancieuse et dissimulatrice : elle, a eu, au moins, le mérite de prendre sa vie en main et de se débattre dans la fange qui était la sienne.
La narration, elle, est cousue de fil blanc : on en conçoit la trame, on en devine la suite, et seule la naïve Jeanne ne voit pas les coups venir, ce qui a le don de m'insurger contre les pratiques narratives De Maupassant. Quant aux descriptions, nombreuses et terriblement connotées, elles ont eu le mérite de m'engoncer, soir après soir, dans une torpeur ténébreuse qui a avancé plusieurs fois de suite l'heure de mon rendez-vous avec Morphée... ce fut toujours ça de gagné...
